Alistair March

- ft my love Tyler Herro -

prénom, nom : Alistair, un prénom qu'il n'entend que très peu, en dehors de la bouche de ses parents, car ses potes, eux, l'appellent Alix. March, celui d'un médecin mondialement reconnu pour ses travaux de recherche, une pression supplémentaire sur les épaules d'un garçon qui gère mal cette pression. date et lieu de naissance : 23 janvier 2000, l'air frais et le vent marin de Tree Hill, les cris d'un gamin de l'hiver. nationalité : américain, il connaît l'hymne nationale par coeur, et c'est déjà pas mal. origines : De lointaines origines européennes dont il se contre-fout Alix. métier, activité : étudiant en sciences politiques, il suit ce cursus avant tout parce que son père a versé un don à l'université afin d'assurer l'intégration de son gamin. Pas franchement intéressé, il est plus occupé à faire la loi sur le campus et à rouler des mécaniques. Après tout, la politique n'est qu'une question de réputation, non ? A côté de ça, et bien que personne ne le sache, il écrit et compose, dans sa chambre, exutoire lui permettant de poser sur papier ce qu'il n'ose exprimer, ses failles, ses doutes, ses complexes... Une chanson sortie sous un pseudonyme sur internet, et un buzz auquel il ne s'attendait pas et qu'il n'assume pas du tout. Personne ne doit savoir. Jamais. orientation sexuelle : hétérosexuel, il n'a toujours eu d'yeux que pour les filles, et d'ailleurs, il n'est pas trop regardant, parce qu'il les collectionne. statut civil : célibâtard, c'est un flambeur, d'argent, de mythos, de nanas... aussi. traits de caractère : Suffisant, Alix se montrait très souvent hautain, profiteur aussi. Pour lui, les autres étaient des pions qu'il pouvait manier à sa guise histoire d'arriver à ses fins. Manipulateur, il savait se jouer de la vérité mieux que personne, ce qui pouvait le rendre antipathique. Néanmoins, il avait une attitude laissant deviner qu'il était sûr de lui, arrogant, et son côté sportif avait aidé à le rendre populaire. Sarcastique, moqueur, il ne perdait jamais une occasion de rappeler aux autres sa supériorité, liée à son statut social et à l'argent de son père, principalement. Néanmoins, à la maison, il était très régulièrement dévalorisé, ce qui entrainait un sentiment d'échec qui le rongeait et qui le poussait à forcer l'admiration des autres, de la mauvaise manière. Musicien, il joue de la guitare et du synthétiseur, en autodidacte, instruments qu'il cache dans son placard. Jaloux et possessif, il n'a jamais eu à partager et cette notion lui est parfois totalement extérieure. Au fond, Alistair a un besoin fort de se sentir aimé et apprécié, et une soif de réussite dont il n'a même pas encore conscience.

victoria

inventé/PL

i don't wanna be anyhing other than what i've been trying to be lately...

anecdote une • "Docteur March, votre femme va accoucher." L'interne était arrivée en courant, au bloc, pour informer le médecin qu'il allait devenir père... à nouveau. "Je termine." Elle resta interloquée quelques secondes, puis acquiesça d'un signe de tête. "Bien monsieur." Aussi vite que possible, elle regagna la chambre de Susan March, prise par de fortes contractions qui attendait le soutien de son époux. Raté. L'étudiante en médecine, prise de pitié face à la désinvolture de son chef, resta auprès de Susan, qui lui broyait la main à chaque douleur. Après des heures de travail, et une péridurale qu'elle avait refusé, le docteur March finit par faire irruption dans la chambre. Sauvé ! Ou pas... "Allez Susan, ça va aller !" Un baiser sur la joue de son épouse qui grimaçait de souffrance, et il quitta la pièce, sans rien dire de plus. Il allait revenir, n'est-ce pas ? Quelques heures plus tard, Alistair March poussait son premier cri, uniformément à celui d'une mère épuisée et seule. "Que quelqu'un appelle le Docteur March !" ordonna la sage-femme, tandis que le petit s'époumonait déjà. Deux minutes plus tard, le médecin fit son apparition, et on lui posa le petit dans ses bras. Détaché, il posa les yeux sur ce petit bout, et l'arrivée de son fils lui tira un demi-sourire. "Tu seras un gagnant toi !" lui adressa-t-il, avant de le poser dans les bras de sa femme. "Bien joué ma chérie." Une arrivée à l'image du reste de sa vie, c'était peu de le dire.
anecdote deux • Les jambes de chaque côté de son vélo, Alistair fixait la route face à lui, qui semblait bien plus longue que d'ordinaire. Allez. Les pieds sur chaque pédale, le petit brun fit quelques mètres avant de mettre pied à terre. "Recommence." Le petit brun n'en pouvait plus, ça fait déjà quinze fois qu'il essayait. "Mais papa..." Monsieur March fixa son fils, le regard froid et le visage fermé. "Tu n'oteras pas ton cul de cette selle tant que tu n'auras pas réussi à aller jusqu'au bout de la rue sans poser le pied. Tu n'as pas choix Alistair, il n'y a que la victoire qui compte." Le petit baissa la tête, et recommença. Encore. Et encore. A la nuit tombée, il avait fini par aller au bout de la rue, et son père était sorti pour lui dire qu'il pouvait enfin rentrer à la maison, là où son dîner froid l'attendait. "La prochaine fois, tu seras plus efficace si tu veux manger avec nous." Lui adressa-t-il en lui caressant la tête tandis qu'il s'asseyait à table, tout seul. Sa mère secoua la tête, mais ne dit rien, et Alix avala rapidement le contenu de son assiette pour regagner sa chambre.
anecdote trois • Un silence pesant s'était emparé du gymnase, alors qu'Alix venait de manquer le panier de la victoire. 14 points, sept rebonds, quatre passes décisives, ça n'avait pas suffi et sa dernière action leur avait coûté la qualification. Pourtant, le jeune homme s'en foutait, il avait vu Jenna dans le public qui l'avait applaudi, et quelque chose lui disait qu'il ne finirait pas la soirée tout seul... Puis si les autres voulaient gagner, ils n'avaient qu'à lui faire de meilleures passes de toute façon. En sortant du gymnase, la petite blonde l'attendait, et un sourire aux lèvres, Alix passa son bras autour du cou de la jeune femme. Ils avancèrent jusqu'au parking, quand le brun aperçut son père qui l'attendait dans son SUV. Aussitôt, il retira son bras et tourna le dos à son père, pour qu'il ne puisse pas voir ce qui se passait, et d'un air décontracté, il adressa un clin d'oeil à la jeune femme. "J'dois filer, j'ai des choses à faire ce soir, mais on remet ça, d'accord ?" En arrivant dans la voiture, il n'y avait plus que le silence, et le monologue d'un père déçu qui lui promettait un avenir sombre. Comme d'habitude.
anecdote quatre • La fête battait son plein, et les invités avaient été triés sur le volet. "Alix, c'est toi qui a invité Nelson ?" Le fils March arqua un sourcil. "C'est qui celui-là ?" Son meilleur pote pointa un gars du doigt, et le jeune homme fut bien incapable de se souvenir qu'il lui avait, en effet, bien proposé de venir en échange de ses notes de maths. "Ce minable ? Jamais de la vie." Il explosa de rire, persuadé de ne jamais lui avoir adressé la parole. Alix, il ne faisait attention à personne, surtout pas aux autres. Nelson essaya de se justifier, et de faire signe à l'hôte de la soirée, mais celui-ci ne calcula rien, bien trop occupé à embrasser Bailey, une des cheerleaders des Ravens. "Du coup, Alix, tu comptes m'inviter au bal de promo ?" Aussitôt, le jeune homme la repoussa, et secoua la tête. "Pourquoi faut toujours que vous vous emballiez les meufs ? Allez, bouge !" Deux minutes plus tard, il dansait collé-serré avec Rebecca, sous le regard médusé de la jolie Bailey, qui gardait malgré tout sa dignité en restant à cette fête, parce que les soirées du March étaient réputées pour être légendaires, et qu'il fallait y être vue. C'était comme ça, et fréquenter Alix donnait des privilèges au lycée, celui de faire partie de l'élite et de ne pas avoir à affronter ses foudres.
anecdote cinq • A vive allure, Alix arrivait avec son petit bolide sur le parking du lycée. Quelqu'un avait pris sa place, celle la plus proche de l'entrée, celle qui était sienne depuis des années, celle que tout le monde lui laissait parce que c'était dans les moeurs. "C'est quoi ce bordel ?" rumina-t-il derrière son volant, klaxonnant comme un boeuf en attendant que l'abruti qui avait garé son tas de boue dégage de là. Au bout d'un moment, furieux d'attendre en vain, il alla parquer sa voiture plus loin, et en avançant vers le bahut, il fut poursuivi par une jeune fille toute heureuse de pouvoir lui adresser la parole. "Alix, Alix, je sais qui a pris ta place." Aussitôt, il s'arrêta. "Ha oui, montre moi cette personne..." La jeune fille pointa Kiera Lawson du doigt, une fille qu'il n'avait jamais remarquée. Nouvelle peut-être ? En tout cas, insignifiante, au moins autant que sa caisse pourrie. "Merci... Tu t'appelles comment ?" La première année, fière, s'empressa de se présenter. "Je m'appelle Elizabeth Henry." Alix lui sourit en retour, et posa sa main sur son épaule. "Merci Lizzie, je n'oublierai pas ce que tu viens de faire pour moi." Elle s'éloigna, toute heureuse, et Alix fixa l'espèce de naze qui avait piqué sa place. Elle allait le regretter. Après avoir retrouvé ses copains, ils se mirent d'accord sur un plan, et alors que les cours battaient leur plein, l'un des gars prétexta une envie d'aller aux WC. Ni une, ni deux, il attrapa une bombe dans son casier et fonça sur le parking pour taguer le véhicule. "LOSER", "FREAK", et "GET OUT" prirent forme sur les portière et le capot du vieux tacot. En revenant en cours, il fit un signe de tête symbole d'un mission accomplie, et Alix resta stoïque. Lorsque la sonnerie de fin des cours retentit, il prit son temps pour sortir, et joua le surpris lorsqu'il découvrit la scène. Sans plus attendre, il chuchota à l'oreille d'un élève à côté de lui "J'ai vu une certaine Elizabeth trainer autour ce matin...". Les rumeurs allaient tellement vite, et il savait en jouer à la perfection.
anecdote six • Assis dans son siège, ses potes à côté de lui, Alix soufflait. Le spectacle de fin d'année sonnait comme le truc le plus ringard de l'année, et il ne masquait pas l'ennui qu'il ressentait à l'idée de devoir assister à des numéros de gros losers les uns après les autres, à applaudir histoire de leur faire croire qu'ils avaient un quelconque talent... Très peu pour lui. Pourtant, il n'avait pas le choix, et les numéros s'enchainaient, jusqu'à celui d'un mec qui s'installa avec sa guitare sur scène. Les accords sonnaient faux, et lui ne chantait pas très juste non plus. Un supplice. "C'est archi faux..." Son pote arqua un sourcil, et haussa les épaules. "Depuis quand t'as l'oreille musicale toi ?" Alix marqua un temps d'arrêt, puis sourit. "T'as raison, j'en sais rien, mais c'est moche." Hilares, il gloussaient de désespoir, et ses potes l'accompagnaient, au point de déconcentrer le pauvre petit jeune sur la scène. Difficilement, il termina sa chanson et quitta la scène sous les applaudissements du public. A la sortie, Alix l'aperçut, et celui-ci lui adressa un regard noir. Mauvaise idée. "Un problème ?" Demanda alors le March, sous le regard de ses camarades. "T'as pas été cool, c'est tout." Prit le risque de répondre l'artiste malheureux, tandis que le brun fit semblant d'être touché. "Oh ça va, même ta mère était plus mélodieuse au lit hier soir..." Le garçon serra les poings, les larmes aux yeux. "Elle est morte l'an dernier, pauvre con !" Alix pencha la tête, et le fixa un instant. "Et ba ça devait être ta soeur !" Il lui tourna le dos et sortit du lycée, bien content de ne pas avoir à supporter ce triste spectacle une seconde de plus. Et puis quoi encore ?
anecdote sept • "Alistair, tu as des enveloppes qui sont arrivées !" Sa mère semblait enthousiaste, lui pas très sûr de son avenir. Alix, il n'avait pas le niveau pour toutes ses facs de prestige, il ne le savait que trop bien, et depuis qu'on lui avait clairement signifié qu'il n'aurait aucun avenir sportif, l'université était donc la seule option viable pour le fils March. En arrivant chez lui, sa mère avait posé les enveloppes sur son lit, et le brun les décacheta, les unes après les autres, pour y lire les mêmes mots. We regret to inform you... blablabla. Aucune fac prestigieuse ne voulait d'un dossier aussi moyen que le sien, et quelque part, il n'était pas vraiment surpris, mais déçu d'encore une fois, être une énième déception pour ce père dont il appréhendait déjà la réaction. Il avait eu raison, parce que monsieur March explosa de rage à l'annonce de ces refus, et Alistair en prit pour son grade. "Qui m'a infligé un fils aussi médiocre ?!" avait-il fini par vociférer avant de quitter la table. Sa mère posa une main réconfortante sur celle de son fils, qui se retenait de ne pas exploser de colère, ou en larmes. Finalement, le père March passa quelques coups de fil, et après un gros chèque à l'université de Tree Hill, Alix reçut un dossier bien plus complet à remplir afin d'intégrer la fac de la ville, il était accepté. De quoi sauver les apparences. De quoi lui laisser un peu de répit.  
anecdote huit • Quand il ne sortait pas, quand il se squattait pas chez ses potes, quand il avait besoin d'être seul, Alix s'asseyait devant son ordinateur, et travaillait sur cette composition qu'il essayait d'améliorer, jour après jour. Cette fois, c'était bon, elle était terminée. Comme ce texte qu'il avait griffonné, encore et encore, pour finalement poser en chanson sur cette musique dont il avait choisi la moindre note. A travers sa chanson, Alix exprimait ce dont il ne parlait pas, ce sentiment de vide lorsque son père lui faisait réaliser à quel point il n'était pas à la hauteur, cette boule au ventre à chaque fois qu'il ne parvenait pas aux objectifs qui lui avaient été fixés, ce sentiment de solitude au milieu d'une foule qui pensait le connaître... Ce besoin d'exister, d'être aimé, finalement. Sans réfléchir, le brun la diffusa sur les réseaux, sous couvert d'un pseudonyme, histoire d'avoir des avis, histoire de ne pas la laisser traîner plus longtemps dans son ordinateur. Il ne s'était pas attendu à la suite Alix, parce que rapidement, c'était venu dans de nombreuses conversations. "Vous avez entendu la chanson de The Invisible ? C'est qui ce gars ?" Hors de question qu'on sache que c'était lui, hors de question qu'on lui devine ses doutes, ses peurs, qu'on voit chez lui cette vulnérabilité qu'il s'était efforcé de masquer toute sa vie. Non. "Mouais... Pas ouf." Les autres levèrent les yeux au ciel, il était toujours aussi dédaigneux que ça en devenait risible.
anecdote neuf • Dans un coin de la salle, Alix regardait du coin de l'oeil les courbettes de la garce à la caisse pourrie remercier chaleureusement son père. Il venait de la choisir comme bénéficiaire de la bourse March, une somme d'argent astronomique verser afin de financer l'intégralité de ses études, remboursant les frais des années antérieures et anticipant les prochaines années, probable condition à l'admission de son fils à l'université de Tree Hill. Face aux médias, au doyen de l'université, et à un tas de politiques, monsieur March ressemblait à un homme généreux, bienveillant, il délivra un discours à base de mérite et de talent, jetant un regard à son fils pour lui faire comprendre qu'il n'était rien de tout ça. Alix, il avait envie de vomir, alors au lieu de continuer à s'infliger ça, il décida d'aller boire un verre avec ses potes, au Tric. Une fois sur place, il s'installa autour d'une table ronde avec une bouteille de bière, et l'un de ses copains pointa du doigt une tête connue de l'autre côté de la salle. "C'est pas ton frère là-bas ?" Manquait plus que ça... "J'ai pas de frère, ferme ta gueule." Haussant les épaules, son pote répliqua. "Ok, t'énerve pas, ça va." Il était de mauvaise humeur, à cause de son père, de l'autre merdeuse qui avait pris la bourse, et de l'autre fils de son père avec qui il ne s'était jamais entendu. Est-ce que cette journée pouvait être pire ?
anecdote dix • La vidéo de sa chanson avait désormais des milliers de vues, et la radio de l'université la passait très régulièrement, provoquant chez lui des frissons et un stress qu'il essayait de contenir alors qu'il entendait les premières notes de son morceau. "The Invisible, si tu m'entends, on t'attend à la radio à 17h." Dix-sept heures... Il était quinze heures. Ca lui laissait deux heures. Non. Il n'irait pas de toute façon. Pourquoi faire ? Non. Seize heures. Alix faisait les cent pas. Dix-sept heures, sans trop réfléchir, il poussa la porte de la radio, par curiosité, par ce besoin de reconnaissance qu'il avait toujours cherché, par cette envie irascible de s'entendre dire qu'il avait du talent, pour une fois. "Bonjour..." prononça-t-il en pénétrant dans le studio. Rapidement, l'animatrice arriva, pleine d'espoir, avant de souffler. "Putain Alistair, j'attends quelqu'un, bouge de là, j'ai pas le temps !" Il resta stoïque, et finit par rebrousser chemin, sans rien dire. Il avait été con de venir, il aurait pu tout faire foirer, qu'est-ce qu'il espérait ? Alors qu'il arpentait l'une des allées pour regagner le parking, il entendit quelques pas derrière lui. "Je sais que c'est toi." Il s'arrêta net, et se retourna vers cette jeune fille qui le fixait, les mains sur les hanches. "The invisible, je sais que c'est toi." Elle était sûre d'elle, et lui, il était pris au dépourvu. "Je... Non ! Je... T'es malade !" Elle se mit à rire, et alors qu'il reprenait la route, elle lui cria quelques mots qui résonnaient encore dans son esprit. "C'est dommage que tu caches la plus belle partie de toi !" Il avait tracé sa route sans se retourner. Et si elle avait raison ?
anecdote onze • Un décès brutal. Inattendu. Des larmes, énormément de larmes chez sa mère, surtout, parce que lui, il s'était refermé. Incapable de pleurer, il agissait comme un robot, gérant la détresse de sa mère du mieux qu'il pouvait, dans un déni certain qu'il refusait d'accepter. Tout était allé très vite, parce qu'évidemment, monsieur March avait donné son corps à la science. On était venu chercher son corps dans l'heure qui avait suivi, obligeant la famille à enterrer un cercueil vide, et sa mère à imaginer son mari se faire disséquer n'avait pas aidé à apaiser son coeur et à l'imaginer en paix. Et puis l'exécuteur testamentaire les avait appelé, convoquant Alistair à un rendez-vous. Sur place, ce n'était pas seulement Noah qui se présentait, mais trois autres frères qu'il n'avait jamais vu. Le cadet des March était fou de rage, comment ces mecs là osaient-ils se pointer alors qu'ils ne le connaissaient même pas ? Ils voulaient juste de l'argent, lui piquer la part d'héritage qui lui revenait de droit. Un comble, le culot à l'état pur. Il avait supporté les remarques de son père toute sa vie, fini par croire au fait qu'il n'ait rien d'exceptionnel, et eux... Ils se pointaient, récupérer une part d'héritage aussi facilement ? Non. Et puis ils étaient qui exactement ? Est-ce qu'eux étaient meilleurs que lui ? Est-ce qu'ils auraient rendu fier son père ? Il était perdu Alix, en colère surtout, et il refusait cette réalité. C'était trop. Beaucoup trop.

• prénom / pseudo • faut-il encore le préciser ? Mathilde, hurry babe. • âge • 32 années de faiblesse. • pronom à utiliser • elle. • ville / pays • perpi, france. • présence • tous les jours si tout va bien. • moyenne de mots • je m'adapte, environ 700, plus ou moins. • source du forum • je l'ai créé ce petit bébé • petit mot, suggestion • bon, j'vais rien dire, mais j'vous jure que j'le pense hein, que c'est le dernier .

Je réserve mon avatar :

Code:

<res>tyler herro</res> • <pn>alix march</pn>

J'ai ri en voyant ton pseudo, je l'avoue

Rebienvenue chez toi

encore toi
j'en peux plus

non sans blagues, je suis sûre que tu vas encore nous sortir un personnage de folie, avec des liens de folie, et encore une tête toute bizarre
mais hé, je t'aime hein

encore une tête toute bizarre nan mais je meurs

rebienvenue, t'es le frère bizarre, c'est décidé
j'ai hâte tu le sais que c'est de la folie mais bon qu'est-ce qu'on y peut maintenant? autant faire de la merde jusqu'au bout hein?
vivement qu'on puisse exploiter tout ça parce que

rebienvenue sur le forum :D.

@Sybille Weber J'voulais trop jouer mon Tyty et puis l'idée m'est venue et... Tu connais la suite

@Becca Rickards une tête toute bizarre Mon pauvre Tyty, ne l'écoute pas la dame Bref, j'ai tellement hâte de lancer mon petit Alix, je l'aime déjà beaucoup trop

@gabriel march Tellement contente de faire ça avec vous once again, et tellement fière de notre duo du mal pour faire succomber @noah march

@Giulia Machiavelli merci bien

Re-Bienvenue !

Alors la miff, on va pleurer d'avoir une fratrie

Allez il finira par s'y faire Alixchou

Encore tooooooiiiii
Bon bah re bienvenue avec ce nouveau loulou

Re-bienvenue !

et le bébéééééé il est là !
troooop contente de former une nouvelle fois cette familyyy avec cette idée de dingue j'ai hâte de découvrir ton Alix et ce que vas en faire
rebienvenuuuuuuuuue chez toi et je me languis déjà le rp de famille

rebienvenue avec ce nouveau jeune homme

Guess what ? T'es validé(e) !

J'ai même pas fait le rapprochement avec le pseudo du coup j'ai pu avoir la surprise de la fin c'était chouette à lire (ça a du bon de rien suivre avec vos craquages xD) J'espère que ça va changer pour Alix (Alistair c'est trop joli fiou pourquoi le réduire ) et qu'il va réussir à assumer la partie artiste qui est en lui En attendant t'as l'habitude de la maison et des nouveaux comptes hein Amuse-toi bien avec la nouvelle famille....... (encore une !!)

LES PREMIERS PAS SUR LE FORUM

Ca y est, tu es donc officiellement validé(e), félicitations ! Maintenant, il te reste à prendre tes marques sur PAL, mais nul doute que ce sera facile. Premièrement, si tu as quelques craintes quant à ton intégration, n'hésite pas à passer du côté du parrainage où des membres plus anciens te guideront pour tes premiers pas parmi nous. Tu peux aussi aller poster ta fiche de liens et même faire une recherche de partenaires pour rp. D'ailleurs, pour t'aider dans tes recherches, tu peux aller jeter un oeil du côté du guide des membres. N'hésite pas à poster ton scénario ou des pré-liens si tu en as besoin, c'est fait pour ! Aussi, tu peux nous faire suggestions si tu vois des choses à améliorer, nous sommes à ton écoute ! Enfin, profite des outils de communication que sont le téléphone et instagram pour développer ton réseau de liens. Et enfin, passe dans les jeux et le flood si t'as envie de t'amuser encore plus.

LES NEWS DU MOMENT

Tu viens d'arriver ? Pas de panique, voici les animations du moment :

Tu vas pouvoir ouvrir ta case quotidienne du calendrier de l'avent de PAL Rendez-vous ICI !

Le complexe de réalité virtuelle est toujours ouvert et les sessions battent leur plein ! Tu veux jouer toi aussi ? Rendez-vous ici

@Will March @Harry March Les broooos, j'suis pas ravi de vous voir à TH mais j'suis tellement ravie d'avoir monté tout ça avec vous

@Emma Winslow @Diana Jones @Sienna Kerrigan merci les girls !

@Zoey Carpenter Thanks pour la validation, et Alix, ça fait plus "stylé" aux yeux du petit bonhomme