C'était une belle journée d'été bien ensoleillée. Savannah s'était levée ce matin-là de très bonne humeur. Elle était en congés aujourd'hui. Elle avait décidé qu’elle allait passer la journée avec ses enfants. Elle avait proposé à Cody et Lydia d’aller faire une journée au zoo. Les jumeaux étaient ravis de cette annonce. Ils avaient sauté partout dans l’appartement. Cody avait pris sa peluche lion. Il avait regardé sa maman « Maman ? Je peux emmener Simba ? » lui avait-il alors demandé. Savannah avait rigolé, caressé les cheveux de son fils et dit « Bien sûr mon chéri, il ne faudra juste faire attention de ne pas le perdre. ». Elle se dirigea dans la chambre de sa fille et lui demanda si elle était prête. La petite enfila son sac à dos et souris à sa mère en lui disant qu’elle était prête. Savannah partit en direction du zoo avec ses deux petits de huit ans.

Une fois arrivée sur les lieux, ils virent d'abord un endroit rempli de singes qui montaient sur les voitures. Savannah riait jaune. Elle se garait et sortit afin de commencer son circuit avec ses enfants. Il y avait d'abord les lions et tigres, chacun dans leurs enclos. On passait après aux ours. Les enfants étaient émerveillés devant tous les animaux qu’ils pouvaient voir. Savannah arriva devant un enclos où il y avait des lamas. L’un d’eux était très près d’elle. Elle le regarda et garda Cody et Lydia près d’elle. Elle avait un mauvais présentiment. Elle trouvait que Kuzco la regardait un peu trop intensément, comme s’il avait envie de la croquer. Elle fronça les sourcils en tenant le regard face à la bête. C’est alors qu’il lui cracha littéralement dessus. Savannah eut un mouvement de recul, elle s'essuya le visage de sa main avec un air dégoûtée et en rallant "Ce n’est pas vrai !! " s'exclama-t-elle.

Quelques heures avaient passées pour que la Grennshaw et ses enfants fassent le tour du parc. Savannah commençait à en avoir marre du zoo. Elle trouva soudainement une idée. Pourquoi ne pas se rendre à la plage ? Elle décida de convaincre les deux petits. Elle réussit, puisque les voilà tous les trois qui arrivaient à  la plage. Savannah, la maman prévoyante avait toujours son sac de plage dans la voiture. Ce dernier contenait les pelles et les seaux pour faire des châteaux de sables, ainsi que des serviettes et des maillots de bain. Elle et ses deux enfants s’installèrent tranquillement sur la plage de Tree Hill.

@Lily Andrews  @Giulia Machiavelli  @Wes Danbury  @Inara Williams

Qui dit beau temps dit profiter au maximum du soleil. Quel est le meilleur endroit pour le faire ? À la plage, bien sûr ! Avant de pouvoir aller à la plage, la blonde doit d'abord rassembler ses affaires de plage, ce qui n'est pas une tâche facile, puisque Giulia n'est pas allée à la plage depuis un certain moment. La chose la plus importante que la jeune femme doit absolument emporter est son parasol, sans lequel elle attraperait très vite un coup de soleil. Après avoir tout rassemblé et rangé dans sa voiture, Giulia se rend au parking de la plage. Elle y gare sa voiture et se rend sans attendre vers un endroit libre, où elle dépose sa serviette de bain et installe son parasol. La crème solaire, la blonde l'avait déjà appliquée à la maison. Entre-temps, une petite brise s'est levée, mais elle n'était pas encore vraiment forte. Cependant, cela change brusquement et le vent souffle un peu plus fort. Il suffit d'un moment d'inattention pour que son parasol s'envole. Elle s'est immédiatement levée pour tenter de le récupérer, mais malheureusement, la chance n'était pas de son côté, car le parapluie a atterri chez les naturistes. Génial, c'est exactement là que la blonde n'a jamais voulu mettre les pieds. Avec la tête baissée, elle a attrapé son parasol et est retournée à sa place.

@Wes Danbury    @Inara Williams   @Savannah Greenshaw  @Lily Andrews

Allongé dans ma serviette, je savoure l’instant si salvateur que de pouvoir se sécher après à avoir pédalé comme un fou furieux sur mon vélo. Il faut dire que la ville de Tree Hill est appréciable pour les endroits où on peut pédaler. Les routes sont immenses et le lieu est paisible que je me suis décidé à m’acheter un vélo de course et je m’y suis très sérieusement. Faut dire qu’à bosser toujours derrière un bureau, je finis
par ne plus rien faire en sport. Et c’est bien connu, le cœur d’apollon sans rien n’existe pas. Alors quand j’ai vu ma petite brioche naissante je n’ai pas hésité une seconde. Depuis je pedale et j’adore piquer une tête dans l’eau ensuite.
Tout habillé parce que ouais, je suis un fou. Maintenant je suis installé sur ma serviette et je savoure l’instant. Et rien de mieux que le bruit des vagues… et les cris des gosses. Notamment un, qui s’extasie devant mon vélo. ça me fait sourire parce que ouais j’en suis fier. Cela dit, le petit me déclare alors que lui il a le vélo de spiderman et ça a le don de m’attendrir. « Il doit rouler super vite. » Je réponds avec un sourire. Il acquiesce aussitôt et ajoute « Ouais !! Même que j’arrive à faire des roues arrières. Et je suis sûr que toi t’arrives même pas !!! » Me crie t-il et bien sûr que moi en adulte responsable je me compte
de ne rien dire, de ne pas rétorquer…
C’est pour ça que je suis soudainement sur mon vélo et sur ses roues arrières et que je montre au gamin que non, j’ai peut être de la brioche qui arrive, je suis un gars rangé, je suis chef d’entreprise mais quand on me chauffe, bah je réponds parce que voilà !
Le petit est impressionné. Moi je suis en extase de la souplesse dont je fais preuve quand soudain, la roue arrière fait une torsion bizarre me faisant chuter au sol dans le sable et surtout dans un craquement sinistre qui ne laisse pas de doute quand au fait que je viens de me casser le bras comme un gros débile. Je hurle de douleur. Le gosse hurle de peur et part en courant et moi je bouffe du sable, ma tête dedans et et j’ai trop
mal au bras.
Help

Peu après que la blonde ait remis son parasol en place, la jeune femme remarque un homme et un enfant qui discutent de vélos. Du moins, c'est ce que pense Giulia. Sans se douter que les adultes aiment autant faire des conneries que les enfants. Le malheur était déjà programmé. Mais Giulia se laisse vite distraire par la beauté de la mer dans laquelle elle plonge à ce moment-là pour se rafraîchir un peu. L'eau de mer est un pur délice, ni trop froide, ni trop chaude, idéale pour la blonde. Les petites vagues qui passent sur l'eau de la mer sont agréables et font l'effet d'un petit massage. Soudain, un, non, deux cris se font entendre. Giulia est du genre à se précipiter quand quelqu'un a besoin d'aide, et c'est bien le cas maintenant. Mais, comme on le dit si souvent, un malheur n'arrive jamais seul. Au moment où elle quitte l'eau de mer, elle sent tout à coup quelque chose près de ses pieds. Au début, elle n'y prête pas attention, jusqu'à ce qu'elle sente un pincement aux orteils. Son regard se porte immédiatement sur ses orteils où elle voit un crabe qui s'éloigne. Bon sang ! Giulia semble être maudite aujourd'hui : d'abord l'histoire du parasol, puis le crabe qui lui pince les orteils. Malgré la douleur, elle décide de rejoindre les deux blessés en boitant. Si une ambulance devait de toute façon venir, les ambulanciers pouvaient aussi vérifier ses orteils. En chemin, elle appelle toutefois rapidement une ambulance. « Une ambulance est en route. » Dit la jeune femme en arrivant chez les deux personnes. 

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Mais quelle idée mes amis, mais quelle idée ! Pourquoi ai-je eu cette idée de merde, hein ? Pourquoi, pourquoi ? POURQUOI ? La douleur me cisaille le bras et j'aurais presque envie de chialer. Genre le gros pleurs qui dégouline bien comme il faut. Le bon chagrin comme le gosse qui m'observe en train de souffrir le martyr. Les larmes coulent sur ses joues collantes et à la même vitesse que le filet de morve qui perle sur son nez et qui me donnerait presque envie de dormir. Non sérieux, comme ça peut exister ce truc aussi répugnant qu'un gosse qui réalise pas qu'il a les mickeys qui font les parades sous son nez en mode "saut à l'élastique". " Va te moucher, le mioche." je lui ordonne et c'est satisfait mais le bras en lambeaux que je le voix partir. Heureusement une blonde qui a dû voir ma chute, arrive à mon secours et m'indique qu'une ambulance est déjà en cours de route. Alors je sais pas si c'est américain ou non. Mais c'est du rapide au niveau de l'intervention. Bien sûr, et alors que je me suis pété la tronche devant la communauté entière de la ville ayant décidé d'aller à la plage, j'essaye de montrer que je suis un homme, un vrai. Et que ça va. " Non vous auriez pas dû appeler l'ambulance. " Mais aussitôt, j'esquisse une grimace de douleur parce qu'en vrai, je pense vraiment que je me suis cassé le bras. " Je crois que j'ai une fracture. ça fait super mal quand je bouge. " je lui glisse un sourire car je ne vais pas lui en vouloir d'avoir appelé les secours et que ça sera trop la honte que de devoir partir avec eux. " Merci en tout cas. J'espère que vous avez vu combien je gère le vélo sur une roue, non ? " J'espère qu'au moins je me suis pas pété la guiboche pour rien.

@Giulia Machiavelli

Voilà seulement quelques instants que Savannah avait décidé de quitter le zoo pour se rendre à la plage avec ses enfants. Elle avait pris le temps d’installer sa serviette et de regarder Cody et Lydia faire de même. Elle avait aussi étalé de la crème solaire sur chacune des parties du corps de ses enfants et même de son corps à elle. Maintenant que tout était fin prêt, Savannah décida de s'accorder une petite pause. Elle enfila ses lunettes de soleil, mis son chapeau de paille et s'allongea enfin sur sa serviette. Elle eut le temps de voir une jolie blonde courir après son parasol qui s'envolait, ce qui lui valait un petit sourire sur son visage, amusée de la situation. La jeune femme disparut un peu plus loin. C'est alors que Lydia arriva vers sa mère « Maman, je peux aller me baigner ? " demanda-t-elle après avoir donné seulement trois petits coups de pelle dans le sable, ce qui avait semblé l'ennuyer fortement. Savannah regarda sa fille et d'un soupir acquiesça finalement d'un signe de tête. « D’accord, mais je viens avec toi. ». L’enfant jubila. Savannah jeta un œil à son fils « Cody ? Tu veux te baigner ? » Le petit secoua la tête de manière négative. Savannah releva un sourcil en se rendant compte que son fils ne voulait pas se baigner lui pour le coup. « D’accord, mais tu fais attention d’accord ?! » le pria-t-elle. Le petit hocha la tête. « Promis » tandis que Lydia commençait-elle à s’impatienter en lui tirant le bras.

Savannah s'assurait que son fils était en sécurité, puis attrapa la main de sa fille et commença à courir en direction de la mer. La petite la suivit. C'est alors que l'agente immobilière se pris les pieds dans quelque chose qui ressemblait à une pierre. Dans son début d'élan, elle lâcha la main de sa fille. Elle s'étala alors complètement dans une énorme vague et fit un gros roulé-boulé dans cette dernière. Ce qui lui valu de perdre de vue sa petite fille de huit ans pendant un court instant. Elle se releva avec le nez qui piquait car de l'eau était joyeusement entrée dans ce dernier. Elle se serra le tarbouif, renifla, passa ses mains dans les cheveux et se dirigea vers sa fille qui était restée sur le bord. " Tu viens chérie, on saute dans les vagues ? " La petite attrapa de nouveau la main de sa mère et sauta, quant à elle vivement dans les vagues.

Un court instant après, Savannah cherche son fils du regard au loin, après avoir bien chahuté avec sa fille. Elle ne le voit pas de suite. Quand soudain elle croit l’apercevoir à côté d’un homme sur un vélo. Soudainement, ce dernier, qui était en train de faire une roue arrière sur le sable finit sur le sol en criant. Les yeux de Savy s'ouvrent en plein, deux yeux ronds. Un cri catastrophé sort de sa bouche et une main se pose sur cette dernière. Savannah s'empresse de sortir de l'eau, laissant sa fille sur le sable " Lydia tu restes là ! " lui ordonne-t-elle et se dirige vers tout le petit peuple. La jeune blonde de tout à l'heure apparaît devant Savannah en boitant. Elle l'entend dire qu'elle a appelé une ambulance. Cody arrive en courant vers sa mère en pleurant et reniflant. Elle le prend dans les bras "C'est bon chéri, tu n'as rien, c'est le monsieur qui a mal " le rassure-t-elle. La blonde est à la rescousse, Savannah observatrice décide tout de même de se rendre auprès d’eux également car la jeune femme ne semble pas en super forme non plus. « Oh mon dieu ! Vous allez bien ? » s’adresse-t-elle finalement aux deux interlocuteurs, son fils dans les bras.

@Lily Andrews  @Giulia Machiavelli  @Wes Danbury  @Inara Williams