David Ward

- ft jonathan bailey -

prénom, nom : petit homme se battant contre les méchants géants depuis le début. david. prénom que sa défunte mère affectionnait tant. seul vestige de ce que lui reste d'elle. patronyme sans artifice. ward. court et efficace. sur toutes les lèvres de ses collègues, bien plus que son propre prénom. date et lieu de naissance : 16 mars 1990 ; hauteurs de buildings et des rues longilignes qui n'en finissent plus. une ville qui avait son coeur mais qui pourtant lui a tout pris. bonheur éphémère qui jamais n'a perduré. enfant pourtant choyé mais que la vie a choisi en victime. un simple quai de métro a arraché une partie de son âme. petit garçon que le destin a frappé en plein myocarde. plus rien n'a jamais été pareil. cette ville était maudite. nationalité : américain ; fierté qui gonfle son coeur quand le drapeau se hisse. patrie qui n'a jamais cessé de le faire vibrer. il est son gardien, son protecteur qui donnerait sa vie pour elle. valeurs chères à son coeur qui jamais ne faiblissent dans la réalité de la vie. origines : anglaises ; ancêtres téméraires dont les rêves semblaient bien trop grands pour eux. l'océan n'a été qu'une possibilité d'onirismes encore plus beaux, mais aussi plus vain. ils ont fini par se lancer dans cette folle aventure. abandonnant toute leur vie, ils ont réussi cette épopée des temps modernes jusqu'à trouver une herbe plus vertes sur les côtes américaines. des récits qui se sont perdus dans les générations. métier, activité : sergent à la brigade criminelle de Tree Hill ; petit justicier que les années n'ont pas fait fléchir. coeur valeureux qui ne bat que pour arrêter les maudits. les études, c'était pas vraiment pour lui. l'action, l'adrénaline, des choses qu'il a découvertes et qui lui semblent à présent nécessaires. ça le rend vivant. ça le touche en plein coeur. sauver la veuve et l'orphelin. des buts qu'on dirait naïfs, bien trop caricaturaux. pourtant c'est ce qui l'a toujours motivé. orientation sexuelle : hétérosexuel ; jusqu'à preuve du contraire. des désirs qu'il n'a dirigés que vers la gente féminine. des attentions qu'il n'a jamais pu porter à d'autres hommes. mais n'en faut-il pas qu'un pour changer ? une incertitude qui l'a toujours questionné un petit peu dans son esprit. mais jamais la question n'est venu réellement au devant de la scène. seules les femmes jusqu'à présent ont réussi leur tour de magie. sans que pour autant il tombe réellement pour elles, sauf elle. statut civil : célibataire ; coeur meurtri qui n'a pas supporter la possibilité de la perdre aussi. égoïsme de ne vouloir être celui qui reste. des sentiments qu'il a refoulés, des sentiments qu'il a préféré oubliés. c'était pour son bien, c'était pour elle. erreur. il se voile la face, pense qu'elle mérite mieux qu'un homme prêt à se faire tirer dessus. parce qu'ils se ressemblent un peu trop. il ne supporterait de la perdre à tout jamais. la quitter c'était échappé à tout ça. ne pas assister à la scène. alors il reste seul à présent le soir. solitaire dans cet appartement bien trop silencieux. draps qui se froissent parfois sans que jamais il ne reste trop longtemps. myocarde qui préfère oublier pour éviter la souffrance de trop. traits de caractère : ambitieux ; drôle ; bienveillant ; humble ; drôle ; empathique ; râleur ; buté ; impatient ; sarcastique ; cynique ; solitaire ; uc. crédits : vesna.

samantha

i don't want to be anything other than me

keywords • métro ; gamin ; justice ; armes ; protection ; amour ; bancal ; solitude ; appartement ; sang ; fleurs fanées ; collier ; sms ; lâcheté ; peur ; sentiments ; quai ; déménagement ; liberté ; insigne ; drapeau ; relations échouées ; regrets ; mélancolie.

born in tragedy • (tw : mort, meurtre)

quai de métro où la foule est pourtant bien disparate ce jour-là. il est tôt. petit garçon dont la main ne lâche pas celle de sa mère. ça devait être leur journée. rien qu'à tous les deux. innocence enthousiaste qui éclate depuis le petit déjeuner. des rires de l'enfant qui résonne jusqu'à la prochaine station. le métro met du temps à arriver. il est si tôt. les lueurs du soleil n'ont pas encore réussi à percer l'horizon. le ciel est encore traversé par les nuées ardentes nocturnes. quelques personnes à peine qui ne faisaient que traverser les stations. et puis ces deux jeunes sur la droite. un simple regard maternel sans que l'enfant ne se rende compte. ils rient tous les deux. elle le fait danser sur le quai pour le distraire de ce qui allait suivre. pour tenter de le laisser hors de la tragédie de ce monde. new york était bien trop le théâtre de ce genre de scènes. diversion qui semble marcher. le petit garçon s'agite un peu, sans percevoir la moindre atmosphère autour de lui. au loin, le métro arrive enfin. quelques minutes de retard qui seront surement fatales. tout est si calme. la nuit envole la ville d'une certaine sérénité. les bruits citadins ne brisent pas cette quiétude. tout est si tranquille. jusqu'à ce que les jeunes s'adressent finalement à eux. ça va vite. sa mère qui tente de se mettre entre lui et eux. ce sac qu'elle leur donne. et finalement ce pistolet qui est sorti alors qu'ils entrent dans le métro. tout à coup le monde qui s'écroule. la minute d'avant le rire maternel qui résonne dans la station. le bonheur intact d'être ensemble entre une mère et son fils. minute frivole avant que tout n'explose. quelques secondes et un corps qui bascule. son coeur s'arrête. la bulle éclate en plein vol. le rouge qui explose. tout ne devient que poussière. il ne comprend pas. la terre a fini par tourner au ralenti. seulement, elle n'est déjà plus. elle l'a quitté en une fraction de seconde. son sourire a quitté ses lèvres. cruauté de la vie qui jamais ne revient en arrière. tout était fini. il n'aurait rien pu faire. trop petit, trop naïf. culpabilité d'un petit garçon qui s'immisce un peu trop dans son âme. des années à tenter d'oublier cette image. de ce corps sans vie qui jamais plus n'aura les sourires tendres qu'elle lui adressait, les bras affectueux dont elle l'entourait si souvent. brutalité qui le fait entrer dans le monde des adultes. dans cet univers qu'il n'a jamais aimé. comme elle lui manque. comme la douleur de la perdre a étreint son coeur. il a peur d'oublier son rire. son visage, ses traits. toutes les choses qui faisait d'elle la personne qu'il préférait au monde. mais c'est fini. elle n'est plus là. seules les larmes coulent sur ses joues d'enfant.

how do i say goodbye • mois qui s'écoulent lentement. changements forcés qui finissent par être nécessaire. un déménagement tree hill assez rapidement. new york, c'était fini. une ville que son père ne pouvait que détester. des rues qu'il avait fini par haïr lui aussi. douleur qui jamais ne quitte leurs cœurs. la souffrance est encore trop présente. le deuil est long. le travail est le remède de son père. des heures supplémentaires prises pour tenter de lutter contre ce coeur cassé, contre ce myocarde brisé qui n'avait battu que pour elle. joli tableau familial que pourtant le destin a décidé de malmener. la photo est tombée au sol et le verre s'est brisé sur le sol de la cuisine. la mère n'est plus. bras tendres qui l'ont toujours encerclés sont partis en fumée. père que la tristesse laisse maladroit. la perte les éloigne et jamais ne les rapproche réellement. une relation qui s'étiole, qui se dilate sans qu'aucun des deux n'arrive à la retenir. fils qui grandit qui pourtant essaye de toutes ses forces. les divergences sont trop nombreuses. une volonté qui s'est ancrée en lui ce jour-là et qui ne fait que les diviser un peu plus. la justice a pris place dans son myocarde. chose que son père ne comprend pas réellement. perdre sa femme était déjà de trop, il ne pouvait supporter de perdre son fils aussi. il ne comprenait, ne voulait comprendre les raisons qui motivaient son fils à s'engager, à quitter le cursus universitaire classique pour celui des justiciers. servir son pays, arrêter le mal qui le gangrénait et qui faisait bien trop d'orphelins dans les rues. tout ça n'avait fait que renforcer sa volonté. il se fichait pas mal du risque. qu'avait-il à perdre de plus ? il connaissait les risques du métier. coeur qui se gonfle d'adrénaline, vision qui s'affute à chaque ordre, muscles qui se contractent à l'approche de l'assaut. des petits détails qu'il découvre et qui l'entrainent un peu plus vers l'amour de son métier. c'était tellement plus simple. aucune attache, aucun compte à rendre à quelqu'un le soir en rentrant. il n'était que ce policier. cet homme qui faisait justice à sa propre petite échelle. réparer les défauts humains pour tenter d'apporter un peu de paix dans ce monde.

put a little love on me • un métier à risque. un coeur qui n'a pas prêt à l'amour et à toute autre forme. des draps qui se froissent de en temps en temps sans que jamais il ne reste assez longtemps. les histoires ne sont pas pour lui. la douleur de la perte est trop écrasante. un refus de l'amour dans sa totalité pour éviter la souffrance. il rejetait l'idée qu'une femme puisse l'attendre à la maison. il avait vu la fêlure dans les yeux de son père lorsque sa mère s'en était allée. il ne l'infligerait à personne. volonté prise assez tôt pour un jeune homme pourtant en mal d'amour. c'était plus simple de tout refuser. de n'accepter que rien ne puisse le toucher lui et les autres. si seulement, tout était si simple. il y a d'abord eu elle. quand il a déménagé jeune à tree hill. une gamine espiègle qui ne s'est pas démontée devant ses airs renfrognés d'émigré new yorkais. une amitié qui s'est développée à toutes épreuves. elle ne lui a pas donné le choix. elle s'est accroché à lui malgré lui, sans lui demander vraiment son avis. une femme qui a pris bien plus de place qu'il n'aurait jamais imaginé. rien d'ambigu entre eux. leur amitié a résisté aux affres du temps, aux hormones adolescentes et autres idioties. l'amour amical s'est imposé à lui sans qu'il ne le voit venir. peut-être était-il un peu content qu'une serait au moins présente à son enterrement si jamais quelque chose tournait mal. c'était leur petit jeu à eux. des blagues idiotes sur ce qu'il pouvait vivre dans son métier. ça avait toujours été ça entre eux. parce qu'elle a fini par devenir sa véritable ancre finalement. amitié à toute épreuve qui a perduré malgré tout. c'est elle qui s'en aperçut la première. de son regard qui coulait vers l'une de ses collègues. de cet air qu'il avait malgré lui quand il recevait même un message idiot de coordination. elle tenta de le pousser, de le faire réagir. de l'amener à avoir enfin le coeur qui battait réellement. de transformer sa solitude en quelque chose de beau et puissant. elle avait raison sur toute la ligne. il a tenté de résister, de se protéger encore et encore. mais sa collègue avait réussi à ouvrir un nouvel océan dans son myocarde. quelque chose qu'il n'arrivait à contrôler. quelque chose qui d'un côté le rendait dingue.

carry you home • elle est belle salem. jeune fleur aux doux pétales. elle le fait rire. et ça le remplit de joie. elle est cette jeune femme simple aux tendres sourires. lionne indomptable qui peu à peu prend de la place dans son coeur. bien plus qu'il ne l'aurait cru. elle devient cette voix qui lui murmure des mots la nuit. cette nymphe guerrière qui se bat à ses côtés à chaque mission, ou presque. elle est la seule qui sait réellement, la seule pour qui son métier n'est pas abstrait. une histoire digne des plus belles romances avec le baiser sous la pluie alors que l'adrénaline coulait encore dans leurs veines respectives. étrange, la tragédie est restée au placard. pour le moment. plus le temps passe, plus elle est celle qu'il avait attendue sans le savoir. il pourrait refaire le monde quand elle est dans ses bras. elle l'apaise. parfois il se pense trop bien pour elle. il se demande comment une telle femme peut être avec lui — si fière, indomptable. elle est cette énigme qu'il aime déchiffrer chaque jour. ses baisers sucrés sont des baumes à chacune de ses blessures. avec elle, la souffrance disparaît. seul l'avenir radieux se dessine. parfois, quand elle le rejoint dans ses insomnies, il lui parle de ses rêves. de cette envie qu'il n'avait jamais pu envisager avec elle. elle l'a toujours poussé vers des songes un peu plus réels. emménager, vivre avec l'autre complètement, attendre que l'autre rentre avec impatience. des choses qu'il n'avait pu envisager jusqu'alors. s'il n'avait jamais voulu que quelqu'un l'attende en rentrant, partager le même métier était presque une libération finalement. un lien qui les lie indéniablement. salem, c'était son épaule, la proue à laquelle se raccrocher. les tragédies n'avaient pas de prise sur eux. chose qui l'avait toujours terrorisé pourtant. elle glissait sans jamais ne s'attarder. parce qu'ils étaient beaucoup trop solides pour elle. parce que salem était son phare dans la nuit. il avait fini par y croire, par le penser réellement. il ne savait pas que c'était ce qui allait les perdre.

goodbye my lover • coeur gonflé qui parfois traverse les mille tempêtes. parce qu'ils s'aiment, parce qu'ils parlent d'emménager ensemble. seulement parfois des disputes éclatent. toujours le même sujet. toujours les mêmes reproches. la sécurité. un métier commun qui leurs évitent des discussions superflues. chacun connaît les risques de l'autre. mais la réalité est plus compliquée. il veut la protéger, la savoir en sécurité à chaque seconde. quitte à briser ses propres limites. les mots sont alors trop forts une fois la mission terminée. cœurs qui s'échauffent à cause de la peur dans leurs veines. c'est ce qu'il avait toujours redouté. une moitié qui s'inquiète trop. ce qu'il n'avait pas prévu, c'était sa propre réaction face à tout ça. il ne supporterait pas de la voir blessée ou pire encore, de la perdre. chose qui pourrait se passer à n'importe quelle seconde. il se mettait en danger lui-même à cause de ça. prendre des risques inconsidérés. cette mission fut le déclencheur. cette balle que personne n'avait vu venir. une balle perdue qui les a perdus eux. réminiscence de ce matin-là alors qu'il n'avait que cinq ans. sorte de syndrome de l'abandon qui éclate dans son coeur. la souffrance il en veut plus. ni pour elle, ni pour lui. la perdre serait un peu se perdre lui aussi. quelque chose qu'il commence à ruminer dans son esprit. peut-être qu'il était temps. peut-être qu'il n'aurait jamais du commencer ce genre de relations avec l'une de ses collèges. rompre ne pouvait être qu'une libération pour les deux. elle l'oubliera, trouvera quelqu'un de mieux qu'elle ne pourra perdre à chaque mission. et surtout, son propre coeur serait en paix. s'inquiéter pour autrui était éreintant. il l'aimait tellement. briser son propre coeur n'était pas chose aisée. le sien aura besoin de temps mais il s'en remettra. elle avait toute la vie devant elle - il pourrait occuper la sienne bien plus sereinement malgré ces sentiments qui lui brulent encore le myocarde. un malheureux accident qui lui fait remettre le monde en question. bafouer tous ses principes en se mettant avec elle n'avait été qu'une erreur qu'il se devait de réparer. aimer pour la perdre, ressentir à nouveau cette souffrante déchirante. une chose dont il ne se sentait pas capable. pas capable de l'enchainer à un possible fantôme, pas capable de la laisser aimer un cadavre potentiel. elle méritait mieux. elle méritait un amour sans danger. et peut-être qu'au fond il savait que ça se terminerait ainsi. qu'elle serait toujours trop bien pour lui. qu'il ne supporterait pas de la perdre. c'était plus simple de la quitter ainsi. un mal pour un bien. quitte à briser son propre coeur, quitte à fendre son âme en deux. c'était pas grave, il pouvait vivre avec ça. elle, elle méritait mieux, elle oublierait surement. alors jamais il ne put franchir les portes de l'hôpital où elle avait été transportée. un I'm sorry envoyé sans même un dernier baiser. et il était parti dans les prochaines heures suivantes pour une mission.

finally home • le coeur en miettes alors que la vie continue. des mois à tenter de l'oublier, à tenter de passer à autre chose. le métier aide. mais quand toutes ces insomnies, ces mauvais rêves, tout ce qui en ressort n'est dédié qu'à la seule et même personne, le myocarde en prend un coup. et il y a ce dernier message sur son téléphone. égoïste lâcheté. celui qu'il lui a envoyé et trône encore dans son fichu téléphone, dans leur dernière conversation à deux. vestige d'un eux qui a existé quelque part. un simple sms sans que jamais il n'en attende une réponse. de la lâcheté pure que son coeur n'aurait pourtant supporter plus. la voir dans ce lit, la voir souffrir. cette chambre d'hôpital, il n'avait pas pu s'y rendre. parce que surement qu'il serait resté à cause de ça. surement qu'il aurait pu tout abandonner pour elle. alors il tente d'oublier comme il peut. être envoyé loin pour une mission de haute importante aide pas mal. ne plus la voir, ne plus ressentir ce parfum qui le rendait dingue ou encore subir ce regard qu'il connaissait à présent par coeur. la réussite de son travail le plonge loin de ses affres du coeur. le myocarde est encore là, quelque part. l'anesthésie est pourtant si bonne, si salvatrice. ces quelques mois lui feraient presque oublier jusqu'à son propre nom. jouer un autre rôle, porter ce masque qui le soulage de sa propre vie. c'est si simple. la mascarade ne dure qu'un temps. les illusions créées pour le besoin finissent toutes par éclater. la réalité lui revient en pleine figure. il doit rentrer, il doit retrouver cette vie qu'il avait laissée derrière lui. mais surtout il la retrouvera surement elle aussi. elle et ses cheveux de feu. elle et son regard surement destructeur. elle sera surement là, travaillant tous deux au même endroit. bourreau des cœurs qui pourtant sent encore le sien brisé dans sa poitrine. l'illusion n'a duré qu'un temps. la douleur revient en pleine figure, plus forte que jamais.

en vrac • a eu une peur des métros pendant pas mal de temps, difficile quand on habite new york — aimerait avoir un chien mais a un train de vie bien trop difficile — est comme un oncle attentionné pour les enfants de sa meilleure amie — est beaucoup plus salé que sucré — cicatrice au niveau de son flanc droit, vestige d'une ancienne mission — carbure un peu trop au café le matin — a pas mal d'insomnies dans ses périodes creuses, loin de la folie de ses journées/nuits de travail — n'est pas du tout doué en cuisine mais a la volonté de s'améliorer quand même — est très ponctuel sur les horaires — a une drôle de passion pour les plantes, adore jardiner même s'il en a pas forcément trop l'occasion, rare passion commune qu'il a partagé avec son père — ne boit presque jamais, n'a jamais eu ce délire là — aime aller courir le matin pour se vider la tête mais aussi pour s'entretenir — préfère l'été à l'hiver, étrangement — n'est pas dérangé pour aller manger seul au restaurant, même s'il n'a pas forcément le temps de le faire — appelle de temps en temps son père pour prendre de ses nouvelles — déteste les hôpitaux et tout ce qui s'y rattache — allergique aux noix — adore entendre le son de la pluie qui tombe sur les toits — a un guilty pleasure pour les bonbons en gélatine, en a toujours un petit paquet dans son tiroir au bureau qu'il sort en de rares occasions et généralement seul — adore les sensations fortes — est pas mal pudique — porte des lunettes quand il est fatigué pour reposer ses yeux mais a une vue du tonnerre, l'âge voulant — adore aller au cinéma, chose qu'il faisait avec sa mère, mais n'a pas forcément le loisir de le faire énormément — a déjà les tempes grisonnantes, surement du à son travail, aux risques et stress de celui-ci — ne porte aucun bijou, bague et autres — peut rester des heures sous une douche, appréciant simplement l'eau qui coule sur son corps.

playlist • lose you to love me by selena gomez — all i want by kodaline — heal by tom odell — let it all go by birdy and rhodes — little do you know by alex & sierra — half a man by dean lewis — dancing with your ghost by sasha alex sloan — a little bit yours by jp saxe — be alright by dean lewis — take me home by jess glynne — dynasty by miia — atlantis by seafret — river of tears by alessia cara — unsteady by x ambassadors — too good at goodbyes by sam smith — chaotic by tate mcrae — sad song by we the kings — talking to the moon by bruno mars — i'll be good by jaymes young — let me down slowly by alec benjamin — how to save a life by the fray — what we had by sody.

• prénom / pseudo • cristalline. • âge • vingt-six ans, oh shit. • pronom à utiliser • she/her. • ville / pays • le nord un peu à l'est mais pas trop, dans la campagnaaaa. • présence • à peu près tous les jours a minima pour checker. • moyenne de mots • free to play, suivant mes partenaires et l'inspiration. • source du forum • une pote à vous krkrkrkkr coeur sur elle, elle se reconnaitra   • type de personnage • scénario de miss @salem greenshaw • petit mot, suggestion •

Je réserve mon avatar :

Code:

<res>jonathan bailey</res> • <pn>david ward</pn>

hello
très bon choix de fc et de scénario

bon courage pour le reste de ta fiche, j'aime beaucoup ce que tu as déjà écris

déjà, sache que Jonathan est genre mon FC de coeur, mon préféré et de très loin, je l'aime d'amour et je le trouve absolument parfait
ça, c'est fait

ensuite, un superbe choix de scénario qui promet de belles choses, et j'ai hâte de découvrir la relation, le personnage. En tous cas, ce qu'on lit jusque-là promet déjà une belle plume

Bienvenue à toi chez nous et hâte de découvrir davantage de détails

Bienvenue sur le forum :D

awwwn vous êtes adorables

@jade simmons merci beaucoup à toi ravie que le début te plaise

@caden rickards ah bah écoute, j'ai la même passion que toi pour jonathan, c'est presque indécent donc je comprends tout à fait, j'étais presque surprise de le voir libre ptdrrr
merci beaucoup à toi en tout cas, c'est trop gentil et j'espère que la suite sera autant à la hauteur que le début

@giulia machiavelli merci beaucoup à toi

Mais je suis déjà TELLEMENT fan de ce que je lis Officiellement bienvenue parmi nous J’ai trop trop trop hâte de lire la suite car je suis déjà sous le charme de ta plume et je sens qu’on va faire de belles choses ensemble
Vraiment un grand merci d’avoir choisi mon scénario et encore une fois, ce choix de fc vraiment ça fait battre mon cœur

moooh merci beaucoup. j'suis tellement contente que le début te plait. j'espère que la suite te plaira tout autant. si j'ai des questions promis, je n'hésite pas et je viens te voir direct. hâte de pouvoir finir enfin cette fiche pour qu'on puisse jouer tout ça, je sens que ça va bien péter dans les chaumières hihi

Je suis du tel donc je ne peux pas t’accueillir comme je le voudrais avec l’invasion de gifs, mais je voulais quand même passer ! Tu fais un excellent choix de scénarios et tu hérites d’une partenaire qui écrit si bien, vos deux styles vont faire des merveilles contente de te voir par ici mon Aspen va bien détester le monsieur par contre mais nous discuterons de façon plus approfondi de tout ça si tu le souhaites bon courage pour la suite de ta fiche, hâte de te lire

Ps : beaucoup trop drôle que ton perso s’appelle Ward alors que Salem a joué une Ward pendant longtemps, la coïncidence est beaucoup trop belle, vous étiez meant to be.

Bienvenue cher collègue ! Enfin, collègue de rang supérieur

Le début de la fiche augure un magnifique personnage, Salem est en veine (ah non, enceinte parait-il )

Je te souhaite une bonne inspiration pour la suite

@aspen greenshaw awwwn je suis si déçue de pas avoir droits à mes gifs. (aucun souci, je sais que c'est hyper galère par téléphone héhé ) par contre le prénom aspen me fait tellement penser à un livre que j'avais lu étant enfant/ado, la sélection, je ne sais pas si ça te dit. j'espère pour ton aspen que ta naomi ne trouvera pas son maxon si jamais t'as la ref. en tout cas t'es adorable et j'suis ravie que mon début plait autant. bien évidemment j'ai déjà vu que ton aspen voulait déjà refaire le portrait de mon petit dans le rp familial avec plaisir pour approfondir tout ça avec toi en tout cas

ps : c'est vraiment trop drôle car @naomi reyes sait ô combien j'ai hésité sur mon pseudo avec ma petite liste et tout, à la dernière minute j'ai eu une illumination et pouf ward

@john monroe merci à toi cher collègue de rang inférieur.  
awn c'est adorable et ouais parait-il parait-il

Bienvenuuuuuuuuuuuue sur le fo'    

Bon courage pour ta fiche

Hâte d'en découvrir plus sur ton petit mec, j'aime beaucoup ce que tu as déjà écris    

En tout cas, tu fais un très bon choix de scénario et une heureuse  

Je ne connaissais pas trop la bouille de ton FC, mais il est tout chouuuu  

Je file de ce pas te réserver l'avatar pour les quatre prochains jours

Bienvenue à toi
Cristalline, ça me dit quelque chose comme pseudo, tu faisais pas des avatars à l'époque de bazzart ? (enfin tu en fais peut être encore cela dit )
Bon courage pour la suite de ta fiche^^

Bienvenuuuue
Quel choix ! JONATHAN Je suis fan et j'ai bien hâte de voir ce que vous allez faire tous les deux

Je passe enfin avec le bon compte, j'espère que tu n'as pas trop peur de la famille Greenshaw, et surtout d'en voir de toutes les couleurs

J'aime beaucoup ce début de fiche, j'ai hâte de lire la suite ! Bon courage !

Bienvenue !

mais qui va làààà ?
welcome here ! trop contente de te voir ici et avec un super choix de scénario qui va apporter encore plus de drama au sein de la famille GS (comme s'il y en avait pas assez )
j'aime tellement ce qu'on peut lire déjà et tu sais déjà ce que je pense de ta plume
courage pour le reste de ta fiche, j'ai si hâte d'en savoir plus et de suivre vos aventures avec Salem
(oublie pas de me réserve un ou plusieurs liens )