Jazz Sawyer

- ft Taylor Marie Hill -

prénom, nom : De son réel prénom, Jasmine, est né un surnom Jazz. Peu de gens la nomme par son réel prénom, même ses propres parents, ceux qui on eut le luxe de choisir ce nom, préfère la nommer Jazz. Plus doux, plus court, plus agréable. Sawyer est le nom de famille de son père, qu'elle porte depuis la naissance. date et lieu de naissance : New York est sa première résidence, et la principale, depuis le 10 août 1999, elle a donc 24 ans. nationalité : Américaine, sans aucuns doutes. origines : De nombreuses origines Européennes mêlées à celles de l'Irlande du Nord et de l'Ecosse font d'elle ce qu'elle est aujourd'hui. métier, activité : Elle est pianiste dans le groupe Up Midtown orientation sexuelle : Hétéro sans l'ombre d'un doute statut civil : Si clair aux yeux de tous, il n'est pourtant pas si aisé dans sa vie privée. Facebook mentionnerait le statut c'est compliqué pour traduire sa situation, malheureusement rien ne peut être mentionné sur les réseaux. traits de caractère : Elle est capable de soulever des montagnes pour ceux qu’elle aime. Elle est capable de donner tout ce qu’elle possède ne serait-ce que pour que ses proches aient tout ce dont il désire. Elle est généreuse, trop. Car Jazz est comme ça. Trop gentille, elle donne sans recevoir, trop souvent dans un sens unique, jeu dans lequel elle se blesse trop souvent. Mais elle recommence toujours, car elle a le cœur dans la main. Trop gentille ne signifie pas qu’elle est dépourvue du sens de la répartie. Elle est simplement plus réservée et ne se laisse pas aller à être elle-même lorsqu’elle ne connait pas bien ses interlocuteurs. Pas renfermée pour autant, elle a conscience des moments où elle se doit d’être professionnelle et pointilleuse et les moments plus récréatifs, où elle peut dire n’importe quelle bêtise car les paroles ne vont pas se retourner contre elle. Elle est persévérante et déterminée, lorsqu’elle tient un projet, elle est incapable de le lâcher en cours de route. Pointilleuse, elle fait attention aux moindres détails et de l’image qu’elle peut renvoyer aux autres. Pas superficielle non plus, mais son passé lui a déjà prouver qu’une image peut résoudre nombre de problèmes. Polie et respectueuse, elle est d’un remarquable sang froid, très utile lorsque les situations difficiles s’annoncent. Pas la dernière à aimer sortir, elle aime la fête, la nuit, là où l’apparence compte moins et qu’il est plus facile de se dissimuler dans les ombres, facile d’être soi-même, facile d’oublier qui on est, d’où on vient. crédits : kuwentista et directereference pour les gifs - avatar par Neverland

quentin

i don't want to be anything other than me

anecdote une • J’ai toujours eu les mains sur un instrument de musique. C’était facile, car mes parents sont musiciens. Dans un groupe assez connu mais pas assez que pour en vivre. Ils bossaient tous les deux sur le côté et je me souviens des longs soupirs e mon père lorsqu’il envoyait ses chaussures contre les murs dans le couloir afin de s’en débarrasser, tout en dénouant la cravate qui lui serrait le cou. « Ne fais jamais quelque chose que tu n’aimes pas, ma chérie. » avait-il dit à plusieurs reprises. « Je te souhaite de trouver ta voie et d’ne vivre, je te le promets, on fera tout pour. » Dans les coulisses, d’aussi loin que je me souvienne, je trouvais la voix de ma mère fantastique et la guitare de mon père l’a toujours accompagnée. Des super-héros aux yeux d’une gamine dont les yeux brillaient à chaque fois qu’ils se trouvaient devant un public.
anecdote deux • J’ai grandi. Mes parents aussi. De notre petit appartement où l’on était un peu à l’étroit dans le Queens pour un coin plus artistique dans Brooklyn. Leur groupe amène un peu plus de monde, le vent tourne. Leur popularité grandit, comme une fleur qui s’ouvre au printemps, les maisons de disques s’intéressent à eux, à leur musique. C’est mon début dans une école privée de New-York. Ils demandent plus d’investissement, plus de travail, plus … de tout. Je ne suis pas libre d’être l’artiste que mes parents tentent de façonner. Le piano est toléré comme activité extra-scolaire, ce n’est que pour cette raison que j’y suis. Je suis douée, un peu trop, mais je ne respecte pas assez les partitions, je ne rentre pas dans le moule qu’ils tentent de m’imposer et je me heurte à un monde dur et froid, où l’on me prend pour une fille stupide dont la célébrité naissante des parents permet de rester dans cette école.
anecdote trois • La jalousie mène au harcèlement. Le harcèlement mène à la solitude. Ne voulant pas inquiéter mes parents, je me tais. J’ai 13 ans, mes parents sont de véritables célébrités. Ils parlent même de partir en tournée ! Et cet été je pars avec eux. Deux mois à sillonner le pays, à partir à la rencontre d’autres univers et je m’en réjouis. C’est ce qui me permet de tenir cette dernière année scolaire dans cette école. Parce que les autres continuent de se moquer de mon uniforme pas très bien repassé, ma mère n’a jamais été douée. Mais je sais qu’elle fait de son mieux, alors je ne dis rien. Je les aime de tout mon cœur, de toute mes forces. Je joue du piano, du synthé à la maison. Si semblable et pourtant si différent … Pourtant, j’apprends à mêler le classique du piano à la musique du synthé, je créer, je mélange, je trouve ma voix, mes parents m’encouragent. Je pourrais monter sur scène, certains soir, cet été, et l’idée me rend aussi heureuse que stressée. Alors je bosse la musique, les autres me laissent seule à l’école, je n’ai pas d’amis, personne ne m’aime là-bas.
anecdote quatre • Mais il fait mal, ce retour à la réalité. Derrière le synthé, protégée par l’ombre de mes parents devant moi, je me suis sentie forte, confiante, entourée de gens d’une bienveillance extrême. Il est violent ce retour à l’école, elles sont dures toutes les remarques que je ramasse autour de moi. Cachée sous la capuche de ma veste, éloignée un maximum des autres, c’est finalement l’un de mes professeurs favoris qui vient à ma rencontre. « Change d’école, Jasmine. Demande à tes parents de te transférer ailleurs. Tu as trop de talent que pour rester ici ! Et ils ne méritent pas une élève aussi talentueuse ici. » Il m’a aidé à téléphoner à mes parents, le premier jour de la rentrée, et le changement fut direct. La boule que j’avais à l’estomac s’est estompée sachant que je laissais le pire derrière moi et que tout autre place ne peut être que meilleure.
Nouvelle école privée, nouveaux professeurs, nouvelles marques à prendre, mais tout se déroule dans la bonne humeur. 14 ans, nouvel uniforme, nouvelle règle : se faire des amis.
anecdote cinq • Avec Juliette, nous sommes inséparables. C’est un peu nous deux contre le monde finalement. Ma meilleure amie brille avec son violon et je l’accompagne toujours avec le sourire avec mon piano. Nous avons 17 ans, on est un peu dingue, un peu différente des autres car nous nous dirigeons vers une musique qui est loin de la classique travaillée dans l’école, mais elle est acceptée malgré tout. On commence à se présenter dans un café-concert qu’on fréquente beaucoup. Comme je grandis, mes parents sont souvent en déplacement. Oh et nous avons encore déménagé. Nous sommes dans un appartement luxueux possédant une vue limitée sur la ville, le studio d’enregistrement n’étant pas très loin. J’évolue dans Manhattan comme un poisson dans l’eau mais Juliette me ramène les pieds sur terre régulièrement. Adolescentes qui jouent leur musique, on se créer une bulle que personne n’est capable de percer. J’accompagne mes parents dans leurs déplacements lors de mes congés scolaires, mais, cette fois, ma meilleure amie est avec moi.
anecdote six • On intègre Julliard. Toutes les deux. Ensemble ! On se raconte nos histoires d’amour, on essuie les larmes de l’une et de l’autre, et, après un été formidable en parcourant le pays, on rentre pour intégrer cette école prestigieuse à laquelle on aspirait. Juliette se lance dans l’aventure tête baissée, elle veut jouer et vivre de son art, c’est son but. Moi, je ne suis plus certaine de ce que je veux faire. Je veux jouer du piano, du synthé, je veux évoluer mais les cours ne me plaisent pas autant qu’elle. Je prends plaisirs à suivre des cours de danse, d’occupation de la scène, mais ce n’est pas ce pour quoi j’ai été prise dans mon cursus. Après les fêtes de Noël, j’abandonne. Je laisse l’université de côté malgré la colère de ma meilleure amie et la tristesse que cela engendre. Je ne l’oblige pas à me suivre, je la laisse suivre sa voie et moi j’emprunte la mienne. Je retourne au café-concert, je prends conseil auprès de mes parents et je m’envole dans un groupe à mon tour, mon synthé au bout des doigts, c’est le début d’une nouvelle aventure.
anecdote sept • Le groupe s’écrase aux premières obligations et délais à tenir. Je retourne jouer avec mes parents, l’idée germe : « As-tu envie de jouer avec nous, ma puce ? » Question stupide car je saute sur l’occasion. Je signe, j’intègre un groupe que je connais depuis gamine. Je suis repérée ailleurs et on commence à se poser des questions avec mes parents : ils n’ont plus envie de faire de longues tournées, ma mère souhaite commencer l’enseignement de la musique, du chant et mon père a envie de se poser quelques temps et retrouver sa passion avant qu’elle ne devienne un métier. Mais moi, je débute, je suis jeune, j’ai de l’ambition. Le label me propose une nouvelle idée : intégrer un nouveau groupe qui a besoin de ma présence. Pourquoi ? Je n’en sais rien. Mais je n’ai aucunes envies d’arrêter, et après quelques discussions sérieuses autour de la table de la salle à manger, je m’envole sur un groupe différent : les Up Midtown.
anecdote huit • Ma rencontre avec eux ? J’ai cru que j’allais revivre mes premières années d’école. La boule au ventre, j’ai attendu la fin du discours de Duncan sur ma présentation, j’ai esquissé un petit salut timide de la main avant de m’enfuir pour retrouver mon piano. J’avais regardé leur performance, j’ai étudié les chansons, les partitions, j’ai tout fait pour que tout se passe bien, mais le démarrage est difficile.
Les doigts glissant naturellement sur les touches, je reprenais les notes de l’une de leurs chansons lorsque Mac est arrivé. Intimidée, je me suis stoppée en le regardant avancer dans la pièce, prendre sa guitare et entamer la chanson avec moi. Choquée, intimidée, je l’ai pourtant suivi, un sourire timide sur les lèvres. C’était le premier vrai sourire que je lui donnais, je n’avais pas idée à quel point il y en aurait d’autres, plus grands, plus sincères, que tout allait être bousculé autour de moi au point de diriger mon monde vers lui. Ses yeux m’ont fait tomber en premier, mon cœur loupant un battement à chaque fois qu’il les posait sur moi. Duncan débarque rapidement avec ses formulaires de confidentialité sur notre relation. Réunion de crise, avait-il précisé ... J’ai cligné plusieurs fois des yeux pour être sûre de bien lire les enjeux : rien en dehors des 4 murs que nous connaissons, notre histoire n’est pas bonne pour les affaires. Attristée, je regarde Mac signer pour en faire de même après lui. Coup au moral, coup à mon cœur, mais je ne dis rien, j’accuse le coup, je suis avec lui en secret mais avec lui tout de même. Les fictions, les fans hystériques, je les gère au début. Juste au début.
anecdote neuf • La crainte, les doutes, c’est le pire poison d’un couple qui n’arrive pas à communiquer. Prenant de l’ampleur, s’enfonçant dans les non-dits, j’ai bien senti qu’il y avait ce quelque chose, ce malaise qui prenait de la place, trop de place. Ramenée dans d’anciens démons, la crainte d’être mise de côté mêlé à une paranoïa que les fans, inventant toutes sortes d’histoires, m’aidaient à entretenir dans le secret, je ne savais pas quel était le vrai du faux. Alors j’ai simplement posé la question à Mac. Pas de la bonne manière, trop dans l’attaque, le reproche, j’avais trop mal de l’imaginer avec une autre, d’aimer une autre, les larmes étaient trop faciles lorsque je pensais à ça, je n’étais plus dans la musique, trop dans ma relation secrète avec mon petit-ami à cacher du public. C’est lors d’une répétition que tout est parti en vrille :  Mac s’est barré. « On le gave » a-t-il dit. Ce soir-là, j’ai passé mon temps à pleurer, à essayer de l’appeler, d’avoir de ses nouvelles. La rupture est brute, nette, claire. Mon cœur se brise en mille morceaux de cette absence, qui me fait frissonner de douleur dès que l’on prononce son prénom. J’ai si mal, tellement mal …
Et malgré les jours, les mois, l’année qui se joue devant nous, devant le groupe, devant nos fans, la blessure est toujours aussi lourde à porter. La trahison encore plus. Je l’imagine avec une autre, vivre un amour « libre » sans avoir besoin de se cacher. Et j’ai mal.
Si bien que lorsque Duncan propose son idée de folie, je dis oui. Le groupe, c’est tout ce qui reste finalement. On doit le sauver, tout faire pour le garder, le porter. C’est étrange cette histoire de faux couple avec Caleb, mais qu’il soit devenu la personne la plus proche de moi à présent m’aide. C’est mon meilleur ami, celui qui connait mes blessures, un des rares du moins. Si bien qu’il est facile de jouer la comédie, rire à ses plaisanteries, de donner une image d’un couple parfait alors qu’il n’en est rien en réalité. C’est marrant, et je me prends au jeu. Pour le groupe, je ferais n’importe quoi maintenant.
anecdote dix • Puis vient cette fameuse annonce. Le décès de la mère de Caleb qui nous ramène tout droit les pieds sur terre. Elle l’anéanti, je le vois bien. Même je ne peux pas encore connaitre tout ce que cela implique, je sais qu’il souhaite retrouver son frère. Et je ne compte pas le laisser seul dans cette épreuve. Le groupe sur pause, je règle quelques formalités avant de retrouver mon faux petit ami à Tree Hill, sa ville natale, si loin de ce que j’ai connu dans les rues mouvementées de New-York. Mais ma venue n’est pas uniquement dans le but d’aider mon meilleur ami : je sais que j’ai la chance d’apercevoir Mac. Et mon cœur en souffrance le réclame de tout son être, tandis que ma tête me hurle de lâcher l’affaire comme il m’a lâchée, moi.

• prénom / pseudo • Nadou • âge • 28 ans • pronom à utiliser • elle • ville / pays • Belgique   • présence • Toujours 5/7 • moyenne de mots • environs 700 et en fonction de l'inspiration + • source du forum • j'y suis depuis quelques mois, assez pour être corrompue • type de personnage • inventé • petit mot, suggestion • la faiblesse c'est un sacré problème ... Merci les filles

Je réserve mon avatar :

Code:

<res>Taylor Marie Hill</res> • <pn>Jazz Sawyer</pn>

Mais dis doooonc, ça a craqué pour un nouveau perso par ici.
Rebienvenue avec ta Jazz (j'adoooore le pseudo que t'as choisi )
Hâte de voir ce que vous nous réservez avec Mac, j'ai cru comprendre qu'il y avait un lien entre vos deux persos vis-à-vis d'un certain groupe de musique.   (ou alors je me fourvoie. )
& bon courage pour ta fiche.

@Toni Vasquez la faiblesse ? Pas du tout le genre de la maison

Il se peut qu'un lien pointe le bout d'son nez, qui peut savoir

Merciiii

vous ici, avec un autre visage
RENDS MOI MA SOEUR
rebienvenue à la maison, hâte de voir ce que tu nous réserves

rebienvenuuuue chez toi !
tu connais déjà bien les lieux et on adore voir ces petits moments de faiblesse
je suis fan du prénom et du vava et j'ai hâte de voir ce que tu nous réserves avec ta nouvelle demoiselle, ça promet de belles choses tout ça
courage pour ta fiche

je t'ai réservé Taylor pour les 4 prochains jours

t'es trop joliiiiie
hâte d'en savoir plus sur Jazz et de créer des champagne problems avec toi wesh
re-bienvenue à la maison la faiblesse c'est la vie, voilà c'est tout

Le voilà le 6eme
Bonne rédaction ma Nadou

@Jeb Greenshaw j'ai beaucoup de visages mais je suis également faible face à la tentation

@Ava Moore Je n'ai pas pu dire non Merci beaucoup

@Charlotte Rickards il va y en avoir quelques-uns des "champagne problems" avec ce qu'il se trame trop hâte de construire tout ça avec vous

@Finn McGregor je suis dingue, mais tu le savais déjà merciii

TE VOILAAAAAA ! J'arrive, je cours, je vole... je...



ouais bon...



Ha ça te fait rire en plus ? T'es comme ça ?



Oui oui, on connait, pas la peine de faire l'innocente... Puis apparemment, Caleb connait autant que moi maintenant...



Non mais je rêve !   Ba évidemment, t'as cru qu'elles allaient toutes tomber in love de toi ou quoi @caleb dawson ?  

Bref, trop hâte de développer tout ce joyeux bordel et de mener la vie dure à ces loustics Puis bon, comme on dit, ça fait toujours du bien de se taper un bon gros McDo Sur cette poésie, je me file.

Austen McBridges a écrit:

TE VOILAAAAAA ! J'arrive, je cours, je vole... je...



ouais bon ...

Pas ouf ton arrivée, j'attendais des fleurs moi

Austen McBridges a écrit:

Puis bon, comme on dit, ça fait toujours du bien de se taper un bon gros McDo Sur cette poésie, je me file.

Oh c'est très fleuri ça, effectivement tu sors le grand jeu finalement !

Hâte de développer cette histoire et tout ce qui va avec

on va finir par arrêter de compter par ici aussi en fait hâte d'en lire plus sur cette nouvelle demoiselle et surtout, éclate-toi bien avec elle

Re bienvenue
Elle a l'air vraiment chouette ta petite Jazz

Il y a du craquage en série, ces temps-ci Ils naissent dans les œufs de Pâques, vos persos ?

Re-bienvenue avec cette demoiselle au prénom prédestiné   (Il s'appelle Tom, le papa ?   ) Tu choisis bien ton instrument, il n'y a pas mieux que le piano Comment ça c'est UN PEU encombrant ?  

Amusez-vous bien avec le reste de la bande !

Oh ... Une petite faiblesse avec ce nouveau personnage

Re bienvenuuuuuuuuuuuuuue sur le fo'

Bon courage pour ta fiche

Hâte de découvrir cette petite demoiselle

J'aime beaucoup ton choix de prénom, il est vraiment trop mignon

Je ne connaissais pas ton avatar mais elle a vraiment une bouille toute mignonne

Amuse toi bien avec ce personnage

On se multiplie si vite sur PAL

Je ne te souhaite plus la bienvenue t'es déjà en territoire conquis . Alors je dirais juste amuses-toi avec Jazz !
J'ai eu un perso appelée Jazz ce sont les meilleures

J'adore déjà ta demoiselle . Je l'aime tellement que tu trouveras déjà une idée de lien dans le MP à Jace que je viens de t'envoyer .

Hâte d'en lire plus