Austin Woodbridge

- ft felix mallard -

prénom, nom : Austin, un prénom que ses parents ont choisi de lui donner pour honorer leurs terres natales, celles du Texas, celles sur lesquelles vivent encore ses grand-parents et qui accueillent leurs visites annuelles dans le Lone Star State. Woodbridge, le nom d'une famille aimante et équilibrée, un mariage qui tient le coup depuis trente ans, et des regards encore plein de tendresse malgré les rides aux coins des yeux, Austin grandit dans un univers plein d'amour, loin des familles parfois dysfonctionnelles de ses camarades. date et lieu de naissance : Né le 02 janvier 2000 à Tree Hill, il a permis à sa mère d'éviter de passer le réveillon dans d'atroces souffrances, une gratitude dont elle ne se lasse jamais de parler lorsqu'il s'agit d'envoyer quelques compliments à son fils. nationalité : américain, Austin est né à Tree Hill et y a toujours vécu, au même titre que ses parents. origines : des origines anglaises ancestrales dont il n'a pas conscience. métier, activité : étudiant en médecine vétérinaire, il bosse également comme glacier au Brrrberry Frozen Yogurt pour aider à régler les dettes récentes de ses parents. orientation sexuelle : hétéro, il se laisse charmer par les battements de cils et les parfums sucrés des filles. statut civil : célibataire, il a eu quelques relations dont il n'a pas pris soin auparavant. Immature, peu investi, il n'aspire pas à se poser avec quelqu'un de façon sérieuse, bien qu'il ait parfois omis de l'expliquer ouvertement à ses conquêtes. Oupsie. traits de caractère : passionné, ambitieux, débrouillard, vif, dévoué et volontaire, il est aussi négligeant, parfois, désinvolte, solitaire, têtu et pudique. crédits : sweetpoison (avatars + icons) & oblivion (crackships).

keith

i don't want to be anything other than me

anecdote une • Lorsqu’Austin arriva chez les Woodbridge, après neuf mois d’une grossesse pénible, c’était le visage de la petite Cassie qui s’était penché au dessus de son berceau, un immense sourire sur sa bouille de poupée. Du haut de ses trois ans, elle venait de devenir grande soeur et Austin ne savait pas encore qu’il venait de rencontrer sa meilleure amie. En grandissant, la petite fille avait toujours pris soin de son cadet, avant que ce ne soit lui qui l’entraine dans ses bêtises à base de boue, de tâches, de dessins sur les murs, et de bataille de purée. Si leurs parents étaient des gens qui veillaient à leur inculquer de bonnes manières, ils n’en restaient pas moins deux jeunes adolescents amoureux comme au premier jour, avec quelques années en plus mais la même passion qui les animait jour après jour, année après année. Le mariage des Woodbridge était sûrement l’union la plus évidente et la plus solide qu’il soit donnée d’avoir, parce que leurs regards transpiraient l’amour dès lors qu’ils se posaient l’un sur l’autre, dès lors qu’ils regardaient leurs deux enfants et qu’ils réalisaient ce qu’ils avaient accompli, tous les deux. Le foyer Woodbridge était plein d’amour, trop sûrement pour ceux qui vomissaient le romantisme, mais ils étaient la preuve que les âmes soeurs existaient, et c’était avec cette croyance que les gamins avaient été élevés, dans la quête de leur idéal, un jour.

anecdote deux • Les repas chez les Woodbridge respiraient la bonne humeur, et les éclats de rire autour de la table témoignaient de l’amour qui transpiraient entre les membres de cette famille ordinaire à l’équilibre extraordinaire. A présent qu’ils avaient grandi, Cassie ne s’évertuait plus à donner elle-même à manger à son petit frère, mais elle le regardait en ricanant lorsqu’il louchait sur les choux de Bruxelles qu’il détestait dans son assiette. Face à eux, leur maman avait posé sa main sur celle de leur papa, un geste d’amour qui leur semblait si naturel qu’ils ne le remarquaient même plus. C’était comme ça, tous les soirs, au point qu’un tout autre schéma leur paraissait impossible, au point où Austin n’avait pas compris quand il était allé dormir chez un copain et que sa mère leur avait préparé des sandwiches à manger dans le canapé pendant que sa soeur avait attrapé un plat surgelé qu’elle avait emmené dans sa chambre. Les dîners en famille avaient une saveur particulière qu’il ne troquerait pour rien au monde Austin, à part peut-être pour aller au diner’s avec ses potes, une fois le lycée arrivé.

anecdote trois • Pour Austin, la vie était belle, et ce qui pouvait s’apparenter à des problèmes lui semblaient toujours futile. Il était simplement heureux. Entouré de sa famille, de ses copains avec qui il avait grandi et avec lesquels il passait ses journées à l’école, jusqu’au lycée. Des booms, des sorties aux arcades, puis des soirées, ils avaient évolué sans jamais se quitter, même quand l’un d’eux leur consacrait moins de temps parce qu’il avait une nouvelle petite amie, même quand l’autre ramenait sa copine à leur soirée, même quand ils s’embrouillaient pour une partie de jeux vidéos, l’essentiel restait : l’amitié. Austin avait été de ceux qui avaient rencontré des filles, qui avait parfois manqué quelques soirées pour des têtes-à-têtes amoureux, avant que l’histoire ne tombe à l’eau plus vite que prévu, sans que ça ne lui fasse plus d’émotions que ça. Il était bien dans sa vie, comme ça, avec ou sans petite amie, et si elles allaient et venaient, ça n’avait jamais été un problème, c’était un gamin qui ne savait pas encore qui il était vraiment, de toute façon, alors comment pouvait-il construire quoique ce soit encore avec quelqu’un ?

anecdote quatre • C’était lorsqu’il croisa un chien gisant sur la chaussée qu’il découvrit sa vocation. S’arrêtant immédiatement, il marqua tout naturellement une zone autour de l’animal avant d’appeler le vétérinaire pour être sûr de faire ce qu’il fallait, prenant soin de parler à cette petite bête en souffrance tout en caressant sa tête. Du haut de ses seize ans, et depuis ce jour-là, il ne faisait désormais plus aucun doute qu’il deviendrait vétérinaire à son tour, pour sauver ces petites âmes innocentes qui ne méritaient pas d’être laissées à l’abandon sur la route, presque à rendre leur dernier souffle dans une solitude qui faisait mal au coeur. Lui, il serait de l’autre côté, de ceux qui les sauvaient, de ceux qui se battaient pour leur offrir du temps, de ceux qui feraient tout ce qu’ils pouvaient pour leur venir en aide. Une fois son diplôme en poche, il n’hésita pas une seconde au moment de choisir son cursus universitaire, et s’orienta sans aucune surprise vers des études vétérinaires qu’il suivit à la fac de Tree Hill, exerçant ses stages dans le cabinet de la ville qui l’avait vu amené ce chien blessé, et auprès de ce docteur qui pour lui, était devenu un véritable mentor.

anecdote cinq • A la fac, tout allait pour le mieux, encore et toujours. Austin était comme un poisson dans l’eau, entouré de ses mêmes copains qui, comme lui, avaient opté pour des études dans la fac la plus proche, entre cours et soirées, entre sérieux et amusement, un combo idéal pour un garçon qui respirait le bonheur. Le campus restait un lieu de rencontres, et c’était comme ça qu’il avait fait la rencontre de Jane, puis de Nova, et ensuite, de Paola. Les filles allaient et venaient, et Austin ne cherchait pas plus, ça lui allait bien, comme ça, il n’avait pas envie de se prendre la tête, jusqu’à ce qu’on la lui fasse vraiment tourner lorsqu’il avait posé ses yeux sur Ella, ses grands yeux noirs qui le fixaient et qui l’avaient hypnotisé. Ella, son premier amour. Ella, son premier chagrin, aussi. Avec elle, Austin s’était laissé aller à déposer ce bonheur qu’il connaissait bien entre ses longs doigts fin et délicats, qui l’avaient finalement écrasé d’une main ferme et pleine de force. Ella l’avait quitté, pour un autre, du jour au lendemain, sans qu’il n’ait rien vu venir Austin, et elle avait emporté avec elle la vision de l’amour véritable que les parents Woodbridge avait toujours offert à leurs enfants. Ella n’était qu’une garce, et l’amour n’était que déception.

anecdote six • Le coup de téléphone de son père l’avait figé sur place, et les regards circonspects de ses copains autour de lui en disaient long. Jamais le visage d’Austin n’avait paru aussi froid, aussi livide, même pas après sa rupture. Son coeur tambourinait dans sa poitrine, et sans prendre le temps d’expliquer quoique ce soit, il finit par retrouver la lucidité de courir vers sa voiture, et de foncer à l’hôpital. Le trajet ne lui avait jamais paru aussi long, alors qu’il n’avait jamais été aussi rapide tant il était pressé. Boum boum. Boum boum. Lorsqu’il franchit enfin les portes des urgences, il ne lui fallait que quelques secondes pour trouver ses parents, assis dans un coin, sa mère incapable de retenir des larmes d’angoisse tandis que son père tentait tant bien que mal de taire son stress pour ne pas empirer celui de sa femme. A leur hauteur, son père le prit dans ses bras, quand sa mère, elle, resta immobile, dans un état second et de choc qui la privait de ses sens. Après une bonne heure, un médecin s’approcha d’eux. Boum boum, boum boum. Sans prendre de gants, il leur annonça que Cassie était désormais hors de danger, mais qu’elle aurait besoin de temps pour retrouver toute sa motricité, et qu’ils allaient devoir se préparer à lui offrir le soutien physique et émotionnel dont elles auraient besoin, appuyant particulièrement sur ce point en fixant la maman qui pleurait de soulagement. « Je vais prendre sur moi Docteur, merci ! » Prononça-t-elle en reniflant, avant de demander quand ils pourraient aller voir Cassie. Le coeur d’Austin battait toujours la chamade, mais une chose était certaine, l’amour existait, et il était exactement ce qui définissait sa famille, il en était sûr, finalement.

anecdote sept • Les progrès de Cassie chaque jour à l’hôpital et en rééducation ne suffisaient pas à apaiser la tension qui avait désormais pris le pouvoir chez les Woodbridge. Sur la table du salon, les factures de l’hôpital s’entassaient et la tête dans les mains de sa mère ne permettait plus d’ignorer les cris de son père. L’inquiétude avait doucement raison de l’équilibre familial, et si au départ, elle était simplement pour la santé de Cassie, il était désormais question d’argent. Les soins coûtaient les yeux de la tête, et ajouté à tout ça, le procès entre la famille Woodbridge et la famille du mec de la voiture d’en face finissait d’absorber l’énergie qu’ils n’avaient plus. Les avocats allaient et venaient, remuant tout un tas de souvenirs qu’ils aimeraient tous oublier mais qui venaient néanmoins étoffer leur dossier et apporter plus de crédibilité à leur version des faits. Au début, ils avaient voulu se concentrer sur elle, sur chaque pas réalisé vers la guérison, mais il était devenu impossible d’occulter le reste tant ça prenait de la place. Le visage radieux de sa mère laissait désormais place à celui d’une femme usée par la vie, par des nuits tourmentées, par des dettes qu’elle savait ne pas être à même de rembourser, par cette assurance dont elle n’avait pas renvoyé les courriers à temps et qui leur refusait le paiement des frais hospitaliers, par la colère et l’incompréhension d’un mari qui lui faisait confiance tout en étant bien heureux de toujours avoir pu compter sur elle sur la paperasse, et dont la patience était soumise à rude épreuve parce que lui non plus ne parvenait plus à dormir. Les repas se faisaient avec pour seul moteur le bruit des fourchettes contre la porcelaine des assiettes, quand ce n’était pas sous les aboiements de l’un ou de l’autre à la première phrase qu’ils soumettaient chacun à leur interprétation respective. Elle avait fini par se lever, maman, et dans un élan de lassitude, avait lâché une phrase qui résonnait encore dans la tête du jeune Woodbridge. « Très bien, alors on devrait divorcer. » Ses parents, fous amoureux, au bord du précipice, et son monde entier qui s’écroulait sous la désillusion d’un équilibre brisé.

anecdote huit • La soirée étudiante battait son plein, mais Austin, lui, n’avait pas le coeur à la fête. Les mots de sa mère venaient frapper ses pensées à chaque fois qu’il clignait des yeux, à chaque fois que quelqu’un ouvrait la bouche, c’était cette phrase qui raisonnait encore et encore. L’alcool avait semblé être la solution parfaite pour faire taire la peine qui l’envahissait, pour oublier les repères qui se dérobaient sous le poids des dettes. Un verre, vidé d’une traite, puis un deuxième, pour que très vite, la chaleur l’envahisse en même temps que l’oubli. Il en avait fallu un troisième, puis un quatrième, pour qu’enfin, le flou et l’ivresse chassent son humeur maussade. Elle était jolie, cette fille qui était venue s’installer sur le canapé à côté de lui, et sans vraiment comprendre comme c’était arrivé, il avait sa langue dans sa bouche et ses mains posées sur ses hanches, glissant délicatement sous son t-shirt qui manquait déjà de tissu pour l’appeler comme ça. C’était seulement lorsqu’on le tira en arrière et qu’on lui affligea une énorme gifle qu’il réalisa un peu plus ce qui se passait. Face à lui, telle une furie, Alma était dans tous ses états, et des larmes de colère perlaient déjà le long de ses joues. « Comment tu peux me faire ça, Austin ? » Ensemble depuis quelques mois, Alma et Austin paraissaient avoir un bon potentiel, et si lui se laissait porter au jour le jour, il ne pouvait nier qu’il était bien avec elle, c’était simple, peut-être pour la première fois depuis Ella, il avait fini par accepter de poser le mot « couple » sur leur relation, bien qu’il se refusait encore à faire de grands projets. « Ca vaaaa. » Balbutia-t-il, se redressant en titubant, et passant son bras autour du cou de sa petite amie. « Y’a pire dans la vie princesse, faut péter un coup. Puis l'amour, c'est seulement dans tes rêves, moi je chie sur l'amour ! » Il ricana, et ce fut sûrement ce qui acheva complètement Alma, qui s’enfuit sans se retourner, laissant le brun à son célibat tout frais. L'amour, c'était de la merde de toute façon, même après trente ans à le vivre avec un grand A, il se ternissait pour finir en divorce. Divorce. C'était trop pour Austin, qui clôtura ce fiasco par un vomi sur ses propres chaussures, et qui rentra en les laissant telles quelles dans l'entrée de la maison familiale.

anecdote neuf • Les messages d’excuses à Alma, le lendemain, restèrent non transmis, et le brun ne s’acharna pas, parce qu’il avait des problèmes bien plus importants à gérer. Décidé à aider ses parents, il s’était finalement présenté au Brrrberry Frozen Yogurt, le glacier du centre commercial, pour faire des heures le soir et le weekend, afin de participer aux factures et à ne pas laisser l’argent séparer leur famille. Tous les trois s’étaient fait la promesse de ne rien dire à Cassie de tout ça, pour qu’elle se concentre uniquement sur sa guérison, et quelques jours plus tard, Austin enfilait son tablier et son petit chapeau de glacier pour son premier service. Hésitant, il avait encore du mal à faire de belles glaces italiennes dignes des magazines, les unes penchant telles la tour de Pise, d’autres tellement larges qu’elles coulaient sur le cône avant même qu’il ne les remette aux clients, mais globalement, ça n’avait pas été une catastrophe non plus, et c’était soulagé qu’il avait hoché la tête quand son manager lui avait dit « à demain », ne le remerciant pas après une seule tentative. Au fil des jours, le Woodbridge avait fini par prendre le coup de main, et c’était maintenant avec agilité qu’il réalisait les commandes qu’on lui passait, jonglant entre les préparations et les encaissements en toute autonomie, et fier lorsqu’on lui remit sa première paye, qu’il redistribua directement à ses parents. Ils étaient loin du compte, terriblement loin du compte, mais chaque pierre à l’édifice les rapprochait un peu plus du sommet, et il refusait de succomber à la facilité : celle des tensions et des disputes, il veillait à ce que les Woodbridge restent soudés, contre vents et marées, il s’en était fait sa mission.

anecdote dix • Une demande de message. Curieux, Austin scruta le profil qui venait de lui écrire, ses photos, l’humour d’un premier message qui n’avait rien d’ordinaire mais tout de courageux, il appréciait. Sans trop réfléchir, il accepta la demande et répondit d’un ton léger. Il n’avait pas idée que cette conversation serait finalement sans fin, prenant de plus en plus de place dans un quotidien déjà bien chargé, entre les cours, les heures à la clinique vétérinaire, et celles consacrées à confectionner de jolies glaces. Surprenamment, cette inconnue était devenue celle à qui il pouvait se confier sans que jamais elle ne le juge, celle qui passait des heures à l’écouter ruminer sur sa vie à la maison dont il ne parlait à personne pour s’assurer que Cassie ne l’apprenne pas, celle qui le faisait rire, celle qui dessinait un sourire sur ce visage bien trop sérieux depuis de longues semaines. Elle était si jolie, il n’attendait qu’une chose, pouvoir la rencontrer, et arrêter de vivre dans un virtuel agréable mais de plus en plus pesant. Il avait envie de la regarder prendre vie face à lui, de sentir son parfum, d’emprisonner ses doigts dans les siens. Elle était différente, et il s’était attaché à elle sans même le réaliser, heureux de voir son nom s’afficher sur son téléphone à chaque fois qu’elle lui écrivait, à chaque fois qu’elle lui offrait une bouffée d’oxygène dans un univers étouffant. Pourtant, elle s’y refusait, pour le moment, à ce qu’ils se voient, et ce malgré les différentes propositions du brun, qui avait tenté de l’inviter à dîner, puis à un concert, à un pique-nique, ou tout simplement à un café, pour commencer, si elle avait peur qu’il ne lui plaise pas, mais elle n’était apparemment pas encore prête. Patient, il acceptait de l’être Austin, parce qu’il sentait une connexion qu’il n’avait jusque là jamais ressentie le Woodbridge, et il en avait besoin, encore plus en ce moment, alors qu’elle était devenue un pilier sans même qu’il ne l’ait jamais rencontrée. Chaque jour qui passait les rapprochait un peu plus, il le savait bien. Tic, tac, tic, tac.

• prénom / pseudo • hurry babe / mathilde. • âge • la trentaine qui avance... • pronom à utiliser • elle. • ville / pays • perpi city. • présence • quotidienne, si tout va bien. • moyenne de mots • idéalement, aux alentours de 700 si je veux répondre dans des délais raisonnables, ça peut être plus néanmoins si les feels passent par là. • source du forum • mes petites mains il y a 4 ans et demi    • type de personnage • inventé• petit mot, suggestion • c'est pas le dernier, j'vais pas mentir.

Je réserve mon avatar :

Code:

<res>felix mallard</res> • <pn>austin woodbridge</pn>

Re bienvenue parmi nous

Rebienvenue sur le forum :D

Re bienvenuuuuuuuuuuuuuuuuuuue sur le fo'  

Une nouvelle petite faiblesse

Bon courage pour ta fiche    

Hâte de découvrir ce nouveau petit mec que tu vas faire    

J'aime beaucoup le début de ta fiche, hâte de lire la suite

Et pour une fois, je ne peux pas dire que je connais pas ton avatar, Félix est vraiment très chouuuuu  

Je file de ce pas te réserver l'avatar pour les quatre prochains jours    

Amuse toi bien avec ce nouveau personnage

Félix is baaaaaaack :drama: un super choix de vava, comme toujours
Un petit craquage bien beau

Hâte d'en savoir plus sur ce petit gars la fiche est encore bien vide

Rebienvenue chez toi Mat

Re-bienvenue !

re-bienvenue chez toi avec ce nouveau personnage
bon courage avec la rédaction, mais surtout have fun

rebienvenue à la maison

Re-bienvenue chez toi

Euh pardon Re bienvenue chez toi. Un étudiant en études vétérinaire j'aime bien ce choix. Curieuse d'en savoir plus sur ton petit bourreau des coeurs lol.

hellooooo maxi bgggg
hâte de voir ce que tu vas faire d'Austin
bon courage pour ta fiche ma biche


bah oui mais faut pas nous regarder comme ça Mr, après on meurt.

Fefe j'aime beaucoup cet acteur surtout dans ginny et georgia ! Bref très bonne idée d'avatar pour ce nouveau compte !

j'étais persuadé que j'étais passé par ici
rebienvenuuuuuuuuue à la casa bonita, j'adore ton choix de FC, tu en doutes bien j'ai hâte de découvrir ce perso !

Re-Bienvenue parmi nous
Bonne chance pour ta fichette

Welcomeee back !
Je me souviens que tu m'avais dit vouloir te développer avec un nouveau personnage mais mon esprit l'a occulté (j'ai un petit cerveau!) !