Jules Ridley

- ft nina dobrev -

prénom, nom : jules, prénom mixte car elle souhaitait garder la surprise jusqu'à l'accouchement, mais bien décidée à choisir le prénom avant. ridley, troisième nom de famille que j'ai possédé au cours de ma vie. date et lieu de naissance : née le 12 octobre 1987 à New York. les buildings et la sur-animation constante me manquent, seulement monsieur voulait retrouver ses racines. nationalité : américaine, et fière de l'être. origines : bulgare, mais c'est tout ce que je possède de bulgarie ; même pas un porte-clefs ou un magnet souvenir sur le frigo. métier, activité : agent immobilier, un métier dans lequel j'évolue depuis bien des années et dans lequel j'ai ma petite renommée. orientation sexuelle : bisexuelle, j'aime autant les courbes des femmes que les muscles des hommes. statut civil : mariée depuis neuf ans à un mari qui a oublié que j'étais sa femme et pas sa mère. maman depuis seulement quelques mois, d'un vrai enfant, cette fois-ci. traits de caractère : ambitieuse – douce – organisée – romantique – angoissée – émotive – indécise – maniaque – mystérieuse – spontanée. crédits : @iconsnina (icons).

quentin

i don't want to be anything other than me

contexte familial • Je n’ai pas eu une naissance typique. Celle-ci s’est faite en prison, au George Motchan Detention Center, pas le temps de passer par la case hôpital tellement se fut rapide. Ça faisait seulement quelques mois que la mère avait pris ses quartiers dans cette prison, qu’elle espérait déjà la quitter en me mettant au monde. Manque de bol pour elle, elle poursuivrait sa peine et moi j’habiterais dans les premiers temps avec elle dans sa cellule et aurait la crèche de la prison comme première aire de jeux. Mon père m’a toujours été inconnu, sûrement un homme qu’elle avait dû se taper dans un bar alors qu’ils s’étaient drogués et alcoolisés, comme les toxicomanes qu’ils étaient. Après la période du droit de garde accepté de dix-huit mois, je quittais cet établissement pour être placée en famille d’accueil. À partir de ce moment, j’ai pu vivre dans une atmosphère moins traumatisante, avant de pouvoir garder un souvenir de ma vie en prison. Je n’étais pas la seule enfant dans mon nouveau foyer. J’avais gagné des frères et sœurs d’un coup. Et c’est avec eux que j’ai grandi pendant de longues années. J’ai ensuite eu une enfance tout ce qu’il y a de plus ordinaire, avec des personnes que je considéraient comme ma famille, avec des parents aimants. Du moins, jusqu’à mes onze ans. Ma mère biologique avait purgé sa peine pour trafic de drogue. Elle était sortie de prison un an auparavant, s’était trouvé un petit job dans le bar au coin de la rue de l’appartement miteux dans lequel je ne savais par quel miracle elle avait été acceptée comme locataire. Elle était clean semblerait, et ce, depuis des années. Alors qu’elle s’était retrouvé une situation correcte, elle a fait la demande pour récupérer ma garde. J’étais loin d’être majeure, et elle avait prouvé qu’elle souhaitait reconstruire sa vie, continuant même à prendre des rendez-vous réguliers avec d’anciens addicts comme elle afin de ne pas recraquer. Et elle avait réussi. Elle avait réussi à me faire sortir d’une famille exemplaire pour aller étouffer dans une chambre à la tapisserie douteuse chez elle. Elle s’était même retrouvé un compagnon, un certain Garry. Elle l’avait très probablement rencontré à ses "séances", comme elle les appelaient. Deux années. Pendant deux longues années, j’avais dû vivre avec eux, puis qu’elle, puis à nouveau eux, puis à nouveau elle toute seule, et puis avec un Franck… Il y avait eu beaucoup de va et viens dans cet appartement. Beaucoup d’hommes qui voulaient absolument que je les appellent papa. Puis au bout de ces deux années, elle était retombée dans ses travers, parachutée en prison pour trafic de drogue comme auparavant, cette prison qu’elle connaissait si bien. Et moi, je retournais en famille d’accueil. Ma deuxième. L’ancienne ayant fini par déménager quelques mois avant. Une famille tout aussi aimante que la première. Ainsi, j’avais à nouveau des frères et des sœurs, de nouveaux. Surviendra quelques mois après seulement le décès de ma mère, poignardée par une rivale de la prison, arme faite à base d’une brosse à dents taillée. Elle aurait pu se sauver, elle y était presque parvenu.

contexte professionnel • Je n’étais pas l’élève qui levait la main pour donner les réponses aux questions des professeurs, j’étais plus à dire les réponses dans ma tête et m’agacer de ne pas l’avoir lever ensuite pour augmenter ma note de participation au cours. J’étais pourtant bonne élève. J’étais sérieuse, disciplinée, j’avais de bonnes notes et avait le mérite d’obtenir les félicitations des professeurs à chaque bulletin scolaire. Mais j’étais discrète, trop discrète à leur goût, préférant demeurer muette alors qu’ils m’encourageait à m’ouvrir davantage. Sur ce point, j’étais plutôt têtue et me renfermait davantage. Cependant, ça ne m’empêchait pas d’avoir des amis. Des amis qui me demandaient de rédiger leurs dissertations, ou bien qui m’utilisaient comme alibis quand ils allaient voir leurs amoureux alors qu’ils avaient l’interdiction de leurs parents. J’étais bien loin du cliché de l’adolescente qui se rebellait alors qu’elle avait eu une enfance compliquée suite aux problèmes de drogues de ma mère, sa seconde incarcération, et sa brève envie de se repentir. Je n'étais pas partie en sucette comme on aurait pu le croire. Si elle avait décidé de foutre sa vie en l’air, j’avais d’autres ambitions. Je tenais ça de ma famille, celle que je considérais comme ma vraie famille, celle qui m’avait adopté suite au décès de ma mère des années auparavant. Après les années en général, je m’étais dirigée vers une école de commerce. C’est durant ces études que je me suis plus ouverte, étant passionnée par cette direction et ce que ça pourrait m’offrir ensuite. J’avais envie de réussir dans cette branche. J’avais envie d’être une bonne vendeuse, pouvant même opter pour quelques sournoiseries afin d’atteindre mon but. Je n’étais plus la gamine qui avait pu se laisser marcher sur les pieds plus jeune. J’étais devenue une femme, une femme qui avait envie de réussir. Ne pas échoué comme ma mère avait pu échouer. C’est après l’obtention de mon diplôme que je suis devenue agent immobilier et que j’ai évolué dans ce domaine, au point d’avoir ma petite réputation dans le milieu.

contexte amoureux • C’est durant mes études de commerce que je l’ai rencontré. Lui, qui était bien différent de moi. Il avait eu une enfance simple et enviable, il avait été un élève perturbateur qui avait déjà insulté un professeur une fois, et il ne faisait pas ces études par envie mais par « devoir », son père insistant pour qu’il ait ce diplôme. Et c’est avec tous ces contraires qu’on s’est trouvé et jamais lâché. C’est le seul homme que mes parents ont rencontré, le seul avec qui je me suis réellement dit que je pourrais finir ma vie. Nous avons emménagé dans un petit appartement à New York à la fin de nos études. Un cinquante mètres carré qu’on payait une fortune comme il était positionné en plein centre de Manhattan. Mais nous avions craqué sur le style typique newyorkais de celui-ci. Un mur en briques, un escalier de secours métallique derrière la fenêtre, des voisins de palier plus qu’agaçant. En plein dans l’american dream. C’est après une lassitude de monsieur, dans cette sensation d’étouffement constant dans une foule bien trop dense qu’il rêvait d’espace, de calme et de sérénité. Alors on faisait nos bagages pour Tree Hill, en Caroline du Nord. Il y allait souvent en vacances alors que ses grands-parents paternels y vivaient quand ils étaient encore en vie, ayant quitté ce monde il y a plusieurs années. Avec les économies mises de côté depuis toutes ces années, mais profitant toutefois d’un emprunt confortable, nous nous installions dans une maison dans un quartier tranquille et je déployais mon propre cabinet immobilier dans cette nouvelle ville dans laquelle nous résidions désormais. Deux ans après notre emménagement, il souhaitait un autre engagement de ma part. L’engagement de devenir sa femme. La demande avait été belle, un soir d’été, en nous pavanant le long de la plage après avoir dîner au restaurant. Le bord de mer avait été étrangement vide de mon à ce moment-là, nous emportant dans un moment rien qu’à nous, juste nous deux. Et évidemment, j’avais répondu à l’affirmativement, je désirais être sa femme. Le mariage a eu lieu l’année d’après, à la même période de l’année, je me souviens qu’il avait fait cruellement chaud ce jour-là. Mais la température de notre relation s’est refroidie d’année en année après ça. nous avions pensé à divorcer une fois ou deux, quand ça allait mal à son travail ou qu’il me tannait pour avoir un enfant alors que je n’en désirais pas, par peur. Par peur de ne pas être une bonne mère. Mais je tenais à lui, beaucoup trop, alors j’aurais fini par céder. Un enfant pour reconsolider notre mariage. Quelle idée. Ma fertilité aura vaincu, j’étais enceinte rapidement après cette décision prise. Ces neuf mois ont été un enfer pour moi, un paradis pour lui. Il était aux petits soins, et moi, j’angoissais. J’avais peur d’être une bonne à rien, je n’étais pas prête à m’occuper d’un petit être. Mais elle a fini par arriver dans nos vies, à ruiner nos nuits, à me briser les oreilles quand elle hurlait pour me dire que quelque chose n’allait pas mais que je n’arrivais pas à décrypter, à me déclencher des crises de larmes derrière la porte du sellier en me faisant penser que j’étais nulle dans ce nouveau rôle. Alors un soir, j’ai laissé la petite avec mari à la maison, prétextant que j’allais voir des copines. Je sortais seule, seule dans un bar avec une ambiance assez glauque. Je suis restée au comptoir à parler avec le barman dans un premier temps, jusqu’à me faire aborder par une jeune femme. Les heures suivantes parurent courtes en sa compagnie. Je retrouvais mon rôle de femme le temps d’un instant, avant de retrouver mon rôle de maman à la maison. elle était plus jeune, excentrique, impétueuse, fougueuse et elle était ce qu’il me fallait à cet instant. Je me suis laissée séduire, sans jamais dépassé la limite ce soir-là. Mais s’il y avait un autre soir…

vrac • coffee addict • a pratiqué le piano pendant une dizaine d’années • plutôt bonne en cuisine • ne supporte pas vraiment l’échec • n’a jamais fumé, mais a déjà bien picolé au point de ne pas se souvenir de plusieurs soirées dites « mémorables » • allergique aux fraises • n’a jamais possédé d’animal de compagnie • n’a jamais entrepris de connaître son père biologique • a repris nouvelles avec sa première famille d’accueil il y a plusieurs années déjà • a déjà vendu une demeure à une célébrité dont elle a toujours tue le nom • raffole de sushis • ne tient pas l’alcool • les rageux disent qu'elle a réussi grâce à son mari et l'argent de sa famille.

• prénom / pseudo • ludi. • âge • toujours 29. • pronom à utiliser • elle. • ville / pays • poitiers, france. • présence • présence quasi tous les jours pour passer faire coucou, moins pour rp. • moyenne de mots • environ 700 mots. • source du forum • par daniela & bianca. • type de personnage • inventé. • petit mot, suggestion • en vrai j'pète un plomb avec ce troisième perso, c'est à cause de la boutique.

Je réserve mon avatar :

Code:

<res>nina dobrev</res> • <pn>jules ridley</pn>

Re-bienvenue chez toi

Re bienvenuuuuuuuuuuuuuue sur le fo'

Encore une petite faiblesse

Bon courage pour ta fiche

Hâte d'en savoir plus sur cette petite demoiselle

Ce choix d'avatar, ca fait longtemps que je n'avais pas vu Nina sur les fo', elle est vraiment trop chouuuuu

Je file de ce pas te réserver l'avatar pour les quatre prochains jours

@james delannoy ▬ Merci à toooi.

@zack wilson ▬ J'avoue, je craque encore. C'est de la faute de la boutique.
Heureusement qu'elle se termine demain, car dans deux mois si ça continuait ainsi j'allais surpeupler le forum de persos.
C'est vrai qu'elle est chou, mais je la trouve de plus en plus magnifique en vieillissant. C'est comme un bon vin, elle se bonifie avec le temps.
Merci à toi pour ton message.

Nina mais olalala
toujours aussi incroyable si ce n'est plus avec le temps, un choix de folie
rebienvenue chez toi avec ce nouveau craquage

@luna davis ▬ Totalement d'accord avec toi, c'est une queen.
Merci pour ton message.
C'était mon dernier craquage. ... Jusqu'au prochain. - mais pas tout de suite

@Jules Ridley c'est toujours ce qu'on dit, tu vas cligner des yeux et tu seras à 5 comptes
mais en tout cas ça fait plaisir de te voir craquer avec un nouveau super personnage

la faiblesse, c'est bien
rebienvenue à la maison

re bienvenue avec ce choix de dingue, Nina est tellement belle, et le prénom j'aime beaucoup trop,

j'adore les craquages, genre j'ADOOOOORE les craquages comme ça Puis bon, ce ne sera pas le dernier de toute façon, on sait bien que tu finiras par recraquer



Ne me tente pas, je suis persuasive quand je m'y mets, beaucoup on subi ici



Voilààà, t'es prévenue

Ceci étant dit, Nina est trop jolie, et si pendant un temps, on la voyait sans arrêt, on ne la voit plus que trop rarement et ça fait vraiment plaisir de l'y retrouver Elle est si belle



Ha ba d'accord T'as peur que de faire un QC avant la fin de mon message ou quoi ?

Bon, ba j'y vais alors, mais en tout cas, j'ai hâte de découvrir Jules, le début de son histoire est très intéressant et les quelques bribes dans le profil et dans la première partie de la fiche attisent déjà ma curiosité !

Amuse-toi bien avec cette nouvelle demoiselle

Oh you again ?
Tu pullules comme un petit champignon tout mignon
Bienvenuuuue à nouveau à la maison, Jules est parfaite, i want a lien with her

Mamaaaaaaa ce craquage que j'adore t'es aussi faible que moi, je t'aime
Amuse toi bien avec la jolie Jules! Nina est tellement belle

Rebiiiienvenue avec ce super perso qui m'a l'air très intéressant
& Nina très bon choix

@Luna Davis ▬ Les boutiques comme ça aussi, c'est dangereux.


@Jeb Greenshaw ▬
Merci à toi.

@Rose Sullivan ▬ Merci à toi pour ton petit message.
Je n'ai même pas eu le temps de te souhaiter la bienvenue sur la tienne tellement ça a été rapide. Du coup j'en profite maintenant (et vous pourrez pas m'en empêcher ) Bienvenue & toi aussi t'as fait un choix de diiiingue avec Ester en avatar. Cette femme est une queen.

@avery thompson ▬ Et moi j'ADOOOORE tes messages de bienvenue !
Je suis d'accord, on la voyait par-tout, ç'en était même fatiguant.
Mais cette femme est un bonbon, de plus en plus belle & très drôle, ce qui ne gâche rien.
Alors j'espère que le reste de la fiche te plaira, tu peux tout lire désormais.
Merci à tooooi.

@ellis mcgregor ▬ Me juge pas, je suis faible.
T'auras tous les liens que tu veux, of course. Jules peut fréquenter quelques soirées mondaines avec sa renommée dans son travail (elle a déjà vendu une maison à une célébrité, rien que ça ), donc peut-être qu'elles s'y retrouveront, qui sait.
En tous cas, merci à toi.

@Bianca Flores ▬ La faiblesse nous a à chaque fois...
Merciiiii ; on verra pour se trouver un petit lien, comme à l'habitude.

@lennon copeland ▬ Merci à toi tronche de cake.

oooh, merci beaucoup ça me fait énormément plaisir,