Aaron Campbell

- ft joshua jackson -

prénom, nom : Aaron, premier de la lignée Campbell, un héritage maigrelet mais chéri à jamais. date et lieu de naissance : Aaron est né à Tree Hill, le 11 avril 1979, il y a de ça désormais quarante-cinq ans. Enfant de la ville, il ne l'a jamais quittée, sa plus grande histoire d'amour. nationalité : américain, il n'en est pas franchement fier depuis déjà quelques années mais ses railleries n'y changent rien. origines : européennes, ancestralement, bien qu'il n'en ait pas franchement connaissance. métier, activité : patron de Performance Import Cars, il y a fait ses armes dans la mécanique avant de prendre la succession de son père. orientation sexuelle : Elles n'ont pas été nombreuses, mais toujours du genre féminin. statut civil : célibataire, veuf, ou assimilé depuis maintenant plus de vingt ans, il n'a jamais réussi à se reconstruire une vie amoureuse. traits de caractère : ronchon, c'est probablement ce qui pourrait ressortir en premier si on devait le décrire de prime à bord. Néanmoins, Aaron est avant tout quelqu'un de vrai, et d'authentique, qui a le coeur sur la main, et qui de démène en quatre pour ceux qu'il aime, bien qu'ils soient peu nombreux. Méfiant, il met du temps à accorder sa confiance, mais une fois obtenue, il ira au feu pour ceux qu'il choisit. Si professionnellement parlant, il est sûr de lui, il manque d'amour propre en ce qui concerne sa vie personnelle. Persuadé de ne pas être assez bien et de ne pas rêver assez grand, il a toujours vécu avec le sentiment d'être un raté sans profondes aspirations, une ombre qui plane encore même à quarante-cinq balais. crédits : andthesunrisesagain (av) + yalli & incantamento (gifs) + pinterest (icons).

samantha

i don't want to be anything other than me

anecdote une • Devant chez les Campbell, les passants accéléraient toujours le pas. Dans le jardin, devant la maison, des carcasses de voitures, des tas de trucs entassés, on aurait dit une déchetterie. Pourtant, dans la maison, les rires d’enfants donnaient à l’atmosphère le son du bonheur. Jamais d’assiettes trop remplis, des vêtements d’occasion, des meubles usés, mais si l’argent ne fleurissait pas, le bonheur, lui, n’était jamais bien loin, dans les choses simples. La soupe du soir se transformait souvent en concours de blagues, et le père Campbell était un conteur incroyable. Doté d’une subtilité légendaire, il faisait naître des étoiles dans les yeux de sa femme, en même temps que dans ceux de ses gamins, et ce peu importe s’ils n’avaient pas des vélos flambants neufs, ou bien des baskets à la mode, ils avaient ce qui ne s’achetait pas : beaucoup d’amour.
anecdote deux • A l’école, Aaron n’avait rien de celui que l’on prédestinait à un grand avenir. Ennuyé par l’immobilité et le silence, il peinait à se concentrer, et malgré ses efforts, il rencontrait des difficultés à obtenir la moyenne. Il s’était accroché le brun, tant bien que mal, année après année, mais il devenait de plus en plus compliqué de garder le cap et d’espérer obtenir son diplôme tant il accumulait de retard. La conseillère d’orientation n’avait même pas essayé de faire semblant quand elle lui avait dit de faire une croix sur l’université, et probablement même sur son diplôme tant il était largué, concluant même par un « je suis désolée Aaron, mais il y a vraiment des élèves pour qui je ne peux rien faire. » Cause perdue. Voilà comment il l’avait encaissé, ou peut-être ne l’avait-il jamais vraiment accepté, finalement.
anecdote trois • India, elle était tout ce qu’il n’était pas. Quand elle passait dans le couloir, elle était d’une grâce qu’on ne lui connaissait pas, lui ce gros bourrin qui râlait mieux que personne. Pourtant, son sourire suffisait à lui faire oublier ses railleries, pour faire ressortir de lui un besoin de se sentir aimé profond et intense. Elle lui donnait l’impression d’être quelqu’un de bien India, elle lui offrait cette confiance en lui qui lui avait toujours manqué, et ce même quand il ne cessait de lui demander ce qu’elle faisait avec un mec comme lui. Rencontré autour de leur bouquin de littérature, elle avait passé beaucoup de temps à l’aider après les cours, pour qu’il puisse avoir la moyenne, et valider une partie de son année, et elle avait fini par tomber amoureuse de cette fragilité qu’Aaron n’avait jamais honte d’assumer. Pas le physique d’un sportif, pas l’intelligence d’un premier de la classe, il n’y avait personne de plus ordinaire que lui, et pourtant, elle, ses yeux de biche, ses cheveux de princesse, ses aspirations, ses rêves l’avaient choisi, lui, quand elle aurait pu avoir tous les autres. Le premier amour, le grand amour.
anecdote quatre • Elle avait envoyé ses dossiers à quelques grandes universités India, quand Aaron, lui, n’en avait rempli aucun. Pas le moindre. « Tu n’as pas besoin de faire de grandes études pour réussir… », elle ne cessait de lui répéter qu’elle croyait en lui, et qu’elle était fière de lui. Pourtant, au fur et à mesure que l’année passait, il devenait de plus en plus difficile pour le Campbell de faire semblant. Ils avaient prévu de vivre leur relation à distance, au début, le temps qu’elle s’installe et trouve son rythme, et puis qu’il la rejoigne, puisque rien ne le retenait à Tree Hill, et qu’il pourrait trouver du travail là où elle serait. C’était écrit. Alors elle était partie India, la promesse de leur avenir à deux sous le bras, avec un sourire immense et un baiser dans le hall de l’aéroport. Rien ne pourrait les séparer, ils s’aimaient, et ils affronteraient tous les obstacles. Pendant qu’elle prenait ses marques sur le campus, lui avait été embauché par son père au garage, un domaine qu’il connaissait déjà et dans lequel il avait été bercé toute sa vie durant. La facilité. Parce que c’était ce qu’il choisissait toujours Aaron, la facilité. Quand India l’appelait, et lui racontait ses journées, qu’il l’entendait lui conter ses nouvelles rencontres, les découvertes qu’elle faisait jour après jour, et l’exaltation qu’elle ressentait en embrassant ce nouveau quotidien, il sentait le fossé se creuser en même temps qu’un trou béant dans sa poitrine. Lui n’avait aucune ambition, il se suffisait dans le confort de sa vie sans relief à Tree Hill, et elle valait mieux que ce qu’il avait à offrir. Ses mains sales, les traces de cambouis sur son visage et son reflet dans le miroir le laissaient vide. Vide d’espoir. « Ca ne marchera pas. » Quatre mots, quatre coups de poignard dans le coeur qu’il avait prononcés pour la libérer de ces chaînes qui la retenaient à Tree Hill et la tiraient vers le bas, quatre mots pour la libérer de lui, d’eux, et de leur relation. Quatre mots qui pesaient si lourd.
anecdote cinq • Dix-neuf ans, une main sur la canette de bière posée sur la table, l’autre dans un moteur. Le garage était devenu son échappatoire, pour oublier qu’elle lui manquait, pour oublier qu’il lui avait brisé le coeur en même temps qu’il avait éteint le peu d’optimisme dans le sien. Avec elle, il avait dit adieu à ses espoirs, à ses envies, à son amour propre, aussi fin fusse-t-il, et il ne restait que son désarroi et la fatalité. Alors, les voitures étaient devenues la meilleure des compagnies, elles l’écoutaient, sans broncher, et elles n’osaient jamais le contredire quand il pestait contre le monde entier. Elles supportaient son silence, et les canettes qu’il balançait de toute ses forces et qui les frôlaient sans même cligner des yeux. Elles acceptaient qu’il hurle, puis qu’il su mûre dans le silence, sans poser de questions. Les voitures le supportaient quand lui ne pouvait même plus se voir en peinture et se dégoûtait. Il se détestait d’être aussi idiot, d’être aussi laid, de manquer autant d’ambition, il se détestait de l’avoir laissée tout en sachant qu’il avait pris la bonne décision parce qu’elle méritait mieux que lui, qu’un raté coincé à Tree Hill dans un garage qui n’obtiendrait jamais rien de mieux que ça… De l’huile sur les mains.
anecdote six • Deux ans, et une photo sur la nouvelle application du moment qui vint agir comme une gifle. India avait posté une photo d’elle, sur Facebook, avec un autre garçon. Evidemment qu’elle allait refaire sa vie, rencontrer quelqu’un, elle était brillante, douce, attentionnée, et incroyablement belle, elle avait l’embarras du choix, et elle avait l’air heureuse. Loin. Sans lui. C’était dur, mais nécessaire, lui qui broyait du noir et qui refusait de s’autoriser à sortir avec cette cliente qui l’avait invité, à plusieurs reprises. « Demain, vingt heures ? » Avait-il fini par lui proposer, et c’était comme ça qu’avait démarrer sa relation avec Daisy. Elle était jolie Daisy, mais un peu trop excentrique pour Aaron, souvent. Parfois très calme, parfois branchée sur du dix milles volts, il avait du mal à la suivre, mais elle lui faisait du bien, c’était léger, c’était ce dont il avait besoin… Jusqu’à ce qu’elle lui ramène un test de grossesse positif et qu’il se retrouve à loucher sur deux barres bleues. Son coeur avait accéléré le rythme, il ne pouvait devenir papa, pas maintenant, ni peut-être jamais, quel genre d’exemple était-il ? Pourtant, neuf mois plus tard, Sloan était là, avec ses tous petits doigts, ses sourires et ses couches nauséabondes.
anecdote sept • tw : santé mentale, suicide. Les cris étaient hystériques, les larmes, les gestes étaient excessifs, et Aaron avait attrapé Sloan pour le serrer fort contre lui, qu’il ne voit pas sa mère dans cet état. Depuis la naissance du bébé, tout était chaotique, et Daisy semblait perdre pied jour après jour. Sa santé mentale était en train de basculer dans l’obscurité, et les médecins ne voulaient rien entendre, se contentant de lui fournir des antidépresseurs qu’elle prenait selon son humeur. Tout allait bien, trop bien, trop beau, excessivement incroyablement fabuleux, et puis tout allait mal, trop mal, trop douloureux, excessivement violemment catastrophique la minute suivante. Lorsqu’il avait reçu un appel des autorités, Aaron avait vu son monde s’écrouler, encore une fois, puis une nouvelle fois lorsqu’il lut la lettre qu’elle lui avait laissé, sur le lit, avant d’aller se jeter du pont de Tree Hill. « Pardon d’être une plaie, pour toi, pour Sloan, je ne veux pas que vous ayez à supporter mes crises, je ne les supporte pas moi-même. Tout ira bien, je sais que tu es fort et que tu sauras lui donner les valeurs qui te ressemblent… » Un élan de lucidité, qui pourtant sonnait comme une folie pure et simple, un geste d’amour pour ceux qu’elle emmenait avec elle dans son coeur, et qu’elle croyait protéger en les quittant pour toujours. Daisy Morrow, 1980 - 2002, loving mother, caring daughter, and selfless partner, gravures laissées sur une pierre tombale qu’il irait fleurir chaque semaine.
anecdote huit • La routine avec un enfant en bas âge prenait un nouveau tournant, et Bill, le père d’Aaron, l’avait autorisé à prendre du recul avec le garage pour s’occuper de son petit fils, quitte à l’aider financièrement. Face aux difficultés que représentait la monoparentalité, le brun avait fini par accepter de s’éloigner un peu, et de chercher un poste qui collerait mieux aux besoins de son enfant, et aux horaires de la nourrice, puis de l’école. Il avait fini par obtenir un post d’agent de mairie, s’occupant de nettoyer les rues, de réparer ce qu’il y avait à réparer dans les locaux, de repeindre quelques pièces et biens publics, un boulot qui ne payait pas de mine mais qui lui permettait d’être à l’heure à la sortie de l’école pour ramener Sloan à la maison, et lui préparer son goûter. Ca avait duré quelques années, jusqu’à ce son père ne le rappelle au garage. Il vieillissait et il avait du mal à tenir le rythme des réparations qui arrivaient, alors il comptait sur Aaron pour l’appuyer, avant de lui céder complètement le garage pour profiter d’une retraite bien méritée et de prendre le relais avec le petit, à la sortie de l’école, pour le goûter, puis pour jouer le taxi une fois l’adolescence venue.
anecdote neuf • Il grognait Aaron, le nez dans la capot d’une bagnole en panne, et quand il était comme ça, il valait mieux ne pas trop le titiller. De l’autre côté du garage, Jace et Mason travaillaient en binôme sur un SUV accidenté que le propriétaire revenait chercher dans la soirée, et il entendait le téléphone sonner encore et encore. Mavie le relançait sur les réparations du véhicule de Hollingworth, et il n’avait pas eu le temps de s’en occuper. Pas le temps. C’était comme ça qu’il avait fini par la laisser faire, elle que son père avait formée, et dont il avait toujours prétendu ne jamais avoir entendu parlé, alors que Bill avait loué ses capacités d’apprentissage. Pas envie de perdre son temps à surveiller, pas envie de former, pas envie de devoir reprendre ses éventuelles conneries, il avait préféré ne pas prendre de risque. Comme toujours, Aaron Campbell n’avait même pas l’ambition de partager ses connaissances, d’avoir la fierté de voir son élève devenir autonome. Non, la routine, c’était ce qui le nourrissait. Sauf là. Là, il était en retard, dans la merde, et pas d’humeur. « Ca avance le SUV ? » Aboya-t-il de l’autre bout du hangar. Pas de réponse, mais des gloussements qui venaient lui irriter les tympans. Posant ses outils, il s’avança vers le véhicule et frappa sur la capot, l’air renfrogné et les sourcils froncés. « J’ai dit, ça avance ici ? » Quand il était de mauvaise humeur, les gars savaient qu’il ne fallait pas l’énerver, mais que comme tout bon soupe-au-lait qui se respectait, ça lui passerait bien vite et qu'ils oublieraient tout autour d’une bonne bière, comme toujours.
anecdote dix • La porte qui claquait, et Sloan était déjà dehors, lâchant un « A ce soir, papa ! » auquel il n’avait jamais le temps de répondre. L’université de Tree Hill était la seule qu’ils aient pu se payer, et Sloan ne lui en avait évidemment pas tenu rigueur, voyant bien combien son père avait toujours tout fait pour son enfant, s’oubliant au fil des ans un peu plus encore. Depuis sa naissance, Aaron n’avait jamais refait sa vie, mettant toute son attention sur leur vie à deux, sur l’équilibre qu’il cherchait à lui offrir alors que sa maman n’avait jamais existé que dans les récits que le Campbell lui en avait fait. Il était les deux Aaron, le papa, la maman, le meilleur ami, le porte-monnaie, aussi, se laissant corrompre facilement par les yeux suppliants de Sloan avant une sortie. A vingt ans passés, il était impossible de laisser son papa seul, et donc de prendre son indépendance hors de la maison familiale pour le moment, bien trop proches tous les deux pour envisager une séparation prochaine.  

• prénom / pseudo • est-il encore utile de le dire ? mathilde, hurry babe. • âge • la trentaine. • pronom à utiliser • elle. • ville / pays • perpi city. • présence • quotidienne, si tout va bien . • moyenne de mots • minimum 700 mots, en général. • source du forum • je crois bien que je l'ai créé.  • type de personnage • inventéPL de @jace weris• petit mot, suggestion • cette fois c'est le dernier, c'est déjà beaucoup (beaucoup) trop.

Je réserve mon avatar :

Code:

<res>joshua jackson</res> • <pn>aaron campbell</pn>

Re-re-re-re bienvenue à la maison
puis ce choix de vava, il est sexy le Jojo en quadra

Un craquage comme on les aime et en plus avec Joshua
Tellement hâte de voir ce que tu vas nous faire avec ce PL !

Rebienvenue chez toi

Re bienvenuuuuuuuuuuuue sur le fo'

Bien bien bien, cette boutique a fait un nouveau craquage , mais c'est vraiment coooool

Bon courage pour ta fiche

Hâte de découvrir ce nouveau petit bonhomme

J'aime beaucoup ce choix de prénom, Aaron est un prénom vraiment très chouuuuu

Et ce choix d'avatar, le petit Joshua est de retour, c'est un bon choix

Je file de ce pas te réserver l'avatar pour les quatre prochains jours

Rebivenue sur le forum et il faut que je dis une chose pour le choix d'avatar.

Même toi tu as suivi la mode... t'as bien raison.

Rebienvenue chez toi avec ce nouveau perso.
La fiche est déjà bien avancée, alors bon courage pour le reste.

re bienvenue dans ta propre maison sous ces nouveaux traits, j'espère que tu vas bien t'amuser avec ton nouveau bébé.

Salut patron, j'espère que tu es prêt à t'occuper d'une équipe comme la nôtre

Super contente de voir le chef joué, merci à toi d'avoir craqué sur ce pré lien qui s'annonce parfait !

@Ellis McGregor Je ne sais pas pourquoi, je l'ai visualisé lui quand j'ai pensé à ce perso, donc voilà le bon vieux Joshua dans la place

@Iliana Copeland Je suis faiiiible J'ai prévu un peu de drama, pour changer

@Yohann Miller Enfin un vava que tu connais Et oui, bon, j'ai craqué again. Merciiiiiiii V.

@Giulia Machiavelli Haaa contente que le vava plaise Merci beaucoup.

@Jules Ridley La faiblesse est mon second prénom à moi aussi Merci en tout cas, un jour tu me rattraperas de toute façon

@Rose Sullivan Merciiiii, j'espère que ce perso vous plaira et que je pourrai bien l'intégrer.

@Jace Weris Est-ce que VOUS êtes prêts à supporter les humeurs d'Aaron, c'est aussi une question intéressante. Mais hâte de bien nous amuser avec nos têtes de mule respectives.

La tribu des A s'étend comme un cri d'épouvante Cela dit, on dirait que ton bonhomme n'a rien d'horrifique. Sauf si on voit quelque chose de flippant dans la métamorphose d'un vieux caddie de supermarché en bolide de course  
Amuse-toi bien avec ce nouveau personnage et la team du garage

Re-re-re-bienvenue chez toi

comme je suis trop contente de voir le bourru de patron  et j'ai trooooooooop hâte d'en apprendre plus sur Aaron je valide à 1000% ce craquage et j'espère que tu t'amuseras bien avec cette idée qui "pouf !"

oh le gang des voituriers de qualité qui se renforce
rebienvenue chez toi et hâte de suivre tes aventures

non mais
comment j'aime ce petit ronron  on lui dira pas que mav' lui a trouvé un petit surnom il est tellement touchant, je suis trop fan  et c'est beaucoup trop mims d'avoir pris la peine de reprendre le fait que j'avais un peu beaucoup incrusté mavie dans l'histoire du garage j'ai hâte qu'elle vienne lui casser les pieds à lui aussi maintenant

Il est parfait le chef, j'aime beaucoup !
Hâte de voir ce que ça va donner au garage