Aspen Greenshaw

- ft Nicholas Galitzine -

prénom, nom : Aspen, parce que comme tous les Greenshaw, il porte le patronyme de la ville qui l'a vu naître, une habitude ridicule qui fait de la fratrie un atlas à eux seuls. Greenshaw, le nom d'une mère incapable de se poser avec un homme et qui n'a jamais pu donner à l'un de ses gosses un père digne de ce nom. date et lieu de naissance : Aspen, station de ski réputée, qui a vu naître le gosse du même nom en plein été, le 23 juillet 1992. Dès le départ, ça partait mal. nationalité : américain, il n'a jamais quitté le pays, bien qu'il l'ait visité en long, en large, et en travers, selon les nouvelles lubies et les nouveaux mecs de sa mère. origines : européennes de par sa mère, probablement européennes de son père également, bien qu'il ne l'ait jamais connu. métier, activité : sorti de six mois de prison, Aspen a l'obligation de se réinsérer et de travailler, c'est un élément essentiel à sa remise à en liberté conditionnelle. Il a donc pris un poste d'homme de ménage au Tric, pour le moment. Rien de très glorieux à passer le balai et nettoyer le vomi des chiottes d'un bar, mais ça passe les factures, et ça lui donne le droit de respirer la liberté. orientation sexuelle : hétéro, Aspen, il n'a jamais remis en question de sa sexualité, il a toujours aimé les femmes, probablement un peu trop tant il ne s'est jamais posé. statut civil : célibataire, il a le syndrome de sa mère Aspen, lui qui pourtant, est effrayé à l'idée de lui ressembler. Incapable de se poser, d'aspirer à la stabilité, il passe du bon temps avec des filles, avant de tout arrêter quand ça commence à devenir sérieux, ou qu'elle s'attache. Coeur noir, coeur de pierre, c'est comme ça qu'on pourrait le décrire, et ça l'indiffère, il assume. traits de caractère : solitaire, buté, fuyant, habile, désinvolte, direct, froid, égoïste, impatient, joueur, méfiant, nonchalant, rancunier, rebelle, téméraire, effrayé, en manque de confiance, besoin de reconnaissance, discret...

taylor

inventé

i don't wanna be anyhing other than what i've been trying to be lately...

Ginny & Georgia • Devon, Aspen, Phoenix… Autant de prénoms pour autant de villes dans lesquelles les Greenshaw ont posé leurs valises, pour quelques semaines ou quelques mois, au gré des rencontres et des lubies d’une mère incapable de se poser. D’écoles en écoles, d’états en états, la fratrie suivait les aventures d’une femme qui enchaînait les hommes comme ils enfilaient des pâtes sur un collier à la fête des mères. Seul repère dans un monde en changement permanent, elle n’avait rien d’une ancre à laquelle se rattacher pourtant, mais elle était là, et elle les amenait partout avec elle, au moins. Aspen, il avait longtemps imaginé que leur vie était ordinaire, avant de comprendre qu’il était le seul à n’avoir aucun copain dans chacune des classes qui l’accueillait, parfois pour quelques semaines, parfois, avec de la chance, pour quelques mois, avant qu’il ne rentre à la maison et qu’il retrouve le van qui leur servait de véhicule familial chargé de valises, et une mère en furie qui déblatérait sur les coups foireux qu’avait pu lui faire subir son conjoint du moment. Au final, ça ne lui faisait aucun effet à Aspen, de déménager, c’était devenu si habituel. Ils roulaient, encore et encore, jusqu’à ce qu’une occasion se présente. Bien souvent, elle prenait la forme d’un humain un peu lourd, porté sur le sexe et qui voyait en la mère Greenshaw une belle occasion de se faire du bien, probablement à juste titre.

Life unexpected • Son père, Aspen ne le connaît pas, et n’en a pas le moindre souvenir. De lui, sa mère n’en a jamais dit que des insultes, préférant renvoyer les questions de son fils d’un revers de la main, ou d’une insulte qui lui coupait toute envie de creuser. « Ne me parle pas de ce connard, Aspen ! » était un refrain qu’il connaissait par cœur, avec parfois quelques nuances toutes aussi poétiques « un bon à rien qui n’en avait rien à foutre de moi. » Au final, Aspen, il a fini par grandir avec cette vision négative d’un père absent et qui n’avait jamais cherché à le connaître, un traumatisme dont il n’a pas conscience mais qui régit malgré tout totalement sa vie : ne pas être suffisant, c’est ce qu’il retient de sa propre personne.

Grey's anatomy • A ses dix-sept ans, les Greenshaw s’arrêtaient à Tree Hill, en Caroline du Nord. Une semaine passait, un mois, trois mois… Pas l’ombre d’un départ au tableau. Pire encore, la mère Greenshaw semblait vouloir rester pour de bon. Rapidement, Aspen comprit que quelque chose clochait, elle n’était pas du genre à accepter de rester dans un endroit aussi longtemps, trouvant généralement la première excuse pour s’enfuir et reprocher au monde de ne pas être à la hauteur de son instabilité. Contre toute attente, elle avait été rattrapée par tout le mal qu’elle avait souhaité aux autres, rongée par une maladie pour laquelle l’hôpital de Tree Hill proposait un essai clinique. Cette fois, il ne s’agissait pas d’un homme, mais du spectre d’une vie qui s’envolait vers un inconnu qui ne l’attirait pas, elle ne voulait pas mourir la Greenshaw, pas comme ça, pas maintenant, pas avec tous ses gosses qui comptaient sur elle, et qu’elle aimait, mal, mais sincèrement.

Outer banks • Les berges de la rivière, Aspen, il les connaissait par coeur. S'il était d'un naturel solitaire, par choix ou parce que la vie le lui imposait, il s'était fait quelques copains à Tree Hill. "Des voyous", que les gens disaient. Aspen, il s'en foutait, parce qu'il aimait ne rien devoir à personne, il appréciait que ses potes ne lui demandent rien, n'attendent rien de lui, il prenait ce qu'il avait à prendre avec eux, allait et venait à sa convenance. C'était parfait. Avec eux, il s'amusait, oubliant un peu ses problèmes, pour s'en créer de nouveaux, cycle éternel du Greenshaw. A bord d'une barque volée, il aimait se laisser dériver le long de la rivière, allongé dans ce bateau, les yeux rivés vers les étoiles. C'était son moment à lui, son échappatoire. Et puis, il retrouvait les copains, et là, l'échappatoire prenait la forme d'un joint, d'un verre, d'un tag, d'un vol... Tout ce qui pouvait lui donner l'impression d'être vivant, d'être libre, d'être quelqu'un finalement.

Séduction haute tension • Aspen, il a enchaîné les relations, jamais sérieux, jamais de prises de tête. Elles le savaient dès le départ ces filles, qu'il ne serait pas l'homme de leur vie. Le blond, il ne promettait jamais la lune. Pas contre un lendemain, il ne voulait pas d'attache, pas de comptes à rendre. Au fond, il avait tellement peur de reproduire le schéma maternel qu'il refusait de tomber amoureux. Sa mère aimait trop vite, trop intensément, lui n'aimait pas du tout. Pourtant, sur la forme, il enchainait les histoires, comme elle, mais "ça n'avait rien à voir", d'après Aspen. Oui, et non. Distant, froid, il avait du mal à s'ouvrir, à faire confiance, et encore moins à laisser quelqu'un entrer dans sa vie, parce qu'il le savait mieux que quiconque, ça ne durait jamais, et un jour, tout exploserait, il en avait eu l'exemple, toute sa vie durant.

The rain • Sa famille, c'était à la fois tout ce qu'il avait, et à la fois, ce qui lui faisait le plus peur. L'équilibre qu'était censé lui apporter les siens, il ne l'avait jamais trouvé Aspen, et il n'était pas sûr d'en avoir envie, parce qu'il étouffait, parce qu'il avait envie d'autre chose, qu'il avait envie de se prouver qu'il était capable de quelque chose, lui qui n'avait jamais été qu'un enfant de plus dans une fratrie de gamins paumés. Pourtant, il avait essuyé échec sur échec, refus sur refus, toute sa vie. L'école, ça n'avait jamais été son truc, et sa réputation lui fermait les portes de bien des jobs sur lesquels il avait postulé. Rien n'allait vraiment, finalement, et même s'il refusait de l'avouer, jouant la carte du "je m'en foutisme", au fond, il était écoeuré, et en colère aussi. Fâché qu'on ne lui laisse pas la moindre chance, fâché contre les gens, fâché contre le monde tout entier. Personne ne voulait de lui, ni son père, ni la moindre entreprise... Et ça faisait mal, tellement mal à un gamin qui n'avait besoin que de repères et de reconnaissance.

Plan coeur • Naomi, elle avait tendance à revenir dans son lit plus souvent que les autres, mais il n'y avait rien de sérieux entre eux, c'était simplement qu'elle ne demandait rien, et que ça se passait bien avec elle. Quand il avait envie de la voir, il l'appelait, et elle rappliquait Naomi, avec son sourire et ses jambes de gazelle. Aspen, ça lui allait bien comme ça. "T'as vu le canon là-bas ?", lui glissait l'un de ses copains. Le blond leva les yeux, et la jeune femme qu'il pointait du doigt était en effet très belle, mais bizarrement, Aspen, c'est Naomi qu'il avait envie de voir ce soir-là. "Ouais, t'as qu'à y aller, j'ai déjà prévu de voir quelqu'un..." Son pote leva les yeux au ciel. "Si je ne te connaissais pas autant, je pourrais croire que t'es en couple." Aspen lui adressa un sourire, une tape sur l'épaule, et s'éloigna. "Dis pas de connerie..." Pourtant, lorsqu'ils étaient tous les deux, Aspen se surprenait parfois à lui parler de sa famille, de ses rêves, aussi inatteignables soient-ils, de ses envies, et elle, elle s'attachait, même si elle n'en disait rien, parce qu'elle savait comment il était, parce qu'elle savait que d'essayer le retenir le ferait fuir encore plus... Un soir, Aspen, il avait pas mal bu avec ses copains, et il avait fini par tripoter une nana contre la portière d'une voiture, sous les yeux choqués d'une Naomi qui était venue le rejoindre, à sa demande. Pris dans l'euphorie, il avait oublié qu'elle devait venir, et si sur le coup, il se sentit un peu con, il oublia vite la culpabilité pour finir la soirée avec cette nouvelle nana. Après tout, Naomi ne devait pas prendre la confiance, ça lui rappellerait leurs règles.

La casa de papel • Les petits délits, Aspen, il les connaissait par coeur, et si la plupart du temps, il s'en sortait sans se faire interpeller, il avait suffi d'une fois. Pas très prévoyant le Greenshaw, il avait fallu que Devon lui rappelle l'anniversaire de leur soeur pour qu'il se retrouve dans la panade. Pas un rond en poche, il avait vu un joli bracelet dans une boutique, et qu'est-ce que c'était un petit bracelet, ça passait inaperçu, il en aurait pour deux secondes pour l'attraper et le glisser dans sa poche... Sauf que rien ne s'est déroulé comme prévu, parce qu'en glissant le bijou en or dans sa poche, et dans la précipitation, il avait mal visé, l'objet était tombé par terre sous les yeux du vendeur qui avait pressé l'alarme plus vite qu'un ninja. Aussitôt, il avait couru Aspen, mais les flics l'avaient attrapé quelques mètres plus loin. Récidive, tentative de fuite, détention de cannabis, il allait tomber Aspen, c'était certain. Bon anniversaire Laurel.

Orange is the new black • Six mois à la maison d'arrêt de Tree Hill, cent-quatre-vingt-deux jours dans une cellule, seul entre quatre murs à réfléchir à sa misérable vie. Les seules balades de l'après-midi lui permettait de souffler, d'imaginer ce qu'il pourrait faire, dehors. Lorsque le vent venait caresser son visage, il fermait les yeux quelques instants, ça lui rappelait l'air frais qui venait lui chatouiller le visage lorsqu'il s'allongeait dans sa barque... Et puis la réalité le rattrapait, et le ramenait à ces blocs de ciment et à ce lit inconfortable. Est-ce qu'il aurait dû faire les choses différemment ? Pourtant, c'était toujours la même conclusion : tout ça, c'était de sa faute à elle, à sa mère.

One tree hill • La grille qui s'était ouverte sur une liberté qui lui tendait les bras. Aspen, il avait payé sa dette, et il allait pouvoir reprendre sa vie en main, il n'allait pas avoir le choix, puisque sa conditionnelle l'obligeait à retrouver un semblant de vie "normale", avec un emploi, et un logement fixe. Après quelques tentatives, il était finalement tombé sur un employé sympa au Tric qui avait accepté de lui laisser sa chance au Tric pour le ménage. Au programme, nettoyer les chiottes, le vomi, la salle, le bar... Rien de glorieux, mais il le savait, c'était ça, ou le retour entre quatre murs, pour plus longtemps cette fois. En sortant, il avait récupéré son téléphone aussi, et machinalement, il avait envoyé un sms à Naomi. "Salut, je suis sorti. On se voit ?" Rien de romantique, du Greenshaw dans toute sa splendeur, mais encore une fois, elle était la première à laquelle il écrivait, et si ça ne voulait rien dire pour lui, pour son coeur, lui, ça avait du sens, qu'Aspen le veuille... ou non.

• prénom / pseudo • mathilde / hurry babe. • âge • bientôt trente-deux ans. • pronom à utiliser • elle. • ville / pays • perpignan, france. • présence • autant que possible, je ne rp pas à la vitesse de la lumière, mais je poste de temps en temps (si si :dent:). • moyenne de mots • ça varie, de 500 à 1000 environ, plus ou moins selon les rp. • source du forum • sorti tout droit de mes dix doigts. • petit mot, suggestion • pourvu que ce soit le dernier

Je réserve mon avatar :

Code:

<res>nicholas galitzine</res> • <pn>aspen greenshaw</pn>

Owiiii !

Trop hâte de lire ça !!!

@Scott cafferty je t'attends

REBIENVENUUUUUUUUUUUUUUUE !!!

Bonne chance pour ta fichette !

Tu es si faible j'adore

Rebienvenue avec ce perso qui va dépoter, je le sais

on te croit plus quand tu dis non maintenant Mat

super choix de vava en tout cas
j'ai hâte de voir ce que tu vas faire d'Aspen, en passant j'adore ce choix de prénom
bon courage pour ta fiche

Re bienvenue chez toi
J'aime tellement ce choix de bouille. J'ai hâte de lire la suite et de découvrir aussi les autres frangins du coup. La mère m'a l'air bien farfelue en tout cas

Rebienvenue sur le forum :D.

(re)bienvenue chez toi avec ce nouveau perso
hâte d'en lire plus

(re)bienvenue chez toi

Rebienvenueeee chez toiii

Re-bienvenue à la maison avec ce craquaaaaage

rebienvenue chez toi
je n'avais jamais vu aspen utilisé pour un garçon et j'adore
bon courage pour la suite de ta fiche

Re bienvenue chez toi

Encore un petit craquage ah la faiblesse

Encore un personnage qui va être au top

Bon courage pour la fin de ta fiche

Je connaissais pas cet avatar, mais il est top

Rebienvenuuuuuuuuue