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La colère, c'est pas beau (Avery & Josh)Aller en bas 
Josh Simmons
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Josh Simmons
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S'accrocher à sa colère, c'est comme boire du poison et attendre que l'autre personne meure. ~



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MessageLa colère, c'est pas beau (Avery & Josh)   La colère, c'est pas beau (Avery & Josh) EmptyDim 14 Avr - 15:08


La colère, c'est pas beau
Avery & Josh
~Une vie nous a été donnée ; à nous de la mener comme bon nous semble... tant qu'elle dure~
Josh se souvient très bien du jour où il a compris que la colère ne menait à rien. Il avait 4 ans. Il était en maternelle. Un garçon du nom de Mika venait de faire un gros caprice parce qu’il refusait d’arrêter de manger de la colle. Josh comprenait qu’il voulait manger de la colle. Surtout celle qu’ils utilisaient en classe. Elle avait un petit goût sucré qui plaisait aux enfants. Et surtout, elle était comestible à dessein, justement pour que les enfants ne tombent pas malade à l’ingurgité. Même s’il ne le faut pas. Josh n’avait pas très bien compris pourquoi. Il se disait que c’était stupide de prévoir une colle que l’on peut manger si ce n’était pas, en effet, pour la manger. Cependant, il ne piquait pas de colère quand on refusait qu’il ne met ses doigts plein à la bouche. Il attendait simplement patiemment que la maîtresse tourne la tête. Mika, lui, un enfant dont il n’oubliera jamais le visage, continuait de manger la colle en face de la maîtresse. Cette dernière, bien que douce et patiente –il le faut pour supporter un groupe d’enfants qui mange de la colle ainsi- fini par lui retirer elle-même les doigts de la bouche de Mika. Et il piqua une crise. Son visage devient rouge de colère, gonflant même. Et alors que Josh mangeait sa colle calmement, il observa le garçon devenir un ballon de baudruche. Il observa le « Mika – enfant » devenir un espèce de gros machin rouge avec la bave qui sortait de sa bouche. Et Josh continua de manger sa colle. Et quand il eut fini sa colle, la maîtresse le remarqua. Elle avait simplement poussé un soupir et dit qu’il ne fallait pas. Qu’elle en parlerait à sa mère. Ce qu’elle fit. Et au même moment, la mère de Mika arriva et le disputa devant tout le monde.

La colère de Mika n’avait servi à rien. Le petit Josh l’avait compris. Pendant que Mika pleurait et incendiait le monde, lui se délectait de la colle et il aurait continué si le pot n’avait pas été vidé par sa main experte. Et la colère, il le remarqua ensuite, ne servait jamais à rien. Qu’importe la colère. Que cela soit celle de deux parents qui se disputent à la sortie de l’école, ou celle d’un enfant à qui l’on a pris le goûter, ou même deux inconnus dans la rue. Même son père, qui parfois pousser des cris de colère contre les hommes qui ne savaient pas conduire, était jugé par l’enfant. La colère ne servait à rien. La colère ne faisait que du mal à la personne qui la ressentait. Et la colère n’était pas un sentiment que le petit Josh avait envie de ressentir. S’il l’avait déjà ressenti, la colère, il faisait en sorte de la purger le plus rapidement possible. Il n’avait aucune envie d’être en colère et de se faire bouffer son esprit, surtout quand la colère ne ramenait rien. Lui, il pouvait bouffer sa colle tranquille.

Ainsi, donc, il ne comprenait que mal la colère que sa sœur semblait ressentir pour Avery. Surtout qu’elle l’avait aimé. Lui, il était le genre à pardonner le tout. S’il n’avait jamais continué une relation avec quelqu’un qui l’avait trompé, il n’était pas en colère. Et Avery et Jade, c’était plus qu’une simple histoire d’amour. Avant d’être amoureux, et ça le petit Josh avait aussi dû mal à comprendre comment Avery pouvait être AMOUREUX de sa sœur (c’est sa sœur quoi), ils étaient amis. Et l’amitié n’était pas quelque chose qui devait être obstrué par la colère. Sa sœur était donc en colère, évitant bien soigneusement de parler d’Avery. Josh savait qu’ils avaient fait le yoyo dans leur relation, et dans ses dernières nouvelles, ils n’étaient plus ensemble quand il avait disparu. Cependant, il n’aimait pas l’idée de la colère et qu’une amitié puisse être mise à mal par une simple crise de colère.

Il décida, puisqu’Avery n’était pas venu le voir (aussi avait-il un bouclier nommé Jade qui le couvait comme s’il était prêt à disparaître à nouveau à tout moment) il allait le voir. Jade ne pouvait pas le surveiller tous les jours, bien qu’il ait passé le mois à se faire surveiller par le kiné, le psychiatre, ses parents, Jade et même Rhyo, il réussissait parfois à s’enfuir.

Bon, sans muscle et avec un mal de tête carabiné qui le mettait au sol…. Mais il pouvait s’enfuir. Au lieu de prendre les transports en commun, dont l’odeur était aussi forte que le son, il marchait. Sauf qu’il n’avait plus de muscles et marcher le fatigué. Ainsi, pour faire un chemin qui lui aurait pris dix minutes dans une autre époque, il prenait presque trois heures. Il pestait contre lui-même. Il y avait beaucoup de chose à faire pour s’adapter à sa nouvelle condition. Apprendre à ne plus exploser quand il sent (et c’était pour ça qu’il avait un masque de lavande sur le nez, pour éviter de faire une crise en souffrant horriblement), accepter que sa vie avait changé, accepter que deux ans étaient passé quand, lui, n’avait vu qu’un petit mois tout au plus, comprendre comment fonctionne désormais son cerveau qui lie les odeurs et les sons d’une manière parfois un peu aléatoire, reprendre des forces. Ce dernier point était le pire. Lui, qui adorait bouger, marcher, courir, sauter, nager, faire du basket, se retrouvait incapable de faire dix minutes de marche sans suer et avoir l’impression que le monde va l’engouffrer pour le manger. Il attrapa une rampe d’escalier pour relever les yeux vers sa destination. Il jure solennellement que s’il ne trouve pas Avery (qui pour lui, donc n’était plus le mec de sa sœur que depuis un petit mois), il irait faire un plouf dans la première piscine qu’il trouve… Même si on lui avait interdit de nager pour le moment… Pour une raison de muscles, encore, de crises de son ET d’autres excuses bidons qui allaient le rendre maboule. Il fit le premier pas sur l’escalier et soupira encore. La lavande lui faisait entendre la pluie, mais son casque lui gerbait de l’heavy métal pour le protéger. Pas du tout ce qui était préconisé par les personnes qui le suivent. Comme s’il avait envie de suivre leur règle à la noix de pécan ! Il releva les yeux encore, et là, au loin, il vit Avery. Il était seul en train de traverser la rue. Où allait-il ? Il n’en savait rien. Il s’en tape, le petit Josh. Pas question qu’il le loupe.

- AVERY, cria-t-il en lâchant la rampe pour lui faire un grand signe de la main.

Mauvaise idée. Il perdu l’équilibre et ses jambes se dérobèrent sous lui. Il chuta le cul le premier sur le sol dans un bruit sourd. Sa tête failli heurter le sol, mais il se tendit de tout son corps pour que rien de fâcheux n’arrive. Il perdu son casque. Mais c’était le moindre mal, il avait encore son masque. Il remonta les yeux vers une ombre qui arriva. Il lui fit un coucou de la main avant de se coucher très clairement sur le sol.

- Putain de merde, qu’il jura en réalisant avoir mal à la tête, aux jambes ET au cul, je déteste être mort.

Et il resta coucher en attendant qu’Avery arrive. Il ne pouvait pas faire mieux. Il était littéralement incapable de bouger. Il avait l’impression que sa tête le prévenait d’une crise d’odeur à venir et était formidablement incapable de relever une jambe pour se redresser si on ne l’aidait pas. Il ne pouvait même pas demander de l’aider à Avery pour le relever en levant le bras. L’homme allait devoir le comprendre tout seul ou alors…

- Tu peux te coucher par terre avec moi, proposa-t-il en tapotant à peine la place à ses côtés, le ciel est beau à cette période de l’année et je suis moi-même incapable de me relever.
(c) princessecapricieuse


@Avery Thompson - j espère que ça te convient ! N hésite pas si je dois changer quoi que ce soit. Dans ma tête c était proche de l hopital mais si jamais il peut l avoir choper dans la rue aussi !

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