Cheyenne Greenshaw

- ft Mackenzie Foy -

prénom, nom : La famille Greenshaw a sa tradition et ce n’est pas la petite dernière qui en échappe, si bien que je me nomme Cheyenne, en hommage à la ville qui accueille un bon nombre de circuits de cow boys. Mais ma famille me nomme régulièrement Birdie, car j’ai toujours vu ma famille comme des oiseaux migrateurs. date et lieu de naissance : Le 12 juin 1999, le lieu n’étant, sans surprise, qu’autre que la ville de Cheyenne, dans le Wyoming. nationalité : De nationalité américaine, sans aucun doute. origines : Des origines Européennes, inconnues pour moi mais bien présentes du côté de mon inconnu de père. métier, activité : Bien que tentée par des études, je n’ai jamais réussi quoi que ce soit, dans l’incapacité de terminer quelque chose. La seule chose qui continue et persiste, c’est bien mon poste de monitrice d’équitation. orientation sexuelle : Je n’ai jamais pu douter de mon orientation, étant hétéro depuis toujours. statut civil : Célibataire. Je n’ai eu que de très rares aventures, incapable d’aller plus loin qu’un baiser avec un garçon. La crainte de tomber enceinte si je venais à aller plus loin, la crainte de répéter le même schéma que celui de ma mère, aussi aimante a-t-elle pu l’être dans mon enfance, je ne veux pas reproduire ce que j'ai vécu. Finalement, les chevaux occupent toute la place. traits de caractère : Je ne suis pas une personne qui va facilement prendre contact avec les autres, j’ai tendance à rester solitaire, réservée, préférant la solitude plutôt que tisser des liens. Je ne ressens pas le besoin d’être entourée de monde, il n’y a que quelques personnes qui font mon bonheur et cela me suffit. Les seuls humains avec qui le contact passe relativement bien sont les enfants. Leur donner cours, leur apprendre quelque chose, leur montrer une partie de mon monde me passionne. Pour autant, je suis capable d’avoir une attitude professionnelle avec les parents et de ne discuter que du minimum pour les petits. Les chevaux m’ont enseigné la patience, l’organisation et le respect. Si le respect de l’autre et l’organisation m’étaient déjà des choses acquises durant mes nombreux déménagements, la patience était rarement de mise. J’aime me hisser sur les branches d’un arbre en été et observer la foule qui se balade en contre bas. Je les analyse de loin, observant les comportements de certains pour tenter d’en comprendre le sens, l’intérêt, le déchiffrer en quelque sorte. Je suis douée pour cerner les gens et ce qu’ils veulent des autres. Il suffit de regarder, d’écouter. Patiente, je peux me montrer quelque peu manipulatrice pour obtenir ce que je veux. Je suis capable de faire les yeux doux, battre des cils et même de pleurer sur commande, vestige de mon passé où, petite fille, j’étais capable d’amadouer les adultes qui m’entouraient avec une facilité déconcertante. Pour autant, je ne suis pas méchante, l’agressivité je la laisse à d’autres. J’aime simplement obtenir ce que je veux, peu m’importe que cela prenne du temps ou non. Le seul soucis, c’est que je n’ai aucune idée de ce que je veux, mise à part garder mon boulot avec les chevaux. Finalement, je suis certainement aussi indécise que ma mère est instable. crédits : rpg-material

taylor

pré-lien de Aspen

i don't wanna be anyhing other than what i've been trying to be lately...

anecdote une • Quand j’étais petite, et qu’un de mes professeurs avait réussi à m’apprendre quelque chose qui a réellement réussi à m’intéresser, j’ai beaucoup aimé pensé que ma famille était un peu comme des oiseaux migrateurs. Je nous imagine comme une grande famille, les grands prenant soin des plus petits, voyageant où le soleil est plus chaud et brille plus fort. Car, pour moi, le concept d’oiseaux migrateurs nous convenait totalement. Maman lançait toujours le top départ, en tant que chef de la tribu, et nous donnait la direction à prendre. Maman a toujours été comme ça, et ce n’est qu’en grandissant que j’ai pu comprendre qu’elle ne cherchait pas un ciel plus bleu ou un air plus joyeux, juste son nouveau mari ou compagnon du moment.

anecdote deux • Gamine solitaire et silencieuse, je n’ai que très peu d’amis extérieurs à ma famille. Pourquoi vouloir d’autres personnes dans ma vie ? Je savais qu’un moment ou un autre nous allions reprendre la route pour suivre maman. Je l’ai très vite compris, m’attacher à des personnes autres que ma famille me faisait souffrir alors j’ai simplement arrêté de souhaiter m’intégrer dans les nouvelles écoles que je fréquentais. Ce n’était jamais les mêmes programmes, les mêmes activités, alors j’en jouais beaucoup. J’appréciais de faire les yeux doux aux professeurs en jouant de ma situation de nouvelle petite recrue. Parfois ça fonctionnait et j’avais droit à des points bonus sans en faire de trop. Parfois, c’était le contraire et je me retrouvais convoqué dans le bureau du directeur ou directrice. Ca n’avait pas vraiment d’importance car, dans le fond, je savais très bien que je n’allais pas y rester très longtemps.

anecdote trois • 2009. 10 ans. Fini de jouer de mon charme pour obtenir des bonnes notes. Maman pose nos valises à Tree Hill et, bien que je pensais repartir assez vite de cette ville, il n’en est rien du tout. Mes frères et soeurs semblent mieux accuser le coup que moi, j’ai le mal du pays, la ville me semble bizarre et je me renferme encore plus sur moi-même. Je ne parle à aucunes autres personnes que les membres de ma famille, de la gamine silencieuse arrive celle qui s’enferme sur elle-même et refuse de parler aux autres. Car tout semble étrange, ce n’est pas normal de rester à un seul endroit et j’ai une peur folle de souffrir. Je vois les mêmes personnes, parfois même gentilles, qui tentent de nouer des liens avec moi mais je n’y arrive pas. M’attacher, c’est avoir mal, et ce privilège est pour mes frères et sœurs.

anecdote quatre • C’est une bataille de tous les jours contre moi-même et mes idées sombres. 13 ans et l’adolescence qui débute, je suis une teigne comme dirait certains. Birdie n’est plus un gentil petit oiseau de compagnie mais une buse prête à fondre sur ses proies au moindre commentaire. J’ai l’impression que personne n’est capable de me comprendre ou de ressentir ce que je ressens, j’ai mal et j’ai toujours aussi peur. J’ai fait confiance à des gens, j’ai même réussi à faire entrer deux amis dans ma vie. Mais je crains le jour des adieux, bien que maman semble réellement fixée dans cet endroit. Je pique quand on me donne des ordres, je me rebelle quand on me demande de faire quelque chose et je fais uniquement ce qu'il me semble bon pour moi. Alors je fuis la maison un soir et me retrouve à quelques kilomètres de la maison. Hors de la ville, seule, j'ai fini ma route dans une grange, tentant comme une idiote d'allumer une cigarette dans le foin. J'ai presque fichu le feu ! Mais c'est le hennissement d'un cheval qui a tout changé, ça et l'arrivée d'une autre fille.

anecdote cinq • Le choc me coupe le souffle tandis que le sable se colle à tous les vêtements qui touchent le sol au même moment. Je compte, une seconde, deux secondes, avant que Skylar ne me demande comment je vais. Je bouge mes doigts, mes poignets, faisant de même avec mes pieds avant de me redresser péniblement et de me mettre assise. La grimace qui déforme mes traits provoque au moins l’hilarité de la jeune fille qui tente péniblement de m’apprendre à tenir sur le dos d’un cheval. J’ai du sable partout, si bien que je me mets à cracher pour enlever les grains que j’ai dans la bouche. Il faut tomber pour apprendre, parait-il. C’est ce que les parents de Skye me répètent à chacune de mes apparitions au ranch, Skye aussi, mais j’ai beaucoup de mal à croire que cette fille soit déjà tombée d’un cheval. Quoi qu’il en soit, je passe l’été au ranch, m’accrochant de toutes mes forces à ces animaux majestueux et sauvages. J’y vois une échappatoire, des confidents, des amis. Et, bien que ce soit compliqué encore de l’admettre, je pense que Skye, bien qu’elle ait failli me tuer le soir de notre rencontre, est devenue une véritable amie. L’adolescente sauvage que je suis trouve un réconfort dans l’apprentissage de l’équitation, un véritable objectif qui me maintient la tête hors de l’eau. De plus, je tisse des liens, avec des animaux et non des êtres humains et la tâche me semble si aisée que je me demande comment j’ai pu me passer de cette sensation les années précédentes.

anecdote six • Il me faut 2 bonnes années avant de comprendre que l’univers des chevaux est peuplé de nid de vipères et de créatures démoniaques. Les parents de Skye m’y ont aidé, j’ai pu commencer les concours de saut d’obstacle. Empruntant quelques vêtements à leur fille et sous ses encouragements, j’ai connu deux premières victoires. Ramener un flot à la maison, malgré le bas niveau auquel j’étais encore, était ma plus grande fierté. Ce flot, je le garde toujours au-dessus de ma tête de lit, dans ma chambre, pour me souvenir que je suis capable de faire quelque chose et de trouver ma place, comme mes frères et sœurs, dans cette ville.
Mais les concours dans le domaine équestre vont au-delà d’une relation harmonieuse avec son cheval. J’y découvre que « Harcour » n’est pas le nom d’un cheval mais d’une marque de vêtements hors prix, que le petit ranch où j’ai tout appris n’a rien à voir avec les écuries hautes de gammes d’où viennent mes rivales, que la rivalité n’a pas de limite et que les coups sont bien bas pour parvenir à ses fins. Alors, je n’ai pas peur de jouer. Plongeant au milieu des serpents pour en devenir un à mon tour, souriante et adorable, je frappe à coup de rumeurs blessantes et de ragots au fur et à mesure que j’avance dans les compétitions.

anecdote sept • On connait tous la suite, on finit tous par tomber sur plus fort que soit au jeu des hypocrites. Je ne suis pas la meilleure cavalière, mais je sais que j’ai des capacités, je grimpe dans les niveaux, j’apprends à voler par-dessus les obstacles. Jusqu’au jour où je surestime mes capacités et celles de mon cheval, j’aurais dû m’écouter, j’aurais dû l’écouter aussi. J’étais préoccupée, inquiète de perdre ce concours et laisser la place à une autre une nouvelle fois. Nouvelle du circuit, elle est forte et est bien pire que les autres pestes que je connais depuis deux ans à présent. Epine dans mon pied, je n’avais écouté que mon égo qui me poussait à la battre plutôt que la faiblesse que présentait Azzaro, mon cheval. L’épreuve était progressive, c’est-à-dire que les obstacles commençaient à 80 cm pour terminer à 1m10 de haut. Le début était un jeu d’enfant pour nous, mais plus on avançait plus je sentis l’hésitation dont faisait preuve mon cheval. Généreux et volontaire, il a continué son parcours sous la pression de mes jambes l’encourageant à poursuivre. Face au dernier obstacle, il fait preuve d’une plus grande hésitation, mais je le pousse encore. Trop faible et sa jambe le faisant souffrir, Azzaro marque un arrêt devant l’obstacle et me propulse dans les barres. Je ne m’en souviens pas, c’est un véritable trou noir. Je me souviens, en revanche, du temps de guérison de mon bras cassé et des moqueries des autres cavalières, que je fini par mettre totalement de côté pour retrouver l’essentiel : la relation que j’ai brisée avec le cheval qu’on me prête si gentiment.

anecdote huit • A l’heure où tous les élèves parlent de la suite de leurs études et de leurs projets, moi, je me contente de hausser les épaules quand on me pose la question de mo avenir. Je me moque des cours, je n’en ai rien à faire, je sèche, tout le monde s’en fou ou alors je fais les choses correctement et personne n’est au courant. Je ne rêve pas d’université, des fêtes qui s’y organisent ou des gens que je peux y rencontrer. Je n’aime pas la foule, j’aime les chevaux. Je n’aime pas les cours, les math, le français, les sciences, la chimie … Le sport est mon unique moyen d’expression. Alors, lorsque mes frères et sœurs me demandent si j’ai bien rempli les papiers pour les universités et les bourses, je réponds gentiment que oui, tout est bien rempli et que mes demandes sont en traitement. La vérité, c’est que je n’ai rien fait du tout. Et les seuls à en être au courant sont les parents de Skye et elle-même. C’est pour ça qu’ils finissent par me proposer un job dans les écuries.
Lorsque l’une de mes camarades de classe reçoit une lettre de refus, je la copie discrètement afin de la reproduire avec Skye, à mon nom, prétextant que les universités ne me veulent pas. Pleurer : facile. Manipuler : trop facile. Eprouver de la culpabilité : moins facile. Quoi qu’il en soit, je sais que mon avenir se trace uniquement autour des animaux et cela ne s’apprend pas sur les bancs d’école.

anecdote neuf • Le pot aux roses ne fut pas compliqué à démasqué et les menteurs sont toujours pris à leur jeu. C’est ce que je comprends la première année que je passe comme monitrice officielle au ranch. Certains n’ont pas digérer que je mente ouvertement à tout le monde concernant l’université. Les avis divergent : je devrais faire des efforts pour m’assurer un avenir ou j’ai eu raison de prendre une voie qui me semble toute tracée à présent. Quoi qu’il en soit, cet emploi me permet de quitter la maison, de vivre ma propre vie. Le changement me fait un bien fou, je change de lieu, d’air, d’habitudes, de repaires. Je me rends compte que l’instabilité de notre mère m’avait donné cette envie de découvrir le monde et que cet appartement, qui représente un changement énorme, me ramène à l’insouciance de mon enfance. Mais, malgré cette envie de découverte et d’aventures, la crainte de tout perdre au ranch me retient fermement en ville. Si bien que cette envie fini par passer au fur et à mesure que je découvre mes élèves et mon travail avec d’autres chevaux.

anecdote dix • Le ranch développe de nouvelles activités, le travail de chevaux de particuliers ainsi que des randonnées d’une demi-journée. Evidemment, je m’y colle avec plaisir. Je revois d’anciennes connaissance de mon parcours dans le milieu des compétitions, mais je m’interdis de sauter un seul obstacle avec Azzaro, encore et toujours, de crainte de trop le pousser. Je travaille avec les autres chevaux, proposant mon calme et ma patience pour tenter de comprendre et apprendre d’eux afin de les amener dans un travail serein avec leur cavalier. Les randonnées, peu importe avec le ou les clients que je suis, continuent de m’apaiser et je prends mon rôle de guide avec plaisir. J’ai appris à discuter avec les clients, les renseigner, plaisanter avec eux. Tant qu’ils sont au maximum de 4, tout se passera toujours bien, seule les foules continuent de me dissuader.
Voici ce qu’est ma vie, du calme, de la tranquillité, des chevaux, une colocation en ville et une famille à qui j’ai fais de mauvais tours mais qui reste toujours présente pour moi.

• prénom / pseudo • Nadou • âge • 28 ans • pronom à utiliser • elle • ville / pays • Belgiiique • présence • 5/7 • moyenne de mots • Environs 700, je m'adapte • source du forum • J'y suis depuis quelques mois maintenant • petit mot, suggestion • love you les loulous

Je réserve mon avatar :

Code:

<res>Mackenzie Foy</res> • <pn>Cheyenne Greenshaw</pn>

OLALA la petite dernière
T'es tellement belle et j'aime tellement ce qui se dessine à son sujet j'ai hâte de lire la suite pour découvrir ce nouveau perso sous ta plume

Rebienvenue à toi

ohlala cette jolie plume qui rejoint le clan GS
quel plaisir de découvrir Cheyenne et puis je suis trop contente de ce lien incroyable qu'on prévoit avec Skylar

bref, rebienvenue et hâte de développer tout ça

re-bienvenue ici
j'adore ton choix de vava
et puis une nouvelle Greenshaw, comme si on en avait pas assez

bon courage pour la rédaction de ta fiche

rebienvenuuuue chez toi
quel plaisir de te voir te dédoubler une nouvelle fois et avec bébé Greenshaw cette fois-ci, ça promet de belles choses
j'adorais déjà l'esquisse que t'avais faite de Cheyenne et j'aime tellement ce que je lis déjà, j'ai hâte de lire le reste de ta fiche

je file te réserver Mackenzie pour les 4 prochains jours (quel choix de folie aussi )

@Lynn Greenshaw @Memphis Greenshaw Merciiii je suis contente que le début vous plaise, je vais rejoindre la famille avec grand plaisir en espérant que Cheyenne vous plaise autant par la suite

@Jade Simmons Je suis trop faible et je me dédouble trop facilement je pense Merciii

@Jimin Lee Merci ! : J'ai hâte de voir ce que nos liens vont pouvoir donner aussi !

la petite dernière j'adore le choix d'avatar et je suis tout simplement déjà fan de ce qui se dessine pour Cheyenne  il me tarde d'en apprendre d'avantage  quoi qu'il en soit, rebienvenue par ici et bon courage pour la suite de la rédaction

Bienvenue

Re bienvenue
Comme j'aime ton choix de métier, cette passion pour les chevaux. Et puis Mackenzie est aussi superbe. Bon jeu à toi

Rebienvenue :D

On lui donnerait le monde sans concession à Birdie avec sa bouille d'ange hein... Mais bon, on connait l'engin nous :dent:



Oui oui, continue à nous faire croire que t'es une petite douceur...



Ca te fait marrer de berner tout le monde hein ? J'avoue, c'est drôle petite teigne

J'aime beaucoup trop ce que tu fais de Cheyenne, cette personnalité incroyable, je trouve qu'ils ont beaucoup de points communs avec Aspen au final Je pense qu'il va voir beaucoup de lui en elle, et j'suis sûre que ça va être hyper chouette à exploiter

En plus, je devine ce qui se dessine avec Skylar, j'trouve ça juste hyper chouette Trop impatiente de lire la suite et d'intégrer Cheyenne dans notre famille

@Brooklyn Greenshaw merciii hâte de débarquer dans cette famille

@Hailey Everdeen merci !

@Célia Copeland merci à toi Les chevaux, c'était un peu une évidence pour moi de les ramenr par ici

@Giulia Machiavelli merci !

@Aspen Greenshaw hahaha merci ! Elle est un peu comme les bonbons acidulés, d'abord c'est bon et doux et ensuite ça pique Hâte de voir ce que l'on va pouvoir construire comme lien et des évènements qui vont suivre

Re bienvenuuuuuuuuuuuuuuuuuuue sur le fo'

Bon courage pour la fin de ta fiche

Hâte de découvrir cette nouvelle demoiselle qui va être au top comme tes autres petits personnages

J'aime beaucoup ton choix de prénom, il est vraiment très joli

Et ce choix d'avatar, Mackenzie est vraiment trop chouuuuuuuuuuuuuuu

Amuse toi bien avec ce nouveau personnage

@Yohann Miller merciiii

Beaucoup trop fan de ce que tu as fait de Cheyenne , elle est tellement différentes des autres, elle a sa petite touche à elle qui la sépare des GS tout en la ramenant de par l'impact qu'a eu le comportement de leur mère toutes ces années durant. Je tague la fratrie, ramenez vos boules les frangin(e)s : @brooklyn greenshaw @memphis greenshaw @lynn greenshaw @salem greenshaw