Wes Danbury

- ft Sam Claflin-

prénom, nom :Le prénom est court, n’a jamais appelé à un quelconque surnom. Wes sonne aussi simplement qu’il le faudrait. Sa femme l’appelle aussi par des insultes, il lui le rend plutôt bien. Danbury est son nom de famille. date et lieu de naissance : Né le 27 Juin 1990 à l’hôpital de Londres. Il va avoir trente quatre ans, fier de ce qu’il a fait dans sa vie jusqu’à présent. nationalité : Britannique, il n’a jamais cherché à avoir la double nationalité ou autre. Il s’est contenté d’une autre voie pour pouvoir vivre aux Etats-Unis. origines : Wes a des origines britanniques par son père, originaire du Royaume Uni. Son père était anglais de pure souche. Ils se sont rencontrés quand ils étaient jeunes lors d’un voyage d’étudiant auquel son père participait aux Etats-Unis. Elle a rencontre son père et le coup de foudre a été immédiatement et suffisamment fort pour qu’elle décide de tout plaquer pour rejoindre cet amour londonien. Et depuis elle en est jamais repartie, même qu'elle est six pieds sous terre avec cet amour qui ne peut être vécu qu’une seule fois. métier, activité : L’assoiffé de pouvoir qu’il est, vient de vendre son affaire en Angleterre à un très bon prix, lui ayant laissé suffisamment de trésorerie pour reprendre une affaire qui menace de faire faillite à Tree Hill, pour rester actionnaire de son ancienne société. Il s’agit d’une société de courtage en finances qu’il espère remettre sur pied. C'est un projet ambitieux qu'il reprend en ayant eu l'oeil dessus depuis des années maintenant. Wes est un idéaliste qui a une vision des choses sur le long terme. Il faut dire que ses études l’ont bien aidé : Wes est ingénieur financier. orientation sexuelle : Amoureux des courbes féminines, il n’a jamais eu de doute sur son hétérosexualité. Mais il en est un peu trop accro. Peut-être que le pouvoir montre trop à la tête, sans doute. Mais il n’y a rien qu’il s’interdit vraiment tant qu’il se sait capable ou non de faire, sans jamais franchir les limites. Si minces qu’elles puissent être, définies dans ce jeu éternel qu’il a commencé un beau jour, des années en arrière. statut civil : Marié à son âme jumelle depuis un an maintenant. Il sait que son ascension au sommet se fera avec sa main dans la sienne. Elle lui a dit un soir, au cours d'une terrible dispute « t’es cap de me dire oui ? » Et une semaine après, Wes lui disait oui dans son plus beau costume, elle dans sa plus belle robe. Heureux et radieux, le coeur débordant d’amour au point d’en oublier le cancer qui gangrène son palpitant. Au fur et à mesure des jours, le cancer prend de la place. Même si ça fait un an qu’il en a pas effleuré la peau de ses lèvres bien trop avides. traits de caractère : Les gens le disent ambitieux C’est clairement une des qualités qui  le résument au mieux. Depuis tout petit, Wes a toujours eu l’ambition de vouloir réussir. La vie ne lui a pas fait de cadeau, élevé par sa grand mère à la mort de ses parents, il a toujours voulu le meilleur, pouvoir rêver d’une vie meilleure. Pouvoir venir aux Etats-Unis et venir cracher sur ce qui ne se sont jamais souciés de lui. Wes est un homme qui a du charisme et qui a toujours su en faire bon usage. Sa grand mère l’a toujours considéré comme la plus belle chose sur terre. Et les femmes le considèrent comme un charmeur doublé d’un tombeur, triplé d’un parfait connard quand il faut rappeler. Son ambition est à la hauteur de sa persévérance. Aussi têtu qu’obstiné, quand il a un but bien précis, Wes ne le lâche pas. Son arrivée à Tree Hill en est la preuve. Au delà de ses défauts, il faut reconnaître qu’il ne manque pas de courage pour toutes les épreuves de  la vie qu’il a endossé. Il a perdu ses parents très jeune et cet évènement a totalement changé sa vie. Il a toujours été un peu solitaire, n’a jamais été le garçon populaire. Souvent raillé, mis de côté. Il n’a jamais eu beaucoup d’amis, mettant sa confiance dans peu de personnes. Aussi volage qu’il puisse être - dans un accord tacite - Wes est un grand jaloux qui peut être capable des pires crasses pour faire payer l’affront qu’il subit, la douleur qu’il ressent. Parce qu’il est égoiste. Qu’il aime détenir, posséder, savoir que c’est à lui. Il n’est pas du tout le genre de personnes à prêter. Dans ce jeu machiavélique qu’il a commencé avec Maggie, Wes a découvert tous les travers dont il était capable. Son intelligence lui permet de créer du succès tout autant qu’il peut faire pire quand il se met à l’oeuvre. Bien évidemment, il tient à la moralité des choses. Wes n’est pas un homme sombre avec des travers glauques. C’est juste un gars immature et un peu trop téméraire qui prend la vie pour un éternel jeu du « cap ou pas cap » dans lequel le monde entier est un pion crédits : gifs trouvés sur tumblr

Victoria

i don't want to be anything other than me

anecdote une • Il est né à Londres dans un climat des plus simples. Enfant unique, il a vécu avec ses parents, entouré d’amour et de bienveillance. Ses parents n’ont jamais été des chefs d’entreprise, n’ont jamais formé une famille dysfonctionnelle ou autre. Simples ouvriers modestes, ils ont su apporter ce dont un enfant a réellement besoin : de l’amour, un toit, un repas matin midi et soir.
Et puis un beau jour, ils sont morts dans un tragique accident de voiture dans lequel Wes a survécu sans aucune dommage autre que de devenir orphelin. A l’âge de huit ans, il est allé vivre chez sa grand mère paternelle, vivant dans une banlieue de Londres.Il n’a jamais connu la famille de sa mère, vivant aux Etats-Unis de ce qu’on lui a toujours dit. Il n’a jamais cherché à entrer en contact avec eux, continuant ainsi de pérenniser ce que ses parents ont instauré. L'indifférence la plus totale, qui s'est naturellement greffée, de ne pas comprendre pourquoi personne ne s'est manifesté à la mort de ses parents. Bien trop jeune pour pouvoir comprendre le monde d'adultes et toutes ces complications.
anecdote deux • (tw : maltraitance sur enfant)Elle s'appelle Maggie et c'est sa voisine. Dans cette banlieue où Wes vit, avec sa grand mère, les maisons sont collées les unes contre les autres et les clôtures sont fines entre les jardins mitoyens des habitations. L'été qui suit la mort de ses parents, il règne une chaleur qui le pousse à aller à l'ombre d'un arbre que sa grand mère entretien avec amour. Ils ont compris, tous deux, qu'ils fallaient se soutenir dans l'épreuve qu'il vit. Et même si la vieille dame fait preuve d'amour pour Wes, il entend ses sanglots tous les soirs au travers des murs trop fins. Alors il s'enferme dans son monde imaginaire, dans ce monde où ses parents sont là. Et au milieu, il entend tout le temps ce prénom : Maggie, Maggie, Maggie... Mais pas comme il faudrait que ça soit. Pas de la même façon que Mamie l'appelle. Non c'est un hurlement digne d'un monstre. Le genre de monstre terrible qui fait peur. Une voix d'homme qui surpasse des petits cris. Des bruits de coup qui laissent craindre le pire. Et puis un beau jour, il finit par voir cette Maggie. Le même âge que lui, elle porte les traces de ses larmes incrustrées dans le sillon de ses joues marquées. Son visage rebondit crève le coeur de Wes qui éprouve de la compassion et de la peine pour quelqu'un d'autre que lui. La maison de Maggie est collée à la sienne et du temps où ses parents étaient encore en vie, il ne l'avait jamais vu.
Quand elle s'aperçoit qu'elle était observée, Maggie arrête de pleurer, fronce les sourcils et vient vers lui.
- Tu regardes quoi ? Tu aimes que je pleure parce que mon père vient de me gronder ? Lui a-t-elle dit d'une voix de teigne mais bien trop aigue pour en paraître agressive.
- Tes parents sont méchants ? Lui a-t-il dit, peu près à se laisser faire par un morpion de son espèce.
- Ouais et alors ?
- Mes parents sont morts. Lui dit-il afin de lui faire fermer son clapet.
- J'aimerais que mon père le soit aussi.
Les mots suffisent à choquer l'orphelin. Il ne comprend pas une telle portée dans ses mots. Il est bien trop choqué, retourne à l'intérieur de la maison pour en parler à sa grand mère. C'est qu'elle est petite mais elle est effrayante, Maggie. Et bon sang ce qu'il peut être bruyant, le monstre, quand il hurle son prénom. Encore et encore et encore...
anecdote trois • Allongés dans le gazon desséché de mamie, il regarde ce que la nature leur offre. Les insectes grillent sous les affres de la chaleur. Et trois jours se sont passés depuis que Maggie a déclamé qu'elle voulait la mort de son père. Le bleu sur son bras est impressionnant mais la gamine s'en moque. elle a huit ans et elle ne pense qu'à s'amuser. A jouer à un drôle de jeu du "cap ou pas cap". Trois jours après, Wes y a pris gout.
- t'es cap euuuh... de manger une fourmi ? Que demande la petite souris aux bras bleutés. Ce qui fait sourire l'orphelin. Il attrape une fourmi qui passe devant leur chemin et sans une hésitation, et avec un sourire fier, il avale l'insecte pendant que Maggie émet un "beuuurk" mêlé à leurs rires.
Cet été est rythmé par les défis d'enfants. Et durant cet été là, Wes retrouve l'envie de vivre, Maggie découvre qu'il n'y a pas que de la violence et de l'indifférence dans sa vie. Ils n'ont que deux ans d'écart mais c'est suffisant pour créer une véritable amitié entre eux. Ils sont inséparables, se sauvent mutuellement la vie sans vraiment le réaliser. Ravis de découvrir qu'ils vont aller dans la même école. Celle où Maggie n'a pas beaucoup d'amies. Celle où Wes ne sait pas trop comment il sera accueilli. Mais elle est son phare au milieu de la tempête dans ce jeu d'éternel recommencement.
- T'es cap de rester ma meilleure amie pour la vie ? Demande un jour le garçon pendant qu'ils goutent le délicieux gateau à la rhubarbe de mamie.
- Cap !
Alors ils le resteront. Parce que c'est dit. Parce qu'ils sont aussi têtus et obstinés que la souffrance qui habite leur coeur.
anecdote quatre • Il y a le collège, l'acné et les bêtises. C'est là où ils ont souvent des disputes. Parce que Wes regarde trop les filles alors qu'il ressemble à une calculatrice imprégnée de pus. Parce que Maggie est amoureuse du gars populaire qui sort avec une fille de sa classe mais qu'elle n'a rien de populaire.
- Je suis sûre que t'es même pas cap de lui proposer d'aller au cinéma, lui dit Maggie alors qu'ils sont dans la cour du collège. Se retrouvant souvent dans un escalier qu'ils ont considéré comme leur territoire. A insulter les autres, à rire de ce monde ne laissant pas leur place.
- Et toi, je suis sûre que t'es pas capable d'embrasser Rey devant tout le monde.
Quand le soir, ils se retrouvent, Wes a encore la honte de s'être pris un rateau et Maggie s'est battue avec la copine de Rey. Mais ils ont été cap. C'est toujours comme ça que ça se passe.
Les défis sont parfois ambitieux. Même trop mais c'est le gout du risque, c'est l'intensité de leur amitié. Ils sont toujours ensembles. A rire. A se chamailler. A ne rien voir d'autres que cette relation fraternelle. Ils passent beaucoup de temps ensemble dans leur quartier. Maggie revît quand son père n'est pas là la semaine, occupée à sillonner les routes dans son semi remorque. Elle sait qu'elle peut respirer, qu'elle ne fera pas les frais de la violence. Mais tout recommence les weekends, et le monstre hurle encore Maggie, Maggie, Maggie.
Et une nuit où Maggie a rejoint le lit de Wes, escaladant la façade du pavillon en pleurant et en boitant, elle a eu ces mots qu'il n'a jamais oublié.
- T'es cap de m'offrir une vie loin du monstre ? A-t-elle soufflé entre deux hoquets. Sa peine a toujours déchiré le coeur du garçon. Il aurait tant aimé que ses parents soient encore en vie parce qu'ils n'ont jamais été comme les géniteurs de Maggie
- Cap... A murmuré Wes en la serrant bien plus fort contre lui.
Il la protègera quoi qu'il arrive. Il lui en a fait la promesse d'un "cap" murmuré au creux de l'oreille.
anecdote cinq • Après l'adolescence, vient le moment où le cerveau se construit une vision d'adulte. Et où Maggie et Wes continuent de maintenir leur promesse de rester toujours ensemble. L'orphelin est intelligent pour son âge. Et si Maggie a eu des difficultés au départ, il s'avère qu'à côtoyer Wes, ses notes ont fini par retrouver le droit chemin lors de la primaire. Et c'est de cette façon là qu'ils se retrouvent à franchir les portes de la même université. Ils n'ont pas les moyens de s'offrir des facs prestigieuses. Maggie est tellement heureuse de pouvoir s'éloigner de sa maison. Elle a besoin de renouveau et pour la première fois de sa vie, cet internat lui offre la possibilité d'être quelqu'un de nouveau. Et d'être avec son meilleur ami, de pouvoir briller en s'offrant le luxe d'agir autrement.
Leur persévérance leur permet d'avoir de bonnes notes, d'avoir les félicitations des professeurs. Si Maggie charme pas sa prestance et son charisme, Wes attise l'intérêt par son intelligence.
Pendant que leur scolarité, ils découvrent les émois de l'amour sérieux. Des relations qu'ils ont à droite à gauche. Des conseils qu'ils se prodiguent sans oublier ces défis qu'ils se lancent en permanence.
Toujours plus osés. Toujours plus drôles. Et même parfois, dangereux. Mais c'est ce gout de la liberté qui les unit.
Au début de leur deuxième année, pourtant, il y a une période où ils ne se parlent plus. De longs mois où Wes est obnubilée par sa petite amie de l'époque. Où Maggie se pavane avec son basketteur. Il le désigne comme l'asperge, elle lui rétorque "pouffiasse" en pour parler de sa copine. Et les piques fusent sur leurs amours respectifs. En plus, le changement s'opère, Wes fait la carpette avec sa nana quand Maggie se considère, plus que jamais, comme une merveille de la terre. A se haïr. Puis ils finissent par s'insulter. Puis ça part en guerre.
Et c'est sur des feux ardents qu'il finit par la choper dans une soirée. Il a peut être trop bu. Il a peut être un geste trop brusque qui pousse Maggie à sortir de ses gonds. La corde sensible qui la pousse à redevenir cette petite fille qui rêve de la mort de son paternel. La gifle qu’il se prend le fait revenir sur terre. Le fait réaliser qu’il est peut être allé trop loin. Qu’il franchit les limites qu’ils se sont toujours imposés. Et ça devient si évident alors qu’il la fixe. Cette fille devenue une autre dans l’espoir de devenir quelqu’un d’autre alors qu’elle est tellement bien cette version qu'il connait toujours. Celle qu’il a toujours connu. Qu’il a terriblement aimé comme un fou, sans parvenir à le comprendre.
- Maggie, je suis désolée… Je ne voulais pas..
- La ferme, tu vaux pas mieux que les autres, glapit-elle les yeux brillants de larmes. Elle pourrait lui sauter à la gorge si seulement c’était légal de tuer quelqu’un.
- Si, je vaux mieux que tous ces rats.
- Ah ouais et pourquoi donc Danbury ?!
- Parce que je suis toujours cap d’être là pour toi jusqu’à la fin.
Sa voix est grave, sa mine est sérieuse et à cet instant, Wes réalise toute l’ampleur de ce qu’il ressent. Qu’il aime ce qu’elle est, avec ses blessures et ses cicatrices, qu’elle le rend chèvre autant qu’elle le régale avec ses facéties. Qu’elle lui est trop essentielle pour accepter de la perdre. Qu’il préfère se farcir tous ces gars cretins qui tournent autour d’elle plutôt que de rester fâché, un seul instant de plus. Une seule minute, une seule seconde de plus… C’est bien trop.
- T’es cap de me faire un câlin, abruti ? Finit-elle par lui demander, avec un sourire. Le sourire aux travers des larmes. Le sourire au travers des maux. Il est cap et il le sera toujours.  
De quoi que sont faites leurs âmes, elles se ressemblent.
anecdote six •
La vie étudiante se poursuit autour de ces jeux qui régissent leur vie. Leur amitié les rend fusionnel en tout point de vue. C’est un peu eux deux face au reste du monde. Leurs amis les surnomment souvent « Wesggie » à leur grand dam mais c’est ce qui renforce cette tendresse qu’ils ont l’un envers l’autre. C’est au bout de leur troisième année que Wes devient moins débile et prend conscience que cette fille, il l’aime comme un taré, qu’il lui a promis d’être là pour elle. Pour toujours. Et qu’il est le premier à fracasser la gueule du moindre gars qui prend pas soin d’elle, que Maggie ça reste cette fille sauvage qui pète son cable à tout moment et jette le saladier de punch à la tronche d’une pouffiasse comme elle aime appeler ces nanas qui tournent autour de Wes.
Jusqu’au jour où il y a cette soirée où l’alcool délie les langues. Dans tous les sens du terme. Le cap et pas cap, qui force à aller dans le bon sens. Au moins ça suffit à éveiller les émois des cœurs, à découvrir qu’ils ont passés la nuit ensemble et que c’était juste parfait. Même s’ils n’étaient pas libres. Même s’ils se pensaient amoureux de leurs chéri/es. La faute a permis de lever le voile sur leur amour à eux. Et jusqu’à l’obtention du diplôme, le jeu du chat et de la souris a continué. À vivre de secrets, de scandales, et puis le fait que ça en devienne insoutenable de devoir se cacher. De devoir faire semblant, de planifier des rendez vous secrets. De se sentir vivants aux creux de ses bras, de l’aimer encore et encore à n’en plus pouvoir. Sans doute Wes était il aussi effrayé que Maggie de risquer l’amourette au détriment de perdre leur amitié. Mais quand l’amour est plus fort que tout, plus grand que l’univers. Comment auraient-ils pu lutter ?
Ils ont terminé leurs études en devenant ingénieurs tous les deux, en étant toujours ensemble. Mais cette fois, son âme sœur est tout simplement devenu l’amour de sa vie.
anecdote sept •
- Cap pour faire fermer des bouches ? Lui a-t-il dit en lui tendant la main alors qu’ils se trouvent dans cet aéroport. En direction de la France pour une entreprise qui a bien voulu les embaucher pour une mission entre l’Angleterre et Monaco.
- Cap. La réponse est arrivée avec ce sourire presque naïf de celle qui aime bien trop pour ne pas réaliser combien ça n’a jamais été sain d’aimer ainsi. Les doigts de Maggie se lient aux siens, et l'annulaire scintille de cette bague de fiancaille qu'il lui a offerte en lui promettant qu'un jour, au sommet, ils s'uniront dans le plus merveilleux des mariages.
Pourtant, il a suffi d’un visage pour apporter le doute dans une idylle parfaite. Parce que c’est ce qu’a représenté leur histoire. À imaginer des futurs emplis de réussites, ils croient fort en ce qu’ils sont en train de bâtir. En partant de rien et en faisant marcher leurs têtes, ils ont su apporter un souffle nouveau à l’entreprise qu’ils ont intégré en tant que salariés pour finir en dirigeants. Si jeunes à peine et pourtant, ils ont pris un risque assez grand, claqués toutes leurs économies. Il a même vendu la maison de sa grand mère qu'il a hérité suite à son décès. Un pari risqué alimenté par deux rêveurs désireux de réussir dans leur vie, de se dire qu'ils ont commencé dans une banlieue de Londres, entre le gateau à la rhubarbe de mamie et les hurlements du monstre. Et aujourd'hui, ils sont des entrepreneurs à succès qui voient le résultat de leurs efforts. Est-ce que c'est éthique ? Est-ce que c'est moral ? Ils ont leur vision à eux, ils sont dans cette bulle alimentée par ce jeu d'enfant qui n'a pas de fin. Qui est toujours plus. Ils sont jeunes, ils sont déjà riches, ils s'aiment. Qu'est-ce qui peut entacher ce bonheur ?
Un seul prénom : b i a n c a.
anecdote huit • C'est à Monaco que le délire prend une tournure auquel ils ne s'attendent pas. Ils sont souvent dans ce jeu de rôle où parfois ils s'inventent des vies, des noms, des histoires même alimentés par ce gout de l'interdit. Et au milieu de ces fadaises, il y a ce seul instant de vérité. Celui d'un verre qui tombe et qui crée une amitié. Ce n'est qu'un accident qui la fait sympathiser avec cette brune venue tout droit des Etats-Unis. Au départ, Wes est silencieux. Il y a quelque chose dans cette fille qui  le remue. Une sensation qu'il ne comprend pas vraiment. Comme si le coeur respirait trop fort à chaque fois que ses yeux se posent sur elle. L'estomac qui se tourne quand sa voix vient vibrer à ses oreilles. Elle est américaine et durant un instant, il se dit qu'elle connaît sa famille. Enfin, il suppose. Il n'a jamais cherché le moindre contact. Mais il reste attentif à l'échange qu'il y a avec Maggie. Elle a l'air si enjouée, si enthousiaste de pouvoir parler dans sa langue maternelle sans galérer avec son français approximatif.
Elle propose même de pouvoir visiter Monaco avec Bianca. Le destin est bizarrement fait : sa compagne a l'air d'avoir eu un coup de coeur pour cette brune ne manquant pas d'audace.
C'est ce qui lui plait sans doute. Le courage de ne pas fuir, d'aller de l'avant et d'entreprendre le voyage de la vie. Et parce qu'elle ne se donne pas de genre, parce qu'elle se contente d'être elle-même. Et qu'à un moment donné, il finit par se retrouver seule avec elle. d'abord parce qu'il veut la raccompagner à son hôtel et parce qu'il se retrouve à mentir à Maggie sur la raison de ne pas revenir. Mais il est comme envouté, comme l'impression qu'il y a quelque chose. Que ça a l'air réciproque, que son âme appelle la sienne dans une envie qui le dévore. Il y a dans les premières fois des vérités qu'il vaut mieux garder endormie. Et Il se sent tellement vivant dans le creux de Bianca, comme si c'était une renaissance. Sa culpabilité est d'autant intense qu'il se sait horrible vis à vis de Maggie. Qu'elle est son âme soeur. Qu'elle ne pourra pas être reléguée à l'oubli au profit d'une autre. Mais dès lors qu'il essaye de se ressaisir et de se défaire de toutes ces envies, les lèvres de Bianca savent comment lui faire perdre la tête un peu plus.
Impossible de lutter. Il se dit que ce sera l'erreur d'une fois. Une unique fois où il trompe celle qu'il aime au profit d'une erreur.
Mais  la réalité, c'est qu'il est si facile de se mentir à soi-même. Parce que Bianca ne sort pas de sa vie. Parce qu'il se retrouve à avoir deux femmes dans sa vie. Celle à qui il a fait une promesse il y a des années de cela et celle avec qui il s'imagine vivre d'un amour aussi sincère que le premier. Aimer Maggie c'est le bonheur brut et volcanique, c'est aimer tous les tremblements de verre qui règnent dans le coeur de l'anglaise, avec ses traumatismes et ses cicatrices quand avec Bianca, c'est simple... Il aime quand il peut lui promettre la terre entière et qu'elle y croit. Trop fort, et ça a tout autant de sens pour lui. C'est juste impossible tout ce qu'il se dit et il s'en veut, dans le fond.
Parce qu'elle ne mérite pas ça, Bianca. Mais de cette vie qui ne lui a rien offert au départ, Wes ne peut se résoudre sa liberté. Elle lui appartient.
anecdote neuf • Bianca est sa maîtresse durant six années où la situation lui permet d'être compagnon de Maggie et amant de Bianca. L'américaine est devenue son assistante parce que leur entreprise a pris tellement d'ampleur qu'à deux, c'est compliqué à gérer. Maggie a beaucoup à gérer mais le succès mérite le sacrifice. Il y a le fait d'étendre leurs services à tous les pays du monde qui demande plus de travail. Alors il y a les voyages où Bianca est son assistante mais aussi l'objet de ses désirs. Pro, dans les rendez-vous d'affaires et divine créature assouvissant sa soif d'elle dans son lit Sa convoitise qui sait si bien jouer sur les deux tableaux. Celle d'être une assistante indispensable pour l'entreprise. Celle d'être une amie précieuse pour Maggie qui ne peut se passer d'elle.
Et cette situation lui convient, Wes aimerait que ça puisse durer ainsi en sachant que ça ne le pourra et tout en se voilant la face sur l'issue finale. Bianca insiste souvent pour qu'il quitte Maggie et puisse officialiser leur relation. Wes lui promet souvent que ce jour viendra, l'endort avec des belles paroles parce qu'au fond de lui : il le sait, il ne quittera pas Maggie. Comment sa maîtresse pourrait-elle comprendre à quel point ce "cap" prononcé dans cette chambre d'enfant, des années en arrière, peuvent avoir encore une importance capitale ?
Maggie est son âme jumelle, sa figure maternelle, sa meilleure amie, sa partenaire de business, de jeu, elle est cette relation qui endosse une trop grosse importance bien que durant les deux années de cette double vie, l'éloignement entre eux est plus qu'omniprésent. Il se doute qu'il y a des amants dans la vie de sa fiancée. Sinon, comment pourrait-elle accepter qu'il puisse s'envoler avec Bianca de partout, comme pourrait-elle nier les regards qu'il y a entre eux. Le feu brûlant d'un désir qui ne s'assouvit jamais réellement. C'est à peine s'ils se parlent. Il sent qu'il est en train de la perdre parce qu'ils ont obtenu cette richesse tant voulue. Mais à quel prix ?
C'est comme si le jeu continuait encore.
Cap de briser l'autre.
Cap de l'aimer autant que de le haïr.
Cap de laisser Wes ériger les prémices d'un empire qu'ils bâtiront en Amérique là où les opportunités de réussir sont encore plus fortes.
Cap. Non pas vraiment. Parce que tout finit par en voler en éclat : c'est ainsi que les sentiments meurent ou vivent.
Au prix d'une dispute terrible où les vases volent, où les cris résonnent dans leur maison. Au prix d'une bataille entre passion et raison, entre le coeur et l'esprit, il y a ce moment où tout se fige. Cet instant où le visage de Maggie n'est qu'un masque de douleur. Qu'elle lui avoue qu'elle sait tout. Pour Bianca et lui. Pour toute l'errance que leur histoire a pris.
- Je ne veux pas te perdre... Lui murmure-t-elle de cette voix brisée par le chagrin. Et quelque chose se brise en Wes. Il ne pourra pas la quitter, même s'il était prêt à renier cet amour ancien au profit de cet émoi qui l'attend dans une chambre d'hôtel.
- J'ai besoin que tu me reviennes... Que tu sois là.. Les genoux de Maggie fléchissent sous les poids de ses sanglots, tombant au sol. Tu as promis, Wes...
- Maggie... Murmure l'homme en venant vers elle.
- Tu avais dit que tu étais cap...
Et il l'était. Il l'est vraiment...
anecdote dix • o n e   y e a r   a g o
Quand il relève le voile, il a le coeur qui bat à mille à l'heure. il est nerveux mais il se sent bien, sûr de lui. Il a fait le bon choix.
- Voulez-vous prendre Maggie Aimée Whiley pour épouse ?
- Oui, je le veux.
Bien sûr qu'il l'a toujours voulu, qu'il s'est égaré dans les tourbillons d'une vie si dense aux côtés de Maggie. A respirer ses émotions intenses. Il perçoit un voile dans les yeux de sa future femme, aussi fugace qu'intriguant, il ne comprend pas forcément. Parce que tout est fini avec Bianca. Elle a fini par partir, comprenant qu'il ne pourrait lui offrir plus que ce qu'elle aurait voulu avoir.
Et pourtant, son absence lui crève le bide. Sa légèreté lui manque et il n'arrive pas à nier l'évidence. Il est partagé entre l'amour de deux femmes mais il a fait un choix, tenant sa promesse d'enfance.
Il ne peut y avoir que Maggie...
Même s'il en doute...
Qu'il a l'impression que leur future expatriation aux Etats-Unis lui donne l'espoir qu'il va la retrouver.
Il l'espère.
De toute façon, il la croisera certainement. Parce qu'ils vont là où elle a très certainement trouvé refuge. Sans doute doit-elle l'attendre car ils ont bâti ce projet avec l'aide de Bianca. Parce qu'il y a presque trop de vengeance qui font scintiller les yeux de Maggie en sachant leur venue en terre américaine, imminente.
Il se dit que dans le fond, ils se comporteront en adulte et feront fi de leurs erreurs.
Dans ce jeu, aucun n'aura mis un terme aux défis lancés.

• prénom / pseudo • emilie (anne martine) • âge • 34 piges. • pronom à utiliser • votre majesté • ville / pays • le sud de la france, là où tu viens pour tes vacances • présence • connexion tous les jours, pour rp c’est aléatoire et ça dépend de ma dispo. • moyenne de mots • entre 700 et 1500 mots, ça dépend de l’inspiration• source du forum • j’ai découvert ce forum par Nadou qui m’a proposée de venir. • type de personnage • un inventé tiré d’une idée avec ma partner in crime • petit mot, suggestion •

Je réserve mon avatar :

Code:

<res>sam claflin</res> • <pn>wes danbury</pn>

+1

Je fais un petit post ici en plus, pour savoir si parmi toutes les familles qu'il y a. Il y en aurait une qui accepterait le patriarche ait eu une soeur qui se soit cassée des US pour vivre une histoire d'amour à Londres avec un british à l'accent prononcé. La mère de Wes aurait donc rompu tous les liens avec Tree Hill. Et Wes ne connaît donc pas ses cousins (qu'il déteste bien sûr )

Salut toi, je sens qu'on va faire plein de connerie ensemble

Je t'aime très fort j'attends d'être sur le pc pour te faire un accueil digne de ce nom

Rebiiiiienvenue

Wes Danbury a écrit:

• pronom à utiliser • votre majesté

J'ai bien ris

Et je verrais de mon côté si je peux te proposer quelque chose avec une de mes demoiselles pour ton +1. (Là je me prépare pour le taff donc pas trop le temps d'étudier ta fiche )

Il manque un h à la fin du prénom
Re-bienvenue    Amuse-toi bien avec ce nouveau personnage et tes partenaires de jeu

rebienvenue chez toi
amuse toi bien avec ton perso et les aventures qui l'attendent

Ce métier
Obligé, ils sont potes

Re bienvenuuuuuuuuuuuuuuuuuue sur le fo'

Un petit craquage mais pas avec la boutique, mais c'est vraiment trop coooooooooooool

Bon courage pour ta fiche

Hâte de découvrir ce petit personnage

J'aime beaucoup ton choix de prénom, il est vraiment très chouuuuuuuuuuuu

Et ce choix d'avatar, il est vraiment tooooooop ! Sam est vraiment tout mimi

John Monroe a écrit:

Il manque un h à la fin du prénom

Non mais j'ai pris un fou rire hier en lisant ça !! merci de ce bon moment d'hilarité
Du coup, c'est décidé ça sera Wesh pour en parler

Er merci pour vos petits mots de bienvenue, vous êtes des choux

Rebienvenue sur le forum :D

Sam Claflin ce choix
Hâte de voir ce que ça va donner avec Bianca

Rebienvenue à toi

Mamaaaa, j'aime trop ce que tu nous as fait là !
Inutile de te souhaiter un bon courage dans ta fiche, mais juste un rebienvenue suffira.
Il va de soit que je souhaiterais un lien. Que ce soit celui que tu expliques dans ton +1 (ce qui peut être chaud avec Toni & Malcolm comme y a déjà des liens avec Bianca, ce serait étrange.. & vu l'histoire familiale de Jules, ça peut être compliqué de trouver quelque chose de plausible.. ) ou un autre, mais garde-moi un lien au chaud.

merciiiii de vos petits mots @Iliana Copeland & @Giulia Machiavelli

Et toi @Toni Vasquez je te réserve tous les liens du monde
Je suis vraiment contente si Wesh te plait, il est intense le bonhomme

Ma fiche est finie (et je fonce remplir le formulaire )

Re bienvenue

Aaron, enchanté ? Oui, je sais que je débarque dans ta fiche en retard, mais quand même... Doucement !



Exactement, c'est tout moi !



Quoi ? Tu parlais pas de moi ?



Oui bon ça va, n'abuse pas non plus... Pas la peine de me narguer.

Bon, ba du coup, @bianca flores, t'as touuut le temps du monde pour le valider celui-là, il est pas très très gentil.

Et sinon, contente de te voir te dédoubler, ça promet